NEW CHERBOURG STORIES t.1-5 (Pierre Gabus / Romuald Reutimann)

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La couleur va vite arriver :wink:

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Et la couleur!

Autant je n’étais pas très fan de sa vue du Roule (graphiquement très réussie mais trop statique à mon goût), autant celle-là, je la trouve sublime! :heart_eyes:

Pour le roule palace, Romuald voulait faire un focus sur le bâtiment, c’est pour cette raison qu’on ne retrouve aucun perso dessus.

Concernant celle de la place du théâtre, c’est complètement différent en effet.
On y retrouve Camille et Julienne sur un banc, Gus et Claudius devant le café du théâtre. Pour les connaisseurs, il y a le petit couple d’anciens qu’on retrouve sur la sérigraphie de la galerie municipale de prêt.
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Sinon des petits clins d’oeil ici et là :
-les arrêts figurant sur le tram correspondent aux arrêts du bus actuel. Les pubs pour le CGR (qui devient le Cinéma Grand Rideau) et pour Ratti.
-sur le dos du journal, une pub pour la Mer à Boire, une photo d’un contrôle sanitaire de migrants à l’hôtel atlantique, un avion en référence à Lindbergh (ou Amiot j’ai un doute).

J’aime beaucoup sinon les gamins qui sont estomaqués par un varech de la fontaine Mouchel.

Le rendu niveau couleur n’a rien a voir en vrai, comme à chaque fois. C’est sublime!

Bref, je suis de ton avis Vincent, et si t’es intéressé, disponible via Creart. Éditée à 250 exemplaires, visiblement elle s’arrache déjà…

Concernant l’événement du 11/12 à Leclerc Tourlaville, je vous invite à suivre ce lien…

En bref, depuis le mois de juin, nous sommes un groupe de 7 qui travaillons sur la création d’une association.
Elle se nomme La New Cherbourg Society et elle a pour but de promouvoir l’univers narratif et graphique de New Cherbourg.
Nous travaillons avec les auteurs, et avons plusieurs projets d’édition ou de création d’objets en lien avec NCS.

Une campagne d’adhésion sera lancée le 11/12, l’asso est ouverte à tous et donnera accès à des avants premières et des contenus exclusifs, des invitations à des événements, une carte d’adhérent avec un dessin réalisé par Romuald…

Avis aux collectionneurs, le même jour on lancera également une campagne de souscription pour une sérigraphie exclusive et ultra limitée (40 exemplaires)… L’image est déjà créée et elle est très poétique…

Je garde encore un peu de suspense… mais on vous réserve de très belles surprises!
Rdv le 11/12 et rejoignez nous!

Nouvelle image, qui sera disponible en version digigraphie mais aussi en sérigraphie (limitée à 40 exemplaires)…
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Digigraphie … C’est fait avec un doigt ?

Impression par jet d’encre pigmentaire si tu préfères

Merci.

Pour revenir à l’événement de samedi prochain, nous allons proposer un live sur la page Facebook de New Cherbourg Stories.

On pense à ceux qui ne pourront pas se libérer, ou qui n’habitent pas le cotentin. Ils pourront de cette façon assister à la présentation de Romuald.

On espère que le rendu sera présent, on redoute un peu l’écho du lieu pour la retransmission.

Ça commence comme ça :

Et ça finit comme ça :

Tori.

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Et version sérigraphie!

Il suffit de peu de choses pour que le ressenti change du tout au tout !

On n’a pas l’impression d’être devant la même image.

Tori.

Deux ambiances différentes n’est ce pas?
La sérigraphie a une lumière plus intense, ça fait un peu soleil d’hiver en fin de journée.

J’aime beaucoup la seconde version, ça colle très bien avec l’automne évoqué par les feuilles au sol.

Le bon visiblement

Description par Romuald :

Pour le clin d’oeil, Jacovitti est un auteur de bd italien que Romuald aime bien.

La petite voiture dont on voit l’arrière est une voiture électrique, une « Détroit électric ». (marque active de 1907 à 1939).

Le numéro de Catél (catalogue électrique) de la pizzéria est le JAC 25 (le numéro de la rue). Le téléphone normal est le 3.43 (Les numéros de tel de l’époque avaient cette forme. Là, il est choisi au hasard).

Au niveau de la mise en scène il y a deux mouvements croisés qui viennent dynamiser l’image.

Un mouvement orthogonal entre le couple et la petite qui viennent vers nous et le jeu des feuilles de l’arbre qui balaye horizontalement l’espace du cadre.

Et un deuxième entre la perspective de la grille du premier plan qui tombe vers la droite et qui nous emmène vers l’entrée de l’orphelinat et les gens qui regardent la petite partir avec ses nouveaux parents, et la fuite principale de la rue qui tombe vers la gauche.

Le promeneur qui remonte la rue ramène l’œil sur le couple.

Les triporteurs devant la pizzéria sont rangés dans des directions différentes pour amener un léger mouvement en plus.

Le nouveau papa porte la toute petite valise de la gamine.

Pour finir, les autres enfants de l’orphelinat regardent la scène aux fenêtres.

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Et pour ceux qui ne connaissent pas les lieux en vrai.

En fait, Cherbourg, c’est plus beau en BD.

C’est pas le plus beau point de vue je te l’accorde. En revanche, si tu te perds dans le coin, j’peux jouer le guide touristique. Tu ne seras pas déçu :wink: