LE SYNDROME MAGNETO (Benjamin Patinaud)

Le syndrome Magneto: Et si les méchants avaient raison ?

« Tout le monde aime les méchants. La culture populaire en a produit de toutes formes et toutes couleurs. Mais tous ne commettent pas leurs atrocités pour de viles raisons. Certains ne veulent pas détruire le monde : ils veulent le changer. Utopistes malencontreusement dystopiques, extrémistes plus ou moins bien intentionnés, libérateurs aux penchants totalitaires, terroristes se vivant comme résistants : ce livre leur est consacré. »

De Thanos à Poison Ivy, de Killmonger à Daenerys, en passant par les sorcières et autres freaks, il fallait donner un nom à ce troublant phénomène, un nom en hommage à son leader incontesté : le syndrome Magneto.

  • ASIN ‏ : ‎ B0BND9J5DD
  • Éditeur ‏ : ‎ DIABLE VAUVERT (6 avril 2023)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Broché ‏ : ‎ 448 pages
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 979-1030705966
  • Poids de l’article ‏ : ‎ 410 g
  • Dimensions ‏ : ‎ 13 x 3.2 x 19.8 cm

Bon, les amis, là, plus d’excuses : va falloir venir en causer ici, non mais !

Jim

Et il vous en coûtera 23 euros.

Trivialités que tout cela.

Jim

Les 20 premières pages pour se faire une idée du niveau : http://media.sodis.fr/cat/9791030705966/16/9791030705966-16-230227_173310.pdf

Je trouve cet échantillon faible, l’art d’écrire pour ne rien dire en balançant des approximations et des banalités à la pelle et une écriture euh …

« Méchants d’hier, héros de demain ? » sur Méchants d'hier, héros de demain ? via @radiofrance

Sur l’écriture en général, on peut trouver ça un peu tape-à-l’œil, sensationnaliste, journalistique, en effet. Plein d’effets de manche.
Après, sur le remplissage : l’extrait montre l’intro et les débuts de la première partie. Une intro, c’est toujours généraliste. La première partie est parfois très explicative (les lecteurs du Diable Vauvert ne sont peut-être pas au fait d’évidences pour les lecteurs de longue date) et parfois un peu rapide. Notamment (mais ça, c’est peut-être un goût personnel), assez vite, le texte cesse d’être historique pour sauter d’époque en époque. Pourquoi pas en soi, mais quelques chevilles langagières auraient pu préciser qu’on fait un saut dans le temps, tout ça…
C’est d’ailleurs un peu le reproche au style que je ferais : c’est pas toujours très bien articulé d’un point de vue argumentatif.

Jim

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Ne discutez pas politique ensemble.

Clin d’œil

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