LE PAYS DES CERISIERS (Fumiyo Kouno)

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Je viens de finir de le lire et encore une fois mon avis n’ira pas à contre-courant de celui de Ivan.
Un livre superbe et meme la deuxième histoire traitant du sujet de manière plus légère reste agréable à suivre .

Comment pourrait t’il en être autrement après ce qu’ils ont subit . :frowning:

La critique d’ivan isaak :

Un titre qui mérite le détour. Fumiyo Kôno traite le sujet avec justesse et délicatesse.
Si vous avez l’occasion, lisez-le.

Tori.

Je profite de la réédition pour remonter le sujet ! Si jamais certains sont intéressés…

J’ai d’ailleurs lu « Les fleuristes du coin de la rue », je verrai pour créer le topic plus tard ! Et on apprend dans ce one-shot que la mangaka sera de retour chez Kana avec de nouvelles séries. Donc j’ai hâte !

Le Pays des Cerisiers

Hiroshima, 1955, comment vivre normalement, comme une jeune fille, en ayant été témoin de tant d’horreur ? C’est sur cette interrogation que l’on ouvre « Le pays des cerisiers », récit poignant et lyrique sur la nécessité de se reconstruire et de s’apercevoir que la vie vaut quand même la peine d’être vécue… Prix Tezuka de la Culture, section manga en mai 2005, au Japon.

  • Éditeur ‏ : ‎ KANA; Illustrated édition (25 août 2023)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Broché ‏ : ‎ 128 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2505121443
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2505121442
  • Poids de l’article ‏ : ‎ 210 g
  • Dimensions ‏ : ‎ 15 x 1.8 x 21.2 cm

Fumiyo Kouno est née en septembre 1968, à Hiroshima. En 1995, elle débute sa carrière avec « Les Fleuristes du coin de la rue ». Son oeuvre majeure est « Pippirachô » (deux tomes). Elle aime fréquenter les bibliothèques et regarder le coucher de soleil avec son canari Tamanowo sur l’épaule. Ses paroles favorites sont : « Je ne me suis jamais senti grand goût pour portraire les triomphants et les glorieux de ce monde, mais bien ceux dont la plus vraie gloire est cachée. », d’André Gide.

… ils n’auront plus aucune excuse, avec tous les éléments ci-dessus !
:wink:

Jim

Hop, c’est fait.

:wink:

Jim

1 « J'aime »

Ah tiens, ça j’avais lu et et je n’en garde pas grand chose en mémoire si ce n’est un peu d’ennui.
Pourtant friand de récit du quotidien comme les japonais en font beaucoup, celui-ci m’avait laissé assez froid, mais désolé, je ne saurais plus dire pourquoi.

En voilà une contribution qu’elle est bien !

Je ne pense pas l’avoir relu depuis ma première fois (en 2010 donc) mais ce que j’en disais à l’époque c’est que beaucoup de l’intérêt du recueil était concentré sur les 30 premières pages que j’avais trouvé bien au-dessus du reste. Peut-être un élément en lien avec ton ressenti. :slight_smile:

Kana va probablement en profiter pour rééditer les titres en arrêt (Pour Sanpei, Une longue route et Dans un recoin de ce monde)…

Je pourrais en profiter pour me procurer Pour Sanpei : c’est le seul que je n’ai pas.

Tori.

Ah oui possible.
Me souviens plus.

Et c’est pour moi son meilleur titre paru chez nous.