Au sein de la collection Wonder Comics supervisée par Brian Michael Bendis, il n’y aura pas que des jeunes héros connus ou des nouvelles versions de concepts comme Dial H for Hero.
Naomi est une jeune femme qui est sur le point de découvrir un secret important pour l’univers DC.
Plus de détails dans quelques mois…
La série Naomi est co-créée et écrite par Brian Bendis et David Walker (Cyborg). Les dessins sont de Jamal Campbell (Justice League of America: Vixen).
David Walker : “Brian and I have been friends for years; we teach together and we argue about movies. Because we teach together, we talk a lot about our theories on comic storytelling and what characters can do. Especially character development and what it can do.”
“As you all know Brian was very sick not that long ago and I visited him in the hospital. We’re together and I’m sitting at his bed and he’s doped up and Brian’s saying ‘Man we’re going to do a book together’ and I’m all ‘Sure man, whatever,’ just trying to keep my sick best friend happy. Three months later he calls me up and says ‘The book got green lit!’ and I’m all ‘What book?!'” shared Walker.
“Naomi is about character development and stories I experienced growing up as a person of color in a predominantly white town. I was very poor growing up, and the white people in my town were very wealthy. My family literally cleaned the houses of the wealthy. I didn’t think my doped-up friend was writing this all down.”
J’aime bien cette ligne « NAoDCH ». Aucune série ne sort du lot mais on a le plaisir de lire qu’aucune contrainte éditoriale ne pèse sur les books. Certains séries deviennent même attrayantes comme Sideways ou Terrifics, voir Silencer.
Mais je ne la vois pas durer dans le temps. Douze épisodes, deux TPB et s’en vont.
(W) Brian Michael Bendis, David F. Walker (A) Jamal Campbell
DC’s biggest, newest mystery starts here! When a fight between Superman and Mongul crashes into a small Northwestern town, Naomi (last name?) begins a quest to uncover the last time a super-powered person visited her home-and how that might tie into her own origins and adoption. Follow Naomi’s journey on a quest that will take her to the heart of the DC Universe and unfold a universe of ideas and stories that have never been seen before. Join writers Brian Michael Bendis, David Walker and breakout artist Jamal Campbell in Wonder Comics’ massively ambitious new series and star… NAOMI.
Ouais, c’est vraiment la typo bas de casse qu’on voyait dans les titres Ultimate. Personnellement, je ne suis pas très fan. Je ne saurais pas tellement dire pourquoi, d’autant que celle-ci est plutôt lisible, souple et agréable.
Un premier épisode « pur Bendis ». Tous les tics de l’auteur y passent : dialogues, typographies (;)) et découpage paysagers immobiles!
Naomi est un personnage qui sera attachant, à n’en pas douter. En zieutant sur Newsarama, les auteurs évoquent cet apport (Naomi) comparable au « Quatrième Monde »… Rien que ça…
Pour en revenir au book, c’est très introductif. Très beau même si certains plans me peinent de facilité.
L’histoire présente les personnages et surtout marque de Bendis, le supporting cast qui est SA grande marque. Celle que je préfère d’ailleurs.
A la lecture du book, le sentiment est mitigé. Rempli de plein de choses mais vide d’enjeux, ça sera au numéro deux de nous remplir l’estomac à ce niveau là.
Contrairement à mon prédécesseur en commentaire, je n’ai pas été peiné par la facilité de certains plans. J’ai plutôt été enthousiasmé par le travail de Jamal Campbell [Pour en savoir +]. Dont je vais derechef aller chercher les travaux précédents.
Coup de bol, je me suis entiché du travail de Charles Soulevia son run sur Swamp Thing, et je crois qu’ils ont justement travaillé ensemble.
Bref, pour en revenir à Naomi, ce premier numéro est pas mal du tout.
Bendis, dont j’avais pour le moins laissé le travail de côté depuis de nombreuses années, s’inspire d’un fantasme assez courant, lequel semble être destiné à surtout servir de McGuffin à une (en)quête au cœur de l’univers de DC Comics. Pourquoi pas !?
En tout cas cette collection « Wonder Comis », signe, pour ce que ça vaut, mon rabibochage avec les productions Bendis & Co., puisque j’ai aussi lu le premier Young Justice.