NIGHTWING #78-113 (Tom Taylor / Bruno Redondo)

Nightwing meets Nite-Mite! (And Bitewing and Oracle and Daniele Di Nicuolo!) That’s right, that meddling Nite-Mite booped himself from the fifth dimension, and after reading Seven Secrets, he hitchhiked his way over with Di Nicuolo into our Nightwing series! Trust us, you’re not going to want to miss this one.

Written by: Tom Taylor
Art by: Daniele Di Nicuolo, Adriano Lucas
Covers by: Bruno Redondo, Jamal Campbell, Brian Stelfreeze, Dan Hipp

U.S. Price:
3.99
On Sale Date:
Nov 15 2022
Page Count:
32

Tom Taylor, petit malin !
Alors qu’il finissait le #97 sur un « gros » cliffhanger, avec l’arrivée impromptue de Ric Grayson en taxi dans le repaire secret de Batman en forêt (!), le scénariste ne ménage pas le suspense et révèle dès la couverture le pot-aux-roses : Dick a aussi son lutin de la 5e Dimension, Nite-Mite ! Ce dernier vient voir son idole, Nightwing, lancer quelques blagues mais surtout alerter Dick : Blockbuster a une fille, qui est la proie de démons envoyés par Neron pour réclamer l’âme promise jadis par Blockbuster contre une super-intelligence ! Nightwing intervient, avec Nite-Mite, après plusieurs échanges touchants. Nite-Mite s’en va, mais « pousse » Dick à « prendre la place » de Blockbuster comme maître de la ville… mais, aussi, au mariage avec Barbara - et Dick n’y semble pas opposé !
C’est sympa’. Encore une fois, Tom Taylor joue la montre en attendant le #100, mais… cet épisode est fort réjouissant, car Nite-Mite n’est pas insupportable. Moi qui ai souvent du mal avec Mr Mxyztplk, là c’est très bien passé et j’ai souvent souri, ce qui est déjà très fort pour moi avec ce type d’humour. C’est réjouissant, fun et ça livre un beau portrait de Nightwing.
Daniele Di Nicuolo propose des planches sympathiques, moins travaillées que Bruno Redondo mais qui fonctionnent bien avec Nite-Mite.

Une belle parenthèse !

Le 97 et le 98 sont toujours sumpa avec ce petit tour dur le 98 qui se revele buen gere

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En effet, c’est Sumpa.

Je n’étais pas chaud de lire cet épisode car la série m’endort après un rythme endiablé de début de run. Malgré cela, j’ai apprécié l’épisode très comique où le duo fait sourire.

Sumpa.

Oui c est pas tout a fait aussi bien qu au début ou ce qu on aurait pu penser mais quand même c est une bonne série avec un graphisme qui s adapte à l humeur du jour.
Elle est parfois si positive que ca devient naif mais quand même ca reste une série plaisante à suivre

Là, pour le graphisme, c’est adapté. Mais graphiquement, la série prend un « ch’tar dans la gueule » quand ce n’est pas Bruno Redondo au dessin quand