NEW MUTANTS #1-33 (Hickman, Brisson, Ayala / collectif)

NEW MUTANTS #1

Written by: Jonathan Hickman, Ed Brisson.

Art by: Rod Reis.

Covers by: Rod Reis, Javier Garron, Mark Bagley, Stanley « Artgerm » Lau.

Description: The classic New Mutants (Sunspot, Wolfsbane, Mirage, Karma, Magik, and Cypher) get together with a few new friends (Chamber, Mondo) to seek out their missing member and share the good news… a mission that takes them into space alongside the Starjammers!

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: Nov. 6.

Source : www.comicscontinuum.com

On recherche une caractérisation de personnage, je répète, on recherche une caractérisation de personnage. Merci d’être attentifs et de signaler toute caractérisation de personnage suspecte ou abandonnée que vous pourriez rencontrer.

Pourtant, ce numéro semblerait a priori largement dévolu à la chose, ou du moins, vouloir lui laisser de la place : avec ses deux premiers tiers uniquement constitués de conversations avant que l’action ne démarre vraiment, on est clairement dans le registre du numéro « character-focused ». Hélas, d’où vient alors que rien ne semble surnager ?

Rahne / Wolfsbane ressemble de plus en plus, physiquement, à Maisie Williams, mais on ne saura pas grand chose de ce qui se passe dans sa tête. Dani Moonstar est à peu près réduite au rôle de « résumé marchant des épisodes précédents ». Ilyana / Magik semble une ado caractérielle. Etc. Mais c’est peut-être avec Corsair que la chose est la plus problématique, dans le sens où cette caractérisation quasiment inexistante est néanmoins censée justifier un important twist vers la fin. On cherche à nous vendre un personnage ambigu, il n’apparaît guère, malheureusement, qu’incohérent.

Restent les dessins de Rod Reis, en mode « héritage / hommage à Sienkiewicz ». J’apprécie le changement par rapport à des dessins plus passe-partout ou aux couleurs informatiques « je découvre les effets Photoshop » qu’on peut croiser ailleurs. Mais comme ce numéro ne saurait apparemment donner rien de parfaitement satisfaisant, l’abus de copier-coller d’une case à l’autre — à deux reprises sur le duo Dani / Roberto au début c’est criant — et une certaine raideur par moments viennent tempérer le plaisir graphique.

Je veux espérer que maintenant que la situation a été posée, fut-ce de façon artificielle, les prochains numéros développeront mieux les choses, mais pour l’instant on tient là à mon avis un des titres les plus décevants de la gamme « Dawn of X ».

Bon, ça démarre pas mal, mais ce #1 a quand même quelques défauts.
Ca a du potentiel, mais quelques longueurs.
Je pense notamment à cette loooongue introduction parlée, où Dani et Roberto parlent en marchant et résument grosso-modo les éléments précédents de Dawn of X. C’est complètement lourd, absolument mal fichu, les personnages semblent crispés. C’est chiant, déjà, et ça tape absolument à côté, parce que ça ne fait pas du tout naturel.
Bon, les New Mutants filent ensuite dans l’espace (enfin, New Mutants + Chamber et Mondo), après que Rahne ait été ressuscitée, et que Doug ait une étrange rencontre avec une sorte de conscience de Krakoa, contrôlant le corps de Mondo. Ce petit monde va chez les Shi’ars pour récupérer Sam et sa famille, et profitent du vaisseau des Starjammers. Le voyage est un peu animé, les Starjammers arrivent sur une station pour voler un truc… mais les New Mutants interviennent car des gens sont prisonniers, et ils ne le supportent pas. Ca dégénère, les Starjammers volent un étrange oeuf (divin), et abandonnent les New Mutants sur place (car les jeunes ont « embêté » chaque membre des Starjammers). Roberto va appeler un Saul Goodman spatial.
C’est pas mal, oui. Jonathan Hickman et Ed Brisson évoquent et montrent plusieurs choses, et il y a de bonnes idées. La station spatiale a l’air bien, l’aspect Krakoa est surprenant, et c’est plutôt agréable de revoir ces personnages. Mais le début est ultra long, la caractérisation des Starjammers n’est pas forcément choquante mais elle est mal amenée. Les New Mutants ont plus de personnalité que les X-Men de Jonathan Hickman, mais ça reste quand même un peu survolé ; un peu facile.
Rod Reis livre de jolies planches, apparaissant en effet comme l’héritier du Grand Bill, légende de la franchise. Ce #1 est un bon début, en soi, mais la loooongue introduction et des maladresses ou facilités me gênent un peu. Je suis curieux de la suite.

