MARVEL : L'ART DE JOHN ROMITA Jr

[quote]HORS COLLECTION : MARVEL - L’ART DE JOHN ROMITA JR

Auteurs : John Rhett Thomas, John Romita Jr

240 pages, 36,00 EUR, en librairie seulement

Le fils de John Romita a su forger sa propre légende. Au cours de quatre décennies chez Marvel, l’artiste a su se réinventer sans cesse, en illustrant les plus grandes icônes de la Maison des Idées. Spider-Man, les X-Men, Iron Man, les Avengers, Daredevil doivent à John Romita Jr. quelques uns de leurs plus beaux épisodes.

  • (Contient l’album US The Marvel Art of Romita Jr, inédit)*

SORTIE LE 1er JUIN[/quote]

oulala … chez Panini ?

Ouaip !

Je vais avoir du mal à résister …

Mais si. Tu es fort.

Jim

Bah je sais que tu n’es pas un fan de JR², mais bon, les dessins de ce mec ont toujours été là quand je lisais des comics, donc c’est un peu mon fil rouge … et j’aimais bien son style dans les années 90 et 2000 …

La critique par Auray est disponible sur le site!

Lire la critique sur Comics Sanctuary

C’est quoi un format « type gaufrier » pour un livre ?

À mon avis, il s’est gaufré : il voulait sans doute parler de format à l’italienne…

Tori.

Ce que je me dis aussi …

fr.wikipedia.org/wiki/Gaufrier_ … sin%C3%A9e je répond tardivement mais voici la réponse bn lecture

Donc ce livre est une BD ?

" Elle permet de publier la bande dessinée sous plusieurs mises en forme (en album ou en strip par exemple)" le terme bd ici est à voir au sens large, beaucoup d’extrait dans le Romita

Mouais …

tu prends un rectangle gaufrier tu le mets droit ou vertical, c’est le format franco-belge classique, tu le mets à l’horizontale, c’est la bd format à l’italienne ou strips.

Non, mais je savais déjà ce que c’est que le gaufrier… Mais ce n’est pas un type de format de livres : c’est un type de mise en page… « Un livre format gaufrier », ça ne veut juste rien dire.
C’est un peu comme si je parlais d’un « roman format Garamond »…

Tori.

Merci Tori !

Mouais …

Rien à voir.
Little Nemo, c’est vertical, mais c’est pas du gaufrier. Les BD d’Andreas, genre Rork ou la Caverne du Souvenir, c’est du franco-belge mais c’est pas du gaufrier. Pareil pour Druillet. Les strips du Spirit, c’est pas du gaufrier.

Le gaufrier, en BD, c’est l’utilisation de cases de même taille dans la planche. Coutoo d’Andreas, c’est du gaufrier. Plein d’albums de Chauvel ou de Brunschwig, c’est du gaufrier. Watchmen, c’est du gaufrier de neuf cases. Dark Knight, c’est du gaufrier de seize cases.
Le gaufrier n’a de sens que dans le cadre de la planche. Parler de gaufrier pour des strips, ça frise même l’absurde.

Le gaufrier est une manière de faire de la BD. Ce n’est pas la BD en entier.

Si on veut parler d’horizontal ou de vertical, il n’y a qu’à dire « à l’italienne » ou « franco-belge ». Ça couvre quasiment tous les cas, c’est plus précis et les gens comprennent.

Les mots ont une signification. Un sens dans le contexte où on les place. Inutile de remplacer un terme par un autre histoire de faire le malin. Inutile de réinventer la roue. Si on commence à employer n’importe quel terme n’importe comment, on s’en sort pas. Et on aura beau s’agiter, la pensée sera confuse.

Jim

C’est comme ça qu’après, quand les gens parlent de la tranche d’un livre, on ne sait plus s’ils parlent de sa tranche ou de son dos (c’est valable aussi pour le dos du livre : on ne sait pas s’ils parlent du dos ou de la quatrième de couverture)…

Pour conclure :

Tori.