Un chouia moins emballant que " La Religion", la faute à un Mattias encore plus Terminator que lors de ses précédentes aventures.
ouais on s’en rend compte très rapidement mais,après plus 100 pages,ça reste quand même dans le haut du panier
Ah ça c’est évident, l’écriture, le souffle épique,etc…ça ne se lit pas, ça se dévore.
au final le seul défaut,pour moi, des Douze enfants de Paris c’est qu’on ne peut que le comparer à La Religion et qu’on avance en terrain connu.
mais à côté de ça c’est le haut du panier. pendant le massacre de la Saint Barthélémy vue du côté du peuple,Mattias Tannhauser traverse Paris pour retrouver sa femme et son enfant à naitre et au milieu du chaos il laisse derrière lui un long sillage de sang.
le souffle épique,la profondeur des personnages,la richesse des dialogues et la magnifique écriture de Tim Willocks sont toujours là.
c’est fort,c’est puissant,c’est à la fois d’une violence incroyable et d’une formidable beauté