OUI
Par ellis en plus ?
C etait comment ?
M’en souviens plus.
Pareil
Pareil…pinaise, le nombre de comics des années 2000/2010 qui me sont sortis de la mémoire…^^
C est la vieillesse les gars.
Ça ce trouve, j ai moi-même oublié l avoir lu.
Ou que c’est trop anecdotique pour faire forte impression (Ellis n’est en plus pas gâté à la partie graphique dans ce cas-là).
Magnifique tamis qui te fais trier le bon grain de l’ivraie
Le petit jeune que j’étais à l’époque était vraiment fan de ces épisodes. Du coup je l’ai pris
Je me demande les plus qu’il y a comparé à ce que Panini avait déjà publié ?
Il y a 11 numéros supplémentaires par rapport au best of.
Tiens
Yan graf ecrit des editoriaux pour panini
J’ai retrouvé. J’étais sympa à l’époque. J’ai beaucoup changé.
Ultimate Comics: La Guerre des Armures #1-4
Après la vague apocalyptique lancée par Magnéto, il est temps de tout reconstruire. Mais aussi de faire le ménage et l’heure est au rationnement mondial. Les fortunes et les biens privés sont réquisitionnés pour qu le monde revive après l’Ultimatum.
Dépourvu petit à petit de ce qu’il possède, Iron-Man décide de récupérer à son immeuble de New York un précieux objet qu’il ne souhaite pas voir confisqué. Il va avoir la surprise de se retrouver nez à nez avec la fille de Justin Hammer, Justine, cherchant les plans de nanomachines de Stark, afin de survivre aux expériences in vivo qu’elle a dû subir, réalisées par feu son père. Mais décidément, la sécurité du bâtiment n’était pas vraiment efficace, car le Fantôme, un espion industriel, vole au même moment la fameuse boite que venait chercher Tony Stark. Bien qu’engageant les hostilités, le héros ne peut empêcher l’homme en armure blanche de s’enfuir avec son butin. Il note tout de même que la technologie qu’il utilise lui rappelle étrangement quelque chose …
Quiconque ayant lu la première Guerre des Armures de Michelinie, Layton et Bright verra de grandes similitudes (construction, intrigues, parallèles) dans cette histoire que nous conte Warren Ellis. En même temps, c’était le credo de départ de l’univers Ultimate. Ce qui est intéressant, c’est comment il retransforme cela en y ajoutant ses petites touches personnelles (toujours très à l’aise quand il s’agit de parler haute-technologie). Il profite de cette période pour montrer et poser des questions sur le « juste après » économique d’Ultimatum. Il ne s’agit pas seulement de sortir les truelles et les briques et de tout reconstruire et c’est un point qui est rarement mis en avant après tout cataclysme cosmique. Et cela a son importance dans le déroulement de l’histoire.
Il s’est également bien approprié les personnages, maniant parfaitement un Tony Stark toujours bien plus excentrique, prétentieux, alcoolique et homme à femme que l’original. Les autres protagonistes sont ses propres recréations, et même si le Fantôme n’est pas très original, Faustus et Modok valent le détour. Et il ramène même Bram Velsing (Dreadknight sur la Terre-616) pour les besoins de l’intrigue. Quitte à faire un milieu bizarre, autant ne pas le faire à moitié. Et tout ce petit monde a la chance de discuter via la verve d’Ellis, toujours prête au bon mot.
Néanmoins, il y a un point qui me surprend depuis quasiment le départ dans cette ligne : ce sont les violences visuelle et morale. Les premières pages nous montrent bien quel cimetière est devenu New York et Stark est vraiment sans concession, se permettant de décider qui a droit de vie ou de mort (surtout quand on utilise sa technologie). Cela est quand même un peu étrange pour une collection devant ramener de nouveaux lecteurs, et surtout des jeunes.
On a pu voir Steve Kurth notamment dans un court épisode lié à Secret Invasion et quelques épisodes d’Initiative, mais rarement sur quatre épisodes entiers et on peut dire qu’il s’en sort plutôt bien. Surtout qu’il a décidé de garder le design de la première armure vu dans la série Ultimates, ce qui évite un rapprochement avec l’univers classique comme on peut le voir petit à petit avec certains personnages. Son coup de crayon me fait penser à celui d’Hairsine, en étant moins sombre, moins précis et ajoutant moins de détails. On sent une certaine maladresse par moment, notamment dans le positionnement des corps. Dommage, car il est plutôt à l’aise avec les armures. Un dessinateur qui reste à suivre car il peut évoluer dans le bon sens avec le temps.
Avis : c’est autosufisant tout en s’inscrivant naturellement dans la continuité, pas trop étiré et bien dynamique : c’est bien meilleur que d’autres productions ellisienne dans ce créneau !
Parution française dans Ultimate Hors Série #11
En effet, ça a l air bien.
Mais ça va pas te plaire.
Ce n est pas du bon ellis ?
Ma lecture et mon avis sont dans un contexte particulier.
Toi tu vas le lire dans un autre. Et tu as d’autres exigences de lecture.
Donc ce n’est pas gagné que ça te plaise
Disons que c’est plus dispensable/anecdotique que son « Extremis ». Pas sûr que le style de Kurth soit à ton goût non plus (là où son Ultimate Iron Man Vs. Hulk a au moins l’avantage d’avoir Cary Nord).
C est vrai que ellis n a pas été très brillant sur la ligne ultimate.
Seule la première mini de sa trilogie galactus etait sympa.
J ai bien aimé également le voyage en zone negative dans ses ff.
Pour le reste de ce que j ai lu, c etait parfaitement dispensable.
Si les intrigues sont toujours prenante et bien faites, on peut regretter l’entreprise de dezingage à tout va du précédent run.
En plus (ou dans ce mouvement), Stark perd toute son humanisation précédente et (re)devient prétentieux, egocentrique, égoïste, con parlant de racheter tout ce qui lui déplait.
Je ne peux m’empêcher de repenser que la période Michelinie de Spiderman est assez blingbling aussi.
Mais, lui et Layton savent vraiment trouver de quoi divertir le lecteur avec des intrigues sympas, la création du Ghost… reste que la traduction laisse à désirer surtout sur la partie guerre des armures.
Sympa mais qu il est con ce Stark.