DÉCENNIES MARVEL
LES ANNÉES 90 : L’X-PLOSION MUTANTE
Auteurs : Collectif
Marvel Decades, 256 pages, 26,00 €
Les X-Men triomphent dans le sixième tome de cette collection célébrant les 80 ans de Marvel. De Generation X à X-Force,en passant par Wolverine et de nouveaux personnages comme Cable, Deadpool ou X-Man, les mutants règnent sur les années 90 !
(Contient les épisodes US Excalibur 42, Wolverine 48, X-Factor 87, X-Men 27, Generation X 4, X-Man 5, Uncanny X-Men 328, X-Force 55, Deadpool (1997) 2 et Cable (1993) 64 publiés précédemment dans les albums WOLVERINE : L’INTEGRALE 1991, X-MEN L’INTEGRALE 1993 (V), MARVEL SELECT : DEADPOOL 1 et 100% MARVEL : GENERATION X et les revues Titans 161 et 213, Facteur-X 29, X-Force 31 et X-MEN UNIVERSE (V1) 4)
SORTIE LE 4 SEPTEMBRE
La reprise de la série par Alan Davis. Que du bonheur. Qu’est-ce que Diablo est magnifique durant cette période. Dans tous les sens du mot. Les Technet de Diablo. Une fine équipe.
Pour ma part c’est tout simplement la meilleure série X de son époque. Alors que Claremont quitte le navire et qu’il y a un nouveau dispatche, Alan Davis gère son truc tout en nettoyant tout le bordel de Claremont. C’est déjà assez fascinant devoir comment l’arc Necron permet de tout ranger (tout en offrant un truc épique puissance mille). La suite est sur la même lancé avec le retour de Jamie, l’arc sur la fin de la magie et une belle fin pour Rachel Summer.
Et en effet Diablo n’a jamais était aussi majestueux que dans Excalibur. Il y avait une alchimie parfaite du groupe (ce qui n’empêchait pas les antagonisme d’ailleurs) et les nouveaux personnages qui arrivaient (Kylun et Cerise) s’intégrait parfaitement à l’équipe.
Je plussoie à 100%. Excalibur, à cette période, était une des meilleures séries. Alan Davis a fait du très bon boulot en la reprenant en main. Et Kylun est un perso que j’ai vite adoré. Le face à face entre Le Phénix et Galactus était sacrément bon aussi.
Je me souviens dans le courrier des lecteurs de Titans, d’un des gars se demandait si Davis était meilleur dessinateur que scénariste, ou inversement, tellement tout ce qu’il faisait était top. En opposition à Liefeld, où il se demandait s’il était pire scénariste que dessinateur.