The classic New Mutants (Sunspot, Wolfsbane, Mirage, Karma, Magik, and Cypher) get together with a few new friends (Chamber, Mondo) to seek out their missing member and share the good news… a mission that takes them into space alongside the Starjammers!

Writer
Jonathan Hickman
Cover Illustrator
Rod Reis
Release Date: November 27, 2019

Source : www.adventuresinpoortaste.com

Pas un, pas deux, mais trois #2 de l’ère Dawn of X cette semaine.

Et oh l’excellente surprise que ce nouveau numéro des New Mutants, après un #1 qui m’avait laissé une impression fortement mitigée. Hickman opère ici en solo au scénario, sans Ed Brisson. Le résultat est de l’ordre du jour et la nuit, et d’autant plus étonnant que Hickman triomphe ici dans un registre où on ne l’attend guère (voire qui passe assez largement pour son talon d’Achille), non pas celui de la SF high concept (cet aspect de l’intrigue lancé dans le numéro précédent est complètement mis de côté ici), mais celui de la caractérisation des persos, dont je reprochais l’absence il y a trois semaines.

Hickman se paye même le luxe de commencer le numéro par ce qui est quasiment une réécriture du numéro précédent, ce qui est moyen sympa pour son co-auteur, mais salvateur. En reprenant et développant le point de vue de Roberto / Sunspot, Hickman tout à la fois clarifie les enjeux centraux de l’aventure et offre aux lecteurs une vraie « voix », qui vient d’entrée contraster très agréablement avec le côté platement fonctionnel de la discussion entre ce même personnage et Dani au tout début du #1.

Pour être tout à fait honnête, la répartition de cette caractérisation des persos n’est pas égale entre tous les membres de l’équipe. Hickman se concentre sur Roberto, donc, et sur Sam et Izzy — et ce n’est sans doute pas un hasard qu’il s’agisse de personnages qu’il avait déjà utilisés (voire, dans le troisième cas, créé) dans son run sur les Avengers —, tandis que les autres assument le rôle du chœur, pour ne pas dire font de la figuration. Du moins cette figuration ne m’a-t-elle pas semblé choquante et à côté de la plaque. Les interactions du trio central, en tout cas, sont un vrai bonheur de lecture, dans le registre de l’amitié / amour vache et de la complicité. :smiley:

L’autre surprise du numéro, c’est le virage parfaitement assumé vers la comédie. Plusieurs titres de la gamme Dawn of X ont tenté d’introduire une tonalité plus légère voire comique en la mêlant à d’autres choses plus sérieuses. Je n’ai pas toujours trouvé ça des plus réussi, hélas. Ici cependant le registre est clairement dominant, voire quasi hégémonique (la fin prend un virage en introduisant des enjeux de politique cosmique, mais il y a toujours une ou deux répliques pour rappeler que le sourire n’est pas loin). Et surtout ça marche. Il n’y a guère que les deux pages de la scène de la partie de cartes qui m’ont laissé circonspect, rappelant les mauvais côtés du #1. Mais la scène du procès (avec en prime la pique à la fin de la « page de données » rédigée un peu plus loin) ou la discussion sont sur le canapé sont très fun.

Cerise sur le gâteau, même Rod Reis semble plus inspiré ici et évite les malencontreux effets de copié-collé du #1. Le dessin est un poil plus mainstream, un peu moins arty, mais là encore, ça fonctionne.

Au final, un très chouette moment de lecture auquel je ne m’attendais pas !

