LES CHIMÈRES DE VÉNUS t.1-2 (Alain Ayroles / Étienne Jung)

Annoncé sur différents forums ainsi que sur le site des éditions Rue de Sèvres, le nouveau projet d’Alain Ayroles est lié au Château des étoiles d’Alex Alice. Il s’agit des Chimères de Vénus, annoncé comme un diptyque par l’éditeur, et illustré par Étienne Jung.

Quelques pages sont visibles dans le sujet sur la série centrale, mais Comics Sanctuary ne reculant devant aucun sacrifice, nous reproduisons ici même toutes les informations.

Rendez-vous est donc donné chez votre libraire pour la première partie de ce nouveau chapitre du feuilleton.
Et voici ce qu’en dit l’éditeur :

Alain Ayroles est né en 1968. Il étudie aux Beaux-Arts d’Angoulême où il rencontre Bruno Maïorana qui mettra en images ses scénarios pour la série en 6 tomes, Garulfo et Jean-Luc Masbou avec lequel il réalisera les 12 volumes de De cape et de crocs. Passé maître dans l’art du dialogue et de la mise en scène, il aime revenir à la source des grands récits pour se les réapproprier. C’est ainsi qu’il revisite l’univers des Vikings dans Sept missionnaires dessiné par Luigi Critone, celui des vampires dans la trilogie « D » dessinée par Bruno Maïorana et colorisée par Thierry Leprévost, ou le roman picaresque dans Les Indes fourbes , sa dernière nouveauté, dont Juanjo Guarnido signe dessin et couleur. Il travaille actuellement sur Les Chimères de Vénus , le diptyque développé en parallèle de la série Le Château des étoiles d’Alex Alice, qui sera dessiné et mis en couleur par J. Etienne.

Les amateurs de Garulfo, de De cape et de crocs, de D ou des Indes Fourbes ne pourront que se réjouir de lire bientôt un nouveau projet d’un scénariste trop rare.

Jim

Le château des étoiles c’est genial

Les Chimères de Vénus tome 1

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1873, tandis que les empires terrestres s’affrontent pour la maitrise du système solaire, l’actrice Hélène Martin embarque pour Vénus à la recherche de son fiancé, prisonnier des bagnes de Napoléon III. Dans l’univers du Château des étoiles, la conquête de l’espace continue.

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  • Éditeur : RUE DE SEVRES (24 mars 2021)
  • Langue : Français
  • Broché : 56 pages
  • ISBN-10 : 2369811870
  • ISBN-13 : 978-2369811879
  • Poids de l’article : 730 g
  • Dimensions : 24.4 x 1.3 x 31.9 cm

Alain Ayroles est né en 1968. Il étudie aux Beaux-Arts d’Angoulême où il rencontre Bruno Maïorana qui mettra en images ses scénarios pour la série en 6 tomes, Garulfo et Jean-Luc Masbou avec lequel il réalisera les 12 volumes de De cape et de crocs. Passé maître dans l’art du dialogue et de la mise en scène, il aime revenir à la source des grands récits pour se les réapproprier. C’est ainsi qu’il revisite l’univers des Vikings dans Sept missionnaires dessiné par Luigi Critone, celui des vampires dans la trilogie « D » dessinée par Bruno Maïorana et colorisée par Thierry Leprévost, ou le roman picaresque dans Les Indes fourbes, sa dernière nouveauté, dont Juanjo Guarnido signe dessin et couleur. Il travaille actuellement sur Les Chimères de Vénus, le diptyque développé en parallèle de la série Le Château des étoiles d’Alex Alice, qui sera dessiné et mis en couleur par J. Etienne.

