Sundra Peale & Jil (Nexus) aussi dans une certaine mesure.
Bon, là dans mon souvenir c’est moins explicite que Maggie/Hopey (duo naviguant entre l’amitié et la romance).
- Psycho Lesbian: This is the subtext to Ursula Imada’s obsession with Sundra Peale. By the time of Ursula’s death, it was only just barely subtext. Averted with Jil, who is a lesbian but not at all psycho, and Sundra, who is clearly bi and also not at all psycho.
Oui, je te rejoins sur l’ensemble. Tout est naturel. Même le mec avec les cornes.
C’est sûrement pour ça que ça passe super bien. On s’en fout de comment ils sont parce qu’ils n’en font pas de cas ainsi que celles et ceux qu’ils rencontrent (ça me rappelle une discussion de jeudi). Ce sont leurs aventures que l’on suit.
Et aussi, ils évoluent, vieillissent, grandissent, blanchissent, grossissent …
Héhéhéhé, ouais.
Voilà. Et autre chose : dans mon souvenir, il n’y a pas de trauma. Il y a des blessures de la vie, des cabosses, mais il n’y a pas de justification de tel ou tel comportement, de tel ou tel choix. Pas besoin d’un péché originel ou d’un choc fondateur. Ce sont des gens, avec le cuir plus ou moins épais à force d’être tanné, mais c’est tout. C’est en tout cas le souvenir que j’en garde.
Jim
Faudrait regarder de quand date l’expression.
Il semblerait que l’usage remonte à 1988.
Donc six ans après les débuts de Love & Rockets.
Jim
Après, au-delà de l’utilisation de LGBT, si on ne s’arrête qu’à ce que tu dis : finalement, est-ce que le fait que tous ces persos soient intégrés, vive leur vie sexuelle comme cela leur chante, n’est pas justement une forme de revendication, implicite en quelque sorte ? Que ce ne soit pas les perso qui défendent quoi que ce soit, ok, mais derrière eux, est-ce que les auteurs, eux, ne présentent/prônent pas une forme de modèle de société, du moins sur cet aspect ?
Oui, bien sûr, sans doute, mais c’est vachement plus discret. C’est comme le couple de lesbiennes dans Jekyll : c’est là, voilà, mais c’est pas du tout le sujet du récit. J’aime ça.
Jim
Tiens, dans les séries britanniques, de la même façon, on a facilement des acteurs noirs ou d’origine pakistanaise sans que ce soit « utile » au récit : on a pris cet acteur parce qu’il est bon, pas pour sa couleur de peau (et on a facilement des couples mixtes sans que ça fasse les unes de la presse).
Tori.
Tu veux dire pas comme dans certains films où on installe la blonde de service ?
Oui, voilà.
Bon, ça n’empêche pas que ce soit parfois le cas, hein…
Tori.
(reste 5j - 198%)
201%
Dernier week-end (229%)
250% /// les couverture des deux livres bénéficient d’effets de production (texture).
Dernier jour
(238%)
C’est très tentant, mais quatorze tomes ça fait un sacré investissement sur le long terme.
C’est Love & Rockets. 
Après, j’ai souvenir que je finissais un tome sans ressentir de frustration. Donc, je ne sais pas si le découpage logique aura le même ressenti.
Mais non, je suis sûr qu’il est chiant comme patron. En plus, il arrêterait pas de rogner sur les primes … « hein, quelles primes ? »
Après, une question semble être posée, c’est un univers que je connais un peu (et que j’aime beaucoup), donc je réponds. Ce serait sur les X-Men (sauf si c’est le Mallrat qui pose la question, ce serait bourré d’ironie et de sous-entendus), je répondrais tout pareil, sauf que je ne serais pas le seul et que donc ça ne se verrait pas.
Non mais c’est surtout que je trouve que tu fais bien le taff !!