Complètement d’accord.
Ce #2 est un choc après un #1 sympathique mais avec des défauts ; ces derniers s’évaporent ici. Jonathan Hickman livre un véritable show de Roberto da Costa, et parvient l’impossible : l’auteur est drôle sans être lourd ; il est délirant sans être insupportable.
La relecture du #1 avec Bobby en voix off est énorme, l’intervention des agents chargés de « garder prisonniers » les New Mutants est fun (Sam et sa femme Smasher, bien sûr ; Izzy qui « smashe » d’ailleurs Bobby pour ses conneries et sa grande gueule) et toutes les autres interactions aussi.
Il est plaisant que Hickman reprenne Xandra, personnage créé par Kelly Thompson dans Rogue & Gambit (la fille cachée de Lilandra et Xavier). Tout est agréable, fluide, le final est encore une fois bien trouvé (une crise pousse Gladiator à hâter l’accès au trône de Xandra, et il décide d’envoyer Smasher et les New Mutants récupérer… Deathbird, pour qu’elle éduque Xandra « à la politique »). Notamment parce que c’est autant drôle que pertinent, vu l’ambiance politique des Shi’ars.

Rod Reis illustre ça avec plus de fluidité et de dynamisme que dans le #1. Ce qui donne un sentiment très, très agréable après la lecture ; j’ai « la banane », d’avoir souri et gloussé, et c’est cool.
Quelle belle surprise !

MARVEL TOPS NOVEMBER SALES

Marvel Comics again topped the sales charts for November, according to figures released by Diamond Distributor on Friday.

Marvel had 42.68 percent of the market share to 32.41 percent for second -place DC Comics. Marvel also led in dollar share with 37.41 pecent to 30.72 for DC.

For the publishers’ sales charts for the month, CLICK HERE .

The top 10 books for the month were:

1.) New Mutants #1, Marvel Comics.

2.) X-Men #2, Marvel Comics.

3.) Absolute Carnage #5, Marvel Comics.

4.) X-Force #1, Marvel Comics.

5.) Fallen Angels #1, Marvel Comics.

6.) Deadpool #1, Marvel Comics.

7.) Amazing Spider-Man #33, Marvel Comics.

8.) Undiscovered Country #1, Image Comics.

9.) Batman #83, DC Comics.

10.) Amazing Spider-Man #34, Marvel Comics.

Source : www.comicscontinuum.com

While the original New Mutants are off in space, the rest of the youth of Krakoa begin to make the future they want to live in. First up – Armor’s outreach party, seeking young mutants who have chosen not to come to Krakoa.

Writer Ed Brisson
Illustrator Flaviano
Cover Illustrator Rod Reis
Release Date: December 11, 2019

Source : www.adventuresinpoortaste.com

Brisson reprend les rênes en solo de son côté pour un #3 étonnant de prime abord… mais hélas vite décevant.

Étonnant car le numéro marque une rupture totale avec ce qui précède : personnage différents, dessinateur et style graphique différents, sujet différent. Tout juste est-il question brièvement, pour faire le lien, du fait que Roberto est parti dans l’espace, mais c’est sans rapport avec l’histoire ici.

Brisson s’intéresse donc ici aux jeunes mutants qui sont restés sur place… et à ceux qui n’ont pas rejoint Krakoa. Une thématique également introduite la semaine dernière au détour du dernier numéro d’Excalibur.

Sur le principe, pourquoi pas.

Le souci, c’est que le sujet est ici beaucoup moins bien traité — moins finement, moins richement, moins intelligemment, et de façon moins fun — sur bien plus de pages pourtant.

Brisson ne donne pas l’impression d’avoir particulièrement réfléchi au sujet qu’il veut traiter (on va vérifier les noms de tous les mutants qui ne sont pas encore venus sur l’île, c’est forcément qu’ils ont un problème… bon, ils doivent juste être, quoi ? quelques dizaines de milliers dans l’estimation la plus basse ? ça va être vite réglé), et la lecture n’est pas particulièrement entraînante.

