- Scénario : Jean-Sébastien Bordas, Jean-Christophe Deveney
- Dessin : Jean-Sébastien Bordas
Les Naufragés de La Méduse
Mise en couleur : Jean-Sébastien Bordas
26,00 €
A PARAÎTRE le 08/04/2020
176 pages - 21.7 x 28.9 cm
Cartonné - Couleur - Relié
Le récit croisé d’un naufrage et d’un chef d’œuvre de la peinture romantique
1816, les royalistes viennent de chasser du pouvoir les héritiers de la révolution et de l’Empire. Le commandement de La Méduse est confié à un noble qui n’a pas navigué depuis 25 ans. Incompétence, suffisance, indiscipline se conjuguent pour conduire le navire tout neuf à sa perte. Le 2 juillet, la frégate s’échoue sur un haut fond aux larges du Sénégal. Les canots étant en nombre insuffisants, 170 passagers prennent place sur un radeau de fortune abandonné à la dérive. Lorsqu’il est retrouvé deux semaines plus tard, il ne reste plus que 17 survivants !
La révélation dans la presse du naufrage et des horreurs commises sur le radeau va frapper l’opinion publique. Géricault s’empare du sujet et y voit l’occasion de faire exploser les carcans classiques de la peinture. Toutefois, la réalisation du tableau se révélera dantesque et manquera d’engloutir l’artiste corps et âme.
Nouvelle date : 3 juin 2020.
Jim
J’ai pas réussi à le finir. J’ai voulu profiter du confinement pour avancer un peu voir beaucoup sur mes SP et ce naufragé de la méduse m’est tombé des mains.
C’est une double histoire que cet album. D’un côté on a l’auteur du tableau qui va devoir se battre pour le réaliser se battre d’un point de vu financier, d’un point de vue d’écriture, l’artiste fait des recherches, mais a du mal à vraiment savoir ce qui c’est passé car c’est tabou, des problèmes familiaux…
De l’autre nous avons l’histoire de ce qui va amené à ce fameux naufrage et à la vie pendant le naufrage.
J’avais vraiment envie de le lire et hâte de l’aimer, mais j’ai été tout simplement perdu. On passe d’une période à l’autre sans avertissement qu’il soit narratif ou figuratif, les deux intrigues ne se répondent pas non plus spécialement ce qui fait un énchainement des deux histoires emmêlé l’une à l’autre sans réel raison ou logique, l’absence de marqueur d’une des deux époques fait que le tout devient vite indigeste formant une sorte de bloubiboulga indigeste. C’est vraiment dommage car je pense que si la narration avait été mieux maitrisé l’ensemble aurait fait un très bon album.