Étienne Jung est illustrateur pour la presse, l’édition jeunesse, scolaire et religieuse. Il a étudié aux Arts Décos de Strasbourg et s’est spécialisé dans l’illustration aux côtés de Claude Lapointe. En 2003, il met son talent de dessinateur et de coloriste au service du scénario de Denis-Pierre Filippi, pour Gargouilles, aventures trépidantes sur fond d’apprentissage de la magie et passera ensuite le pinceau à Silvio Camboni pour la suite de la série. De 2006 à 2011, il dessinera les trois tomes de Brüssli, conte décalé truffé de clins d’œil à la littérature jeunesse sur un scénario de Jean-Louis Fonteneau. En 2016 puis 2018, il dessine, Au matin du 3ème jour et Auguste et Romulus, tous deux scénarisés par Laurent Bidot. Il a également illustré plusieurs romans et albums jeunesse. Il travaille actuellement sur Les Chimères de Vénus, la série parallèle au Château des étoiles d’Alex Alice, scénarisée par Alain Ayroles, dont il réalise le dessin et la mise en couleurs. Il réside à Strasbourg.

Aouch, ça n’a pas la finesse de la série principale ne terme de dessin. Mais j’ai confiance en Ayroles.

y a plein d’idées super. franchement, les réunions avec Alex et Alain pour préparer les bonus des gazettes, c’est toujours des moments géniaux.

Sur les idées, j’ai aucun soucis. Mais c’est le dessin qui même si je savais qu’il ne serait pas similaire, j’aurais aimé une certaine cohérence qui aurait pu se faire via la couleur.

Marrant, ça, surtout de la part d’un amateur de comics.
Je veux dire, pourquoi chercher la cohérence. Ayroles n’écrira pas comme Alice, pourquoi son dessinateur devrait se caler sur lui ?
Et puis bon, question finesse, je vois un dessin très élégant, très expressif, avec un montage où les cases sont déformées avec souvent une bonne raison. C’est plutôt très chouette, et très joli.

Jim

Marrant que tu dises ça quand on sait que pendant des années certains dessinateur ont du calquer des auteurs spécifiques comme au début chez Marvel ou ils devaient singer Kirby, puis après il a fallu faire comme Jim Lee… (vous avez parlé d’Herb Trimp qui pour garder du taf à du singer Liefield).

Parce que c’est une série dérivée de l’univers original, ça permet de garder une cohérence et d’un point de vue plus clinique, de vendre plus car le changement de style impactera plus les lecteur de FB habitué à un type de dessin par série.

Je n’ai pas critiqué le dessin pour le moment. C’est joli, même si je trouve les visages plats.

C’st écrit par Ayroles, un auteur vendeur et talentueux (et pas seulement depuis Les Indes fourbes). J’imagine sans mal que ni lui ni l’éditeur n’ont envie de faire « une série dérivée », ils veulent faire une série avec une identité propre, dans le même univers.

Revoyons l’action au ralenti :

Il me semble que ta réaction (qui ne me paraît pas très positive) se porte sur le dessin, quand même, là, non ? Un peu ? Peut-être ? Non ? Hein ?

Jim

Elle reste dans le même univers ça reste un spin-off, qui sera très bien écrit et qui va avoir son identité propre je suis d’accord, mais encore une fois je parle pas d’histoire, mais d’aspect graphique.

euh ben non, c’est pas aussi fin ça veut pas dire que c’est moche. C’est juste différend, et le dessin pour en parler me semble trop statique, et la couleur (mon vrai soucis) trop informatique, maintenant c’est juste mon avis et j’ai hâte de lire cette BD.

Ouais, mais justement, je pense qu’ils veulent se démarquer.

Jim

Il aurait fallut le faire dès la couvertures et au niveau du découpage dans ce cas.

Oui, je comprends ce que tu veux dire, mais là, je pense qu’on est dans la logique de l’hommage (aux éditions Hetzel, genre), et qu’ils veulent obtenir un effet de collection, avec des personnalités différentes. Un « récit parallèle », comme ils disent en couverture.
Si tu différencies trop les couvertures, tu perds l’effet, me semble-t-il.

Jim

D’ou ma critique de base qui aurait été de lié le tout via la couleur.

Les différents tomes du Château des étoiles ne sont pas unis par la couleur, cela dit.

Jim

Une couleur par cycle

je parlais de l’intérieur, pas des couv, un peu comme ce qui a été fait sur X-Force ou Dean White donne une certaine unité graphique aux différends dessinateurs grâce son travail sur la couleur.