Le début est un peu balourd, sans être complétement déshonorant — c’est… « moyen + », quoi —, puis on rentre ensuite malheureusement dans le domaine du problématique, avec Armor qui soigne en une injection une sorte d’Alzheimer de fantasy (là encore on sent bien que Brisson ne s’est pas trop foulé avec les implications de ce qu’il écrit, sauf que cette fois il n’est plus question de pure logique interne mais de questions de représentation et ça gratouille un peu plus… :roll_eyes:). Le numéro s’achève sur un twist sorti du chapeau (oh une horde de méchants pas beaux qui passent par la ferme juste au bon moment), twist qui enfonce lourdement le clou du thème du numéro (le professeur Xavier a pas voulu donner le fameux médicament miracle aux méchants pas beaux en question, quelle surprise). La caractérisation du personnage d’Angel fait figure de victime collatérale, au passage.

Après la lecture de Fallen Angels #3, on ne peut que se dire que se sentir conciliant — oui, il y a de la marge, ça aurait pu être beaucoup plus mauvais. Mais c’est quand même paresseux et pas bien passionnant. La seule question que je me pose à l’issue du cliffhanger, c’est de savoir si on retrouvera les aventures spatiales par Hickman et Reis au prochain numéro, ou s’il faudra attendre celui d’après…

Celui d’après…

J’ai bien aimé.
Je reconnais que ce #3 est plus faible que le #2, mais j’ai bien aimé retrouver Armor et Blob, que Ed Brisson avaient bien géré dans Age of X-Man. Le fait que Hisako cherche les « Mutants-pas-là » correspond grosso-modo au caractère de chef de bande qui est le sien depuis quelques années, et même si la méthode (lister un par un) peut paraître surprenante dans une telle organisation sur Krakoa, ça « passe ».
Le passage sur Beak et Angel est émouvant au vu de la maladie du père de Beak. Mais j’admets être plus sensibilisé sur ce sujet pour vivre hélas des événements proches, donc je me sens très « touché » par ça. Et notamment par la douleur, la gêne, puis le soulagement.
Après, ça reste fichtrement classique et prévisible, hein. Le final avec les « pas-beaux » est très cliché, mais bon… ça reste un élément tellement vu chez les X-Men que ça « passe », encore. Il est probable que mon attachement à Armor et ma sensibilité aux éléments sur Beak me donnent un « filtre » sur l’épisode, qui me le rend plus agréable qu’il ne l’est ; mais je sors satisfait de ma lecture.
Flaviano illustre ça, tout n’est pas toujours bon, mais ses personnages sont souvent solides et l’ensemble est fluide. Assez mignon et efficace. Je trouve d’ailleurs son Armor assez craquante, même si ça fait « bizarre » qu’elle semble si… grande. On l’a découverte pré-ado’ dans Astonishing X-Men, la voir maintenant au-delà des 16/17 ans en apparence, ça surprend. Espérons qu’elle gardera un peu d’importance, et ne finira pas par des allers-retours réguliers dans les Limbes, comme bien trop de jeunes X-Men.

NEW MUTANTS #4

(W) Ed Brisson (A) Marco Failla (CA) Rod Reis

When Armor and her team set off to bring their friends home to Krakoa, they thought it’d be an easy sell and a quick trip. Then everything went sideways, and now they’re in serious trouble-looks like it’s time to call in the cavalry. But will that be enough to turn the tide?

In Shops: Dec 18, 2019

SRP: $3.99

Source : www.adventuresinpoortaste.com

C’est quand même pas vraiment intéressant, cette saga d’Armor, Boom-Boom et les autres dans le Nebraska, à aider Beak et Angel et leurs gosses.
Ed Brisson offre une intrigue assez basique, sur la prise d’otages des Mutants par des trafiquants d’un pays d’Amérique Latine qui veulent récupérer les drogues de Krakoa ; ce n’est pas intéressant. Les pages se lisent, ça se passe, mais c’est complètement chiant, assez mal traité, mal rythmé, et avec des personnages sans charisme.
Marco Failla illustre ça efficacement, mais sans génie. C’est de l’ouvrage classique, ce n’est pas désagréable, mais ça se voit et ça se lit sans plaisir.

