NIGHTCRAWLERS #1
Meet WAGNERINE, commanding this killer crew of brainwashed hybrids, each one a genetic mix of NIGHTCRAWLER and another one of Marvel’s most murderous mutants!
Mysterious forces seek to break Sinister’s control over these fatal fanatics – to turn them AGAINST HIM. But who are they? And what are their true motives…?
Enter MOTHER RIGHTEOUS… and a meeting of the most powerful players in the Universe
Creative Team
- Writer: Si Spurrier
- **Artist:**Paco Medina
- Colorist: David Jay Ramos
- Inker:
- Letterer: Clayton Cowles
- Designer: Tom Muller, Clayton Cowles & Jay Bowen
- Standard Cover Artist(s): Leinil Francis Yu & Sunny Gho
- Variant Cover Artists: Phil Noto; Erik M. Gist; David Talaski
- Senior Editor(s): Jordan D. White
- Editor: Sarah Brunstad
- Associate Editor: Anita Okoye
- Format: Limited Series
- Page Count/Cover Price: 28 pages/$3.99
Bien mais un peu lourd.
Toujours dix ans après la prise de contrôle d’Essex, on voit qu’il a une Legion of the Night, des clones hybrides entre Nightcrawler et d’autres surhumains ou mutants. Le Banshee possédé par Vox Ignis parvient à en libérer certains, qu’il amène à Mother Righteous, que l’on voit derrière les événements de la série Legion of X. On découvre, quand elle arrive à une rencontre entre le Essex d’Orchis et le Essex Captain Stasis, qu’elle est aussi une forme dérivée d’Essex, mais veut s’en libérer. Elle tue Stasis, tente d’envahir le labo’ d’Essex mais son Wallcrawler échoue. Elle envoie ses sbires récupérer des artefacts magiques pour avancer.
Bon, sur le papier, c’est plutôt fun et emballant mais… non. Simon Spurrier ne parvient pas à m’emporter dans sa saga, malgré les idées funs de plusieurs Nightcrawlers. La faute à une approche lourde, en fait, basée sur cette Mother Righteous grandiloquente et chiante dans son délire religieux et extrémiste. Le passage sur un Kurt désormais animalisé et pitoyable pique un peu, aussi.
Graphiquement, Paco Medina assure dans son style solide et efficace, mais sans âme et sans folie. Un ouvrage pro’, sans plus.
De bonnes idées mais une approche qui alourdit l’ensemble. Dommage.
NIGHTCRAWLERS #2
100 YEARS SINCE THE SINISTER ERA BEGAN…
WAGNERINE and her gene-spliced assassins are HOLY THIEVES, servants to a cosmic cult. Let the HEIST LITURGY be spoken! Loot the ashes of Asgard! Raid the tombs of Otherworld! Pick the pockets of the Marvel Universe and build the sacred weapon!
Creative Team
- Writer: Si Spurrier
- Artist: Andrea Di Vito
- Colorist: Jim Charalampidis
- Inker: Clayton Cowles
- Letterer: Clayton Cowles
- Designer: Tom Muller, Clayton Cowles & Jay Bowen
- Standard Cover Artist(s): Leinil Francis Yu & Jesus Aburtov
- Variant Cover Artists: Todd Nauck; Jonah Lobe; Arthur Adams
- Senior Editor(s): Jordan D. White
- Editor: Sarah Brunstad
- Associate Editor: Anita Okoye
- Format: Limited Series
- Page Count/Cover Price: 28 pages/$3.99
The looting of Asgard and raiding of Otherworld commences in NIGHTCRAWLERS #2 on shelves & digital platforms March 8, 2023, from Marvel Comics as the Sins Of Sinister Era continues
Je serai au moins content de retrouver Andrea DiVito.
Je suis partagé, et c’est désagréable.
D’un côté, je reste soûlé par cette saga Sins of Sinister, dont la grandiloquence me fatigue. Ici, je suis usé par la multiplication des Nightcrawlers, fusionnés avec tout et n’importe quoi ; mais aussi par Mother Righteous, personnage que je n’apprécie pas et qui me lasse par son dirigisme.
Mais de l’autre… de l’autre, je dois admettre 1/ m’être un peu amusé dans les premières pages, où l’on apprend comment les Mutants Sinistralisés s’en prennent à Asgard ou d’autres formes magiques 2/ être très touché par la Nightcrawler-X23, première à avoir pu enfanter (car les autres sont stérilisés mais son ADN a guéri cela), mais dont l’enfant est tué par Mother Righteous pour nourrir le dogme de sa religion pour pousser ses sbires à chercher le labo’ secret de Sinistre.
Alors oui, je suis partagé. On passe ici en avant dans le futur, 90 ans après le début de Sins of Sinister. Il y a du bon, du mauvais… Simon Spurrier ne me convainc pas vraiment, mais il y a une fulgurance qui me touche.
Graphiquement, Andrea Di Vito a un style clair et classique que j’apprécie énormément. Je suis très content de le revoir.
L’événement me gave, la série ne m’emballe pas, mais il y a une fulgurance qui me touche.
NIGHTCRAWLERS #3
LISTEN TO MOTHER!
Now that we know who she truly is, it’s time to taste the horrific ambitions lurking in the heart of MOTHER RIGHTEOUS… The galaxy burns… The pieces are in place… The Storm System rages… The NIGHTKIN make a last, lethal leap…and the GREAT DEVOURER hungers only for vengeance. The experiment is over. The cosmic laboratory is on fire. At last, the Sinister Galaxy will feel the wrath of one seriously baaaad mother…
Creative Team
- Writer: Si Spurrier
- Artist: Phillip Sevy & Lorenzo Tammetta
- Colorist: Rain Beredo
- Inker: Clayton Cowles
- Letterer: Clayton Cowles
- Designer: Tom Muller, Clayton Cowles & Jay Bowen
- Standard Cover Artist(s): Leinil Francis Yu & Jesus Aburtov
- Variant Cover Artists: Salvador Larroca; Philip Tan
- Senior Editor(s): Jordan D. White
- Editor: Sarah Brunstad
- Associate Editor: Anita Okoye
- Format: Limited Series
- Page Count/Cover Price: 28 pages/$3.99
Dieu que c’est chiant, dieu que ça me passe à côté, dieu que c’est long.
Alors que les #3 des autres mini-séries m’avaient convaincu, celui-ci tape à côté. Simon Spurrier poursuit et « achève » son approche, avec Mother Rigtheous qui tente aussi de récupérer les clones de Moira, donne « tout », quitte à utiliser le Fléau comme « balle » contre le corps d’un Galactus lancé dans l’Univers (oui, oui), pour éviter que le Sinistre original la dépasse. Sauf que la Nightcrawler-X-23 vient se venger, « tue » Mother Righteous et récupère son bébé. Guère longtemps, car une Moira se libère, supprime un Sean libéré de la Magie et décide de se gérer seule. Super.
Gros bof. Simon Spurrier m’ennuie ici, sa Mother Righteous ne me plaît pas. La vengeance de la Nightcrawler est bienvenue, mais n’a pas la force qu’on pouvait espérer après le choc du précédent épisode la concernant. Tout cela est fort long et, finalement, désagréable. Pouah.
Graphiquement, Lorenzo Tammetta est efficace mais ne brille pas.
Un échec complet, ici.