petit cadeau surprise avalé de suite et d’une traite comme un bonbon ! De prime abord, c’est drôle et surtout très touchant (je suis quand même bien content de ne pas l’avoir lu plus tôt, parce qu’il y a quand même de sacrées similitudes avec ce que j’ai vécu il y a tout juste deux ans), mais ce qui en ressort, c’est quand même des hommes qui n’ont pas perdu leurs convictions, des hommes aux caractères et vies différents mais qui s’accordent, des hommes avec une grande fraternité, des hommes qui peuvent ne pas se voir pendant des mois/années mais quand ils se retrouvent, c’est comme s’ils ne s’étaient pas quittés la veille, etc … bref, avec les différentes bandes de potes proches que je peux avoir, c’est un peu ce que je vis et j’espère que ça durera jusqu’à ce qu’on devienne de vieux fourneaux !
Et puis y a des dialogues de fou ! Et de magnifiques dessins !
Bref, vous aurez compris que pour moi l’histoire n’est vraiment qu’un prétexte !
je critique pas ton avis, on a tous un comme le trou du cul.
Je constate simplement que ton avis se fait sur trois vieux potes et que tu compares cela à toi et que c’est ça qui t’as fait aimé et que ce n’est pas ce type de retour que j’ai majoritairement ou moi ce qui m’a fait aimé.
Les dialogues, la comparaison avec un coté Audiard, le fait qu’ils foutent le bordel et soient vaguement anar est ce qui revient le plus souvent en premier, plutôt que « ça me fait penser à mes potes et moi ».
Marrant, je trouve ça presque exagéré comme comparaison. Comme quoi.
Dis-moi, ce sont les clients versaillais qui trouvent que les perso foutent le bordel et qu’ils sont un peu anar’ ?
En te relisant, en effet, tu constates très simplement . Ce n’est pas vraiment ce que je dis aussi. Regarde plus en amont du texte. Ce que tu reprends n’est qu’une petite partie sortie de son contexte, en plus.
Ho que oui pour Un singe en hiver après j’avoue que rien que pour le trio Gabin/Delon/Ventura je mettrais Le clan des Siciliens avant La Traversée de Paris (que j’adore mais je suis toujours déçu que le film ne se termine pas sur Bourvil partant se faire exécuter)
(raaaaaaah et puis Melodie en sous-sol ou Le cave se rebiffe)
Le dessinateur Pozla s’est associé au scénariste Wilfrid Lupano pour une bande dessinée titrée « On va s’arranger », évoquant la situation des Syriens déplacés, au Liban et ailleurs. Le récit a été soutenu par le collectif The Ink Link et l’ONG Première urgence internationale. Comme on l’apprend dans un des liens donnés plus bas, un éditeur français s’intéresse au récit, sans doute sous une forme augmentée.