Bah… On n’était pas nombreux avant.
Justement, ton absence se remarque.
Jim
Une autre planche du tome 16 :
Jim
Les Maîtres Inquisiteurs T17
Elekhiad
A paraître le 15 septembre 2021
Depuis la mort du roi Hubert de Roman, les relations entre l’Ordre et la Confrérie des Chênes se sont dégradées. Il en faudrait peu pour qu’une nouvelle guerre éclate en Oscitan.
Adrael, soucieux de garantir une paix durable, parvient à réunir les souverains de la Confrérie. Mais à la veille de la signature du traité, Eloise de Roman est assassinée. Tout porte à croire qu’elle a été victime d’un Inquisiteur contrôlant le froid. Alors que les tensions s’aggravent, Elekhiad et l’elfe Næleen mènent l’enquête et tenteront de sauver la paix, si la chose est encore possible…
Scénariste
Illustrateur
Coloriste
INFORMATIONS SUR L’ALBUM
Série
Collection
Fantastique
EAN
9782302094093
Nombre de pages
48
Les Maîtres Inquisiteurs T18: L’Île de la fin du monde
Après la démonstration de pouvoir d’Elekhiad face aux ennemis de l’Ordre, une altération de la magie menace l’Oscitan. Les Inquisiteurs capables de répondre à l’urgence de la situation se rendent sur l’île d’Edelen. Mais à peine arrivés, les elfes s’en prennent à eux. Ces derniers ont souffert à cause de l’anomalie et la magie d’Elekhiad ne peut être la seule explication au drame qu’ils ont vécu.
- Éditeur : Soleil (24 août 2022)
- Langue : Français
- Relié : 64 pages
- ISBN-10 : 2302091167
- ISBN-13 : 978-2302091160
- Poids de l’article : 788 g
Si l’on en croit les propos d’un certain Sylvain Cordurié, bien connu de nos services, tenus sur un forum voisin, la fin de la série des Maîtres Inquisiteurs devrait coïncider avec le début d’une autre série, consacrée aux Maîtres Assassins. Début des festivités, visiblement, en août prochain.
Jim
Parce que c’est différent ?
Rien à voir.
(S’en va en sifflotant et en se donnant un air d’importance)
Jim
Ah pardon. C’est comme les Corsaires et les Pirates, c’est ça ? Certains sont des fonctionnaires, les autres sont des professions libérales ?
Je me dis plutôt que les inquisiteurs ne se salissent pas les mains. Les autres, si.
Jim
Jim
Sandrine Cordurié sur Instagram :
Je vois la lumière au bout du tunnel
Le tome 18 de Maîtres Inquisiteurs est bouclé ! Hurray !!
(scénario : Sylvain Cordurié / dessins : Andrea Cuneo)
Jim
Encore une série anthologique (ou « collective », comme dirait le Doc) que je lis dans le désordre. Je viens de dénicher le premier tome, que j’ai lu dans la foulée.
Donc, nous sommes dans un monde médiévalo-fantastique qui se remet d’un lourd et long conflit appelé le Chaos. La paix chèrement acquise met en lumière toutes les exactions que la guerre dissimulait, et les mages ont donc formé un corps d’élite, les Maîtres Inquisiteurs, afin de faire régner la loi et de sanctionner les contrevenants. Obeyron, personnage central de ce premier tome, fait partie de cette nouvelle institution. Il est taiseux, bourru et assez violent.
L’album s’articule autour d’un balancement entre passé et présent, les flash-backs étant traités dans une gamme de couleur différente. Parfois, ce n’est pas si évident et je me demande dans quelle mesure il n’aurait pas été plus sage de rajouter un détail visuel, à l’image d’angles arrondis pour les cases du passé, afin d’encore mieux les distinguer. Toujours est-il que le passé détaille les circonstances durant lesquelles une mission a mal tourné, fruit d’une trahison et d’une tentative d’assassinat, et le présent déroule l’enquête d’Obeyron, qui a survécu et cherche à comprendre qui a fomenté l’agression.
Les détails arrivent petit à petit. Chaque Maître Inquisiteur dispose d’un pouvoir particulier, plus ou moins spectaculaire. Celui d’Obeyron consiste à générer un double de lui-même, plus ou moins fantomatique, ce qui perturbe l’adversaire, on s’en doute. La première mise en scène de cette capacité, à la faveur d’une scène muette, n’est pas très claire. Pour le coup, quelques bulles supplémentaires auraient été les bienvenues, afin de verbaliser les surprises et les interrogations. D’autant que l’album est assez bavard. L’effet en est une évidente immersion et une certaine lenteur de lecture, ce qui est plutôt bénéfique pour un tome introductif. Cela permet de bien suivre l’évolution du personnage (et de ses pouvoirs), même si la profusion de bulles et l’étroitesse de certaines cases ne sont pas toujours du meilleur effet. Notamment, dans la première moitié de l’album, la disposition des bulles est parfois problématique, et visible au fait que les queues de bulles se croisent et s’enchevêtrent. Cette partie aurait pu être pensée plus finement.
Jim
Finalement, tu as trouvé une dédicace dans ton album ?
Non.
Mais c’est pas la même source d’approvisionnement.
(Remarque, ça commence à faire pas mal, les dédicaces trouvées : deux albums récemment, mais il y a plus longtemps, j’avais déniché trois tomes du Baron Noir de Got et Pétillon dédicacé, un tome d’Akademy dans lequel Anne Rouvin avait commencé une dédicace (ça sent la fin de séance où le libraire range les exemplaires invendus, les renvoie sans vérifier…), et même un roman ou deux. J’ai un des tomes du Club Van Helsing, chez La Baleine, qui contenait une dédicace quand je l’ai acheté… Donc ouais, les dédicaces pas sollicitées (mais toujours trouvées avec joie), je commence à en avoir beaucoup.)
Jim
J’en ai aussi quelques-unes.
De mémoire, Stan Sakai, Yoshitaka Amano, Yôko Hanabusa (mais, pour les trois, j’avais déjà des bouquins dédicacés à mon nom quand j’ai acquis les autres), quelques auteurs de franco-belge, et j’ai aussi une dédicace d’un auteur japonais datée d’une dizaine de jours avant la parution au Japon du bouquin sur lequel elle apparaît… Ça sent la signature pour un événement promotionnel (ou d’une convention) ayant lieu juste avant la sortie…
Dans les trucs marrants, aussi, j’ai quelques mangas en japonais avec des notes de traduction… et un tampon de la maison d’édition française : c’est l’exemplaire qui a servi au traducteur !
Tori.
Ah rigolo, ça.
Jim