MÉTAL HURLANT #1-133 (1976-1987), #134-145 (2004-2006), #1-10 (2021-)

Oui, subtilité qui m’échappait à l’époque.

D’ailleurs, une fois que c’était publié en album, on appelait ça des « romans ».

Jim

J’ai vérifié les pages dans deux autres kiosques : le problème était présent aussi… Mais j’ai regardé les exemplaires qu’on avait en boutique, et ils ne sont pas touchés.
Il semble donc que ça ne touche que la version presse et pas la version librairie.
Au passage, le code-barres n’est pas au même endroit sur la couverture :

Tori.

Team roman (à suivre) de très loin.

Comment ne pas, lorsque cela débute avec ici même ?

Ah il y a donc deux versions ? J’avais pas compris.

J’avais remarqué ça, mais je pensais que c’était simplement une modif entre la mise en ligne des informations et la mise en vente.
Diable.

Donc, pour résumer, la question essentielle est :

Tu penses que la version librairie est commandable partout (en étant sûr de récupérer cette version, pas l’autre) ?
Parce que si oui, je vais commander de ce pas !!!

Jim

Non, les deux images correspondent l’une à la version presse, l’autre à la version librairie. Et le code-barres, donc, n’est pas situé au même emplacement sur les deux versions.

Je ne sais pas.
Dans toutes les librairies, oui. Dans les kiosques qui font de la librairie, peut-être (c’est distribué par Hachette).
L’ISBN/EAN est 9782731607123 si ça peut te servir.

Tori.

J’avais pas compris.

Oui, je vais commander chez ma libraire.

Super, merci !

Jim

Ah, ma libraire confirme que c’est commandé.
J’attends de bien vérifier mon exemplaire, mais en tout cas, merci du tuyau.

Jim

Je suis passé dans un kiosque qui avait trois exemplaires… Ils étaient exempt de l’erreur de fabrication.

Le tirage de la version kiosque n’a donc pas été touché dans son intégralité.

Tori.

Diable !
Quelle affaire.

Jim

Hop, récupéré un exemplaire de la version librairie (avec le dernier Aristophania). Ce qui me permet de regarder de plus près les trucs qui étaient « masqués » par le doublon de cahier. Dont quelques pages de Bilal. Je vais regarder ça de plus près très vite.

Jim

Je n’ai pas écouté le podcast. Par contre, je ne comprends pas cette partie :

Ce N°1 vend 70 000 exemplaires. Un énorme succès.

Mais le 6 octobre 2021, refroidis par la formule du N°1, les Humanos signifient à Bernière la fin de leur collaboration et reprennent le contrôle du titre.

C’est un succès, mais les Humanos sont refroidis par la formule. Pourquoi ? Qu’est-ce qui ne leur a pas plu ? Soit c’est du politiquement correct et la formule de la phrase nous prend pour des cons, soit ils ne savent pas (ce que je doute, vu l’auteur de l’article, qui doit même avoir les deux sons de cloche).

Là, on a l’explication. C’était visiblement prévu.

Je ne sais pas : j’ai trouvé l’arrivée de ce numéro hommage un peu rapide, j’aurais pensé que ça viendrait plus tard, et dans un numéro hors série. Là, ça ressemble à un changement de direction brutale, mais je n’ai aucune idée des raisons en coulisses.

Jim

Toujours est-il que Frissen hérite du magazine. Il va en conserver le projet initial : quatre numéros par an avec, en alternance, un numéro de création et un numéro d’anthologie qui reprend les grandes histoires classiques de Métal Hurlant .

C’est bizarre, comme formule, ça semble ménager la chèvre et le chou.

Mon goût pour le patrimonial va me porter à regarder les numéros pairs, et je jetterai un œil aux numéros impairs aussi.

Jim

Moins cher à produire, plus de temps pour les créations ?

Sur un trimestre, je ne crois pas que ce soit un problème de temps.

Toi qui as lu en détail l’article du lien, tu me diras (je n’ai fait que survoler), mais j’ai noté aussi que la composition du sommaire change. Le premier numéro s’ouvre sur une grosse partie rédactionnelle, ce qui est pas mal, mais Métal Hurlant, c’est de la BD, donc j’ai été étonné qu’une telle place soit réservée aux articles. Dans le numéro suivant, on rentre plus tôt dans le vif du sujet. Donc je ne sais pas, mais peut-être que ça fait partie des choses qui ont généré des « divergences créatives » ou je ne sais plus comment on appelle ça.

Jim

Est-ce la suite aurait-été pareille ? Parce qu’à la rigueur, relancer la revue avec un explicatif n’est pas incohérent.
Mais bon, on ne le saura pas (et qu’importe, d’ailleurs), mais oui, possible que si Bernière a dit qu’il voulait continuer comme cela (enfin, je ne suis pas sûr qu’il y ait pléthore de sujets non plus) que cela ait changé la donne. Mais bon, je reste surpris quand même que les Humanos aient été surpris …

Oui, enfin là, c’est genre trente pages, avec plein d’articles divers. Ça m’a étonné. Je ne l’ai pas sous les yeux (et il doit être dans une pile, oui, mais laquelle ?), je ne peux pas compter les pages, mais c’est très copieux.

Surtout à 70 000 exemplaires.
Ou alors ils avaient des attentes nettement plus élevées.

Jim