Ha ben merci sympa 
Ca sert à quoi que Ducros il se décarcasse
Je ne connais pas Ducros…
Et le streaming, c’est pas pour moi, à part s’il ne s’agit que de la musique ou chanson… les podcasts et radiophoniques… je suis désolé, j’ai dû mal à écouter… et les sous-titrages sont automatiques, oui, mais bourrés de fautes donc illisibles…
Autant pour moi j’avais oublié ton handicap
Pas de souci ! 
Mais, j’avoue que c’est bien dommage, car dans tout ce que j’ai vu, il y a des sujets très intéressants… Les anglophones retranscrivent textuellement, eux, lorsqu’ils postent un podcast. Enfin, pas tous. Mais bon, en anglais… 
quand il y a du vocabulaire ou des expressions…
Du coup, je remets le billet de Lord datant de l’époque où il officiait sur le Daily Mars…
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Pas toujours… Et c’est vrai que le sous-titrage automatique, c’est une horreur !
Parfois, je le mets en espérant que ça m’aide à comprendre certains trucs, mais ça me gêne plus qu’autre chose !
Tori.
Ca serait une bonne idée de faire un sous-titrage mais malheureusement c’est beaucoup de temps qu’on a pas hélas
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Merci 
On en a déjà parlé sur ce forum … depuis au moins la première annonce fantôme de Panini
C’est ce qu’on m’a dit. Enfin le gerant du site schkopi. Il fait des podcasts spécialement sur un artiste en particulier dont nous sommes fans… c’est comme ça que j’ai su que c’est du boulot, car il retouche les enregistrements (enlève des parties où ils ont déliré ou hors sujets, etc.) avant de les poster. Je suppose que c’est parfois comme ça pour les autres.
Comme ça m’a fait plaisir de relire ça (bon j’ai bien mes Spidey, mais le format Intégrale est tellement plus pratique).
L’Escadron Suprême, c’est ma 3e claque en tant que jeune lecteur Marvel, après Dieu crée, l’Homme détruit et la Mort de Captain Marvel.
J’avais 16 ans à l’époque, et les propos changeaient complètement de ce qu’on avait l’habitude de lire, c’était même un peu plus adulte.
Après, c’est vrai que j’avais beaucoup de plaisir aussi à lire le Daredevil de Miller, autre ambiance.
C’est marrant, je lis toujours que l’ES a souffert de la comparaison avec Watchmen ou Batman – The Dark Knight Returns, voire Crisis on Infinite Earths. Pour moi, les oeuvres de DC comics m’étaient totalement étrangères à l’époque; j’avais un pote qui avait acheté le Batman à la FNAC, mais je ne l’avais pas lu.
Déjà, les Guerres Secrètes m’avaient un peu soufflé, même si les affrontements sont nombreux, les interactions entre les personnages et leurs évolutions étaient intéressantes, même si certains persos comme Wolverine étaient mal caractérisés.
Les thèmes abordés dans ES sont nombreux et bien traités, avec des points de vue différents, notamment ce totalitarisme pour le bien de tous qui n’a jamais été autant d’actualité.
De plus, certains personnages sont vraiment des connards finis, comme ce Golden Archer, même s’il a des remords sur ses actes. C’est intéressant aussi que tous les personnages ne soient pas des modèles de vertu, malgré que l’on soit dans le super-héroïsme.
Il faut dire que depuis, bon nombre de super-héros ont eu leur part d’ombre aussi dans l’univers classique. C’était moins présent à l’époque.
Au niveau de la narration, il y a bien quelques lourdeurs descriptives, mais globalement, j’ai trouvé que c’était peu présent. L’ensemble se relit vraiment bien.
Je ne connaissais pas cet épisode « Death of a Universe », il offre encore ce lot de surprises et de décès. Un peu de facilité cependant avec ce deus ex machina, même si la tension avec le compte à rebours met un peu de stress.
Franchement, ça pourrait être lu à l’école, ça pourrait ouvrir bon nombre de débats.