Vivement que cette saga se passe, hein.

The team has reached the Shi’ar Galaxy only to find the empire in turmoil! Deathbird returns and she won’t let Bobby and Sam get in the way of what she wants!

Writer
Jonathan Hickman
Cover Illustrator
Rod Reis
Release Date : January 8, 2020

Source : www.adventuresinpoortaste.com

C’est cool.
Jonathan Hickman s’amuse clairement avec ses New Mutants, et notamment la voix off de Bobby, complètement hilarante. L’ensemble fonctionne bien, avec donc le trajet des New Mutants pour ramener Deathbird afin d’élever « à la dure » la fille de Charles Xavier et Lilandra. Sauf que certains Shi’ars veulent empêcher ça, et lance les Death Commandos pour tuer tout le monde. L’attaque se fait, ça tape dur, et les Death Commandos finissent par faire exploser le vaisseau.
C’est drôle, franchement. Bobby est un bouffon proche du crétin, mais avec un bagout et une aura qui sont cool. Ses interactions sont très fun, Sam est très bien écrit, Smasher aussi, la tentative de drague de Bobby avec Deathbird est énorme, et les réactions des autres sont vraiment bonnes.
Bon, peut-être que le côté « cheffe » de Magik est un peu abusé, comme les postures de Mondo et Chamber ; mais franchement, je me suis bien marré, et c’est cool. Rod Reis illustre ça joliment, dans un style intense et une belle ambiance.
J’aime. Bien plus que la saga chiante d’Ed Brisson ici.

A simple visit to check in on old friends in the human world has gone wrong – dangerously wrong. With innocent lives on the line, Armor and the other young mutants have their hands tied… but escaping without collateral damage looks increasingly impossible.
Written by Ed Brisson

Art by Flaviano

Cover by Rod Reis

Will the kids be alright? Find out on Wednesday 29 January 2020!!

Source : www.comicwatch.com

C’est spécial, quand même. Ed Brisson écrit l’essentiel de cette saga sur un rythme presque enjoué, en tout cas un peu déconnant, avec ces pseudo-mafieux qui veulent récupérer de la technologie de Krakoa en s’en prenant à la famille de Beak. Et donc Boom-Boom qui vient les sauver tous, dans en mode dilettante et fun. Mais d’un coup, ça part en drame sec et sale, avec Beak qui se fait tirer dessus salement, sa mère tuée hors-champ, son père assassiné par un mafieux, qui se suicide pour que la faute rejaillisse sur les Mutants. Et Maxime et Manon qui changent les souvenirs de la famille, pour qu’ils oublient ça ; et Armor qui valide, en grondant que c’est mal mais, hé, ils voulaient bien faire.
C’est malaisant, comme diraient les jeunes. Et relativement mal fait, car le rythme est du coup déséquilibré, mal fichu. Flaviano illustre ça, avec parfois du relâchement qui rend le tout presque laid. Je n’aime pas cette saga, je n’aime pas cette optique, je n’aime pas la façon de faire.

En ce qui me concerne j’ai acté qu’il y avait, au moins pour le moment, deux séries qui s’appellent New Mutants mais n’ont rien à voir : pas le même auteur, pas le même dessinateur, pas le même sujet et surtout pas la même qualité. Du coup je ne lis plus qu’un numéro sur deux.

Moi après les deux premiers numéros, j’ai totalement lâché l’affaire. Et le pitch des derniers numéros ne semblent pas vouloir changer les choses …
Moi qui croyait pendant HoX/PoX qu’Hickman allait me ruiner en série X, je me rends compte que la production actuelle est une bénédiction pour mon porte monnaie vu que je ne suis plus que 2 séries au total.

NEW MUTANTS #7

Written by: Jonathan Hickman.

Art by: Rod Reis.

Cover by: Rod Reis.

Description: Deep in Shi’Ar space, the New Mutants have found themselves dead in the middle of an intergalactic power struggle. They’re probably equipped to handle that, right? And back on Earth, the young mutants of Krakoa look forward to the future…whatever it may hold.

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: Feb. 19.

Source : www.comicscontinuum.com