Tony Stark traverse la plus grosse crise de son existence : les secrets de sa technologie ont été volés et revendus au plus offrant ! Les circuits qui équipent Iron Man sont intégrés aux armures de militaires, et même de super-vilains ! En tant qu’Iron Man, Stark va tout faire pour empêcher un usage néfaste de ses inventions… ce qui pourrait l’amener en conflit direct avec un certain Captain America !
Plus d’information
Plus d’information|Auteur·e·s :|Barry Windsor-Smith, Bob Layton, David Michelinie, Mark Bright|
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|Date de sortie :1 mars 2023|
|Type de produit :|Comics|
|Pages :|496|
|Format :|17X26|
Collects Iron Man (1968) #215-232, Iron Man Annual #9 (précédentes publications : Strange 220 à 238, Best of Marvel Iron Man : La Guerre des Armures et inédit pour l’Annual 9)
Oui, d’après comicsvf, il y a eu dans Strange 4 épisodes avec des pages en moins, dont celui dessiné par BWS. Pour ce qui est des cases retouchées, c’est plus difficile à savoir…
N’étant pas fan d’Iron Man, j’avais adoré à l’époque, il y avait de l’action, le duo Bright/Layton proposait une représentation massive des armures, la conclusion du 1er combat avec Firepower était incroyable, avec le casque ensanglanté ! J’y avais cru bordel !!
Par contre, le relire des années plus tard, j’ai beaucoup moins aimé. Stark y est assez désagréable et ça a amplifié mon rejet envers ce personnage qui se découvre une conscience , mais agit comme un connard !
Je suis pas loin de penser la même chose sur le personnage. Que je n’ai jamais vraiment aimé.
Je l’ai découvert avec la première période Michelinie, que je trouve très bonne. Le personnage y est faillible, désagréable mais faut dire qu’avec le tombereau d’emmerdes qui déferle sur lui, on peut l’excuser, et il se bat, à la fois pour lui et pour les autres. La série se veut d’ailleurs assez progressiste et, pour employer un terme anachronique, inclusive (un Noir, une vieille…) (même si, au final, l’irruption de Rhodey doit surtout à John Byrne et à Roger Stern) et décrit la richesse comme une béquille parfois pratique mais souvent inutile (face à l’alcool, par exemple).
Tout le contraire pour la seconde prestation, qui montre un Tony très bling-bling, encore moins capable d’assumer ses soucis, qui se montre violent et totalitaire dans la protection de ses brevets, qui vit très mal sa position de handicapé… En filigrane, on a la description d’un monde conservateur, peuplé de Blancs nantis qui protègent leurs acquis.
On peut noter deux parallèles entre les époques (au-delà de l’évidente comparaison des deux apparitions de Doctor Doom) : dans les deux cas, Michelinie s’empresse de se débarrasser des intrigues et personnages laissées par ses prédécesseurs, l’épisode avec Nefaria permettant de montrer un échec du héros et donc une fêlure, la fin des protagonistes d’O’Neil transformant les alliés en ennemis et faisant de Stark une pauvre victime ; et il y a bien entendu les deux rencontres avec Steve Rogers, qui éclairent l’évolution de Tony, de plus en plus arrogant.
Autant j’adore la première prestation, autant je déteste la seconde.
Perso, j’ai vraiment commencé à le connaître et l’apprécier quand il est en fauteuil. J’ai aimé sa détresse alors et son rejet compréhensible de ceux qui veulent l’aider.
J’ai commencé à lire Iron Man quand il affronte Obadiah Stan et porte l’amure rouge et blanche. J’avais quelques vieux Stranges, avec la 1ère partie du voyage temporel avec Fatalis, mais rien sur la période « alcoolique » du personnage. Peut être aurais-je eu un rapport avec le personnage différent. Iron Man en équipe ne me pose pas de problème. Il pouvait être utilisé comme « rival » de Captain America, mais en solo, je n’ai jamais été sensible au personnage ou à son environnement.
Je l’ai découvert en alcoolique (et peut être pendant la saga des Vengeurs / Spidey/ La Chose / Warlock vs Thanos). Mais rn alcoolique ça m’avait marqué.