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Xavier Fournier avait avancé l’argument, très juste, que si la série avait été dessinée par un seul illustrateur (et encore mieux si celui-ci était d’un meilleur niveau, même si c’est très propre déjà), elle aurait sans doute davantage marqué les esprits. Tout par Bob Hall, tout par Paul Ryan, ça aurait été chouette. Tout par Paul Smith, ça aurait été encore meilleur. Le fait qu’elle ait été gérée comme une série ordinaire n’a pas joué en sa faveur.
Jim
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C’est vrai qu’il y a un style classique, voire académique, même si je ne suis pas spécialiste en la matière.
Après, ce qui m’a vraiment intéressé dans cette série, c’est ce qu’elle racontait, plus que les dessins.
Oui, c’est plutôt bien dessiné, j’aime de bout en bout. Mais il manque une unité graphique, qui a porté les grands succès. Je pense que ça aurait pu arriver en albums à la fin des années 1980, dans la première vague qui a conquis les librairies, si le dessin avait été homogène.
Jim
J’avoue, c’est la raison qui m’a fait raté l’escadron Suprême. Spidey n’était pas ma revue préférée une fois terminée les X-Men de Neal Adams et les 1ères Guerres Secrètes, et mes parents ne pouvaient tout l’acheter. J’ai donc arrêté rapidement, récupéré plus tard quelques reliés (par-ci par-là) , mais l’absence d’une partie graphique « à la hauteur » fait que je n’ai jamais lu cette série en entier. Et je n’ai toujours pas sauté le pas du Deluxe pour un peu cette même raison.
Je ne sais pas si l’absence d’unité graphique pèse plus que qu’une ambiance classique face à deux monstres qui extrait un genre pour le plonger dans un univers plus mainstream. Golden Age ou New Frontier rencontre le même intérêt moindre alors qu’ils ont une cohérence graphique.
Je pense qu’il y a aussi tout une suite de choix personnel (est-ce que Watchmen aurait l’aura qu’il a en France si Doug Headline ne l’avait pas supporté alors ? Que ce serait-il passé si The Dark Knight Returns n’était pas un des précurseurs dans la BD US cartonné ?) et de rendez-vous manqué avec L’Escadron Suprême qui explique sa place en queue de comète.
Battlestar Galactica style (arriver à plaire à une frange du public pas forcément très fan de SF ou de super-héros) ?
Entièrement d’accord. C’est pour cela que je pense que, si la série avait dessinée par un seul illustrateur qui, en plus, aurait eu l’heur de plaire à Fershid Bharusha (ce monsieur n’aimait ni Ditko ni Kirby, rappelons-le), elle aurait accédé à un support pérenne.
Car oui, tu soulèves un point intéressant : Watchmen et Dark Knight ont accédé très tôt à l’album (Watchmen a eu une tentative avortée en kiosque, et Dark Knight n’est même pas passé par cette étape). Ça aide. Là où Swamp Thing, ou les Daredevil de Miller cités plus haut, ont d’abord été traduits en kiosque. Dans la logique d’une presse spécialisée (je ne parle pas de Scarce qui était un fanzine, ni de Comic Box qui n’existait pas encore) qui ne s’intéresse qu’au cartonné de librairie (à part une colonne dans USA Magazine qui traitait de l’actualité US entre autres), je pense que la série aurait pu accéder à une plus grande notoriété si elle était passée par l’album, et elle serait passée par l’album si le niveau graphique avait été meilleur.
Un Golden Age (tout récemment) ou un New Frontier sont sortis dans un paysage éditorial différent : l’offre librairie est nettement plus conséquente. C’est aussi un paramètre à ne pas oublier : la force d’un Watchmen ou d’un Dark Knight a été décuplée en France parce qu’ils sont arrivés à une période où les super-héros en librairie, c’était extrêmement rare. Donc très qualitatif, une vraie sélection. Comment Watchmen pourrait toucher le public, aujourd’hui ? Ou : si vers 1985 l’offre librairie avait été aussi conséquente qu’aujourd’hui, Watchmen aurait-il eu le même impact ?
Jim
Et comme il manque plusieurs pages dans les Spidey…
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Il a toujours, pour moi, jouit d une très grande aura.
A quelqu un qui aurait aimé watchmen et qui demanderait quoi lire après cela golden age est ce qui me viendrait en premier.