C’est toujours avec le même plaisir que j’ai lu le troisième tome de ce manga devenu un classique.
Dans les péripéties au programme de ce tome, on notera principalement le départ de Yusaku de la Maison Ikkoku, suite à un quiproquo. Comment cela va-t-il se terminer ? La réponse dans ce même tome.
Ce manga mélange toujours avec autant de subtilité les sentiments et l’humour, et à chaque fois que Yusaku veut se rapprocher de Kyoko, les autres locataires, détestables et hilarants à la fois, sont là pour briser ses espoirs.
Bien entendu, Kozue et le rival Mitaka sont toujours là. On ne voit pas beaucoup Mitaka dans ce tome, mais plusieurs passages sont consacrés à Kozue, naïve mais attachante.
Les dessins de Rumiko Takahashi, même s’ils ont un peu vieilli, servent toujours parfaitement le scénario, et le découpage sous forme de petites bulles est dynamique.
Au final, ce tome est aussi bon que les 2 premiers, et offre une nouvelle fois son lot de quiproquos.
Ce tome 4 mélange un nouvelle fois avec brio quiproquos, humour burlesque et moments plus sentimentaux.
Les doutes et le manque de maturité de Yusaku sont mis en avant, mais on sent, notamment lors de son voyage à Hokkaido, que le jeune homme évolue peu à peu.
Les autres locataires de la pension sont, comme précédemment, à la fois détestables et drôles, et la grand-mère de Yusaku est assez irrésistible dans son envie d’aider son petit-fils, car elle ne s’y prend pas forcément toujours de la bonne manière.
Le charme des dessins de Rumiko Takahashi opère toujours à merveille, et la lecture de ce tome est une nouvelle fois un vrai plaisir.
On ne peut que souhaiter à Yusaku de réussir à conquérir le coeur de Kyoko. Courage !
Après le départ, non sans quelques incidents loufoques, de sa grand-mère, Yusaku peut reprendre ses révisions en vue des examens. Mais suite à une nouvelle dispute avec sa chère Kyoko, il se retrouve à l’hôpital avec une jambe cassée ! Dès lors, Kyoko se sent coupable, et les deux jeunes gens semblent se rapprocher… mais c’est sans compter sur Shun, qui fait exprès de se casser lui aussi la jambe pour se retrouver dans la même chambre que d’hôpital que Yusaku.
Une fois sorti de l’hôpital, Yusaku pourra envisager de passer ses examens.
En fin de tome, un nouveau locataire arrive à la pension. Mais quel est réellement son objectif ?
Ce tome est sans doute le meilleur de la série pour le moment. A travers sa jalousie envers la naïve Kozué, Kyoko semble voir ses sentiments évoluer petit à petit, mais elle n’arrive toujours pas à oublier Soichiro… Shun, le rival amoureux de Yusaku, est toujours là pour tenter lui aussi de conquérir Kyoko, les autres colocataires sont toujours aussi excentriques et loufoques, et les parents de Kyoko se montrent plus que jamais possessifs envers leur fille. Des nouveaux personnages apparaissent, comme la cousine de Yusaku qui aura droit à sa petite histoire, et le nouveau locataire, dont on sait encore peu de choses.
Tous les ingrédients sont donc présents pour rendre ce tome palpitant. Les nombreux évènements, ancrés dans la vie quotidienne des personnages, confèrent à Maison Ikkoku un réalisme saisissant, et Rumiko Takahashi sait passer avec une grande aisance des phases d’émotion aux passages plus drôles. Et le charme particulier des dessins de la mangaka opère touours à merveille, même s’il ne plaira pas à tout le monde.
A chaque nouveau volume, on comprend un peu mieux pourquoi Maison Ikkoku est considéré comme l’une des meilleurs comédies romantiques de sa génération. Dommage que cette réédition de Tonkam, malgré sa bonne traduction, ne soit pas plus agréable à manipuler…
bien que je trouve ta note assez généreuse j’ai vraiment bien aimé ce dernier volume .
Bien qu’il commence comme tous les autres( quiproquo improbable etc…), le propos change radicalement quand les choses s’accélèrent entre yusaku et kyoko et pour le coup le manga m’a pas mal surpris (oui je fais partie des nombreuses personnes qui n’avaient pas lu l’œuvre lors de sa première édition) et le final est bien, plaisant quoique très prévisible
malgré tout j’ai préféré les premiers volumes de la série , par la suite mon attention a été quelque peu ébranlée par une succession de quiproquo interminables et l’intervention perpétuelle des colocataires de la pension qui pour le coup sur la fin n’était plus franchement drôle , pour le coup , bien qu’il ne fasse que 10 volumes , je pense que la série aurait pu etre legerement plus courte.
Je ne boude cependant pas mon plaisir, maison ikkoku est un des meilleurs shonen sentimentaux sortis chez nous, cédant très rarement à la facilité et jamais au fan service
J’ai lu dernièrement les 5 premiers tomes de Maison Ikkoku… J’avoue que n’étant pas vraiment fan de dessin animé étant gamin, je n’avais absolument aucune idée de ce que pouvait contenir ce manga.
Je m’attendais à quelque chose de vraiment gnangnan d’après les couvertures, et au final, je suis surpris de voir à quel point c’est prenant et addictif. On a vraiment envie de savoir la suite !
Une chose quand même surprenante, c’est ses points communs avec Love Hina. Y en a tellement qu’on se demande si l’auteur de Love Hina a eu une quelconque idée originale pour son manga…
Je trouve quand même Maison Ikkoku incomparable à Love Hina de part sa qualité… De plus le style graphique, assez vieillot, ne me gêne absolument pas. Bref, je ne vais pas plus m’attarder, j’adhère et j’adore !
Une série que j’avais commencée en version américaine : je crois qu’à l’époque ce n’était pas encore traduit en français, mais j’avais accès à l’édition de Dark Horse (je crois, je sais plus), alors que Ramna, je l’ai en français.
Alors qu’on l’a connu par l’anime (je ne suis pas certain que les Américains l’aient eu à la TV), plus connu chez nous sous son titre français : Juliette, je t’aime.
Oui, c’est comme ça que j’ai connu le truc aussi. Et ensuite, y a eu un numéro de Mangazone qui m’a permis de mettre un nom derrière tout ça.
Et ensuite, bien des années après, j’ai acheté les séries parce que quand même, c’est aussi drôle que joli. Mais voilà, j’ai cette série en anglais. C’est d’ailleurs pas la seule, dans mon bordélique rayon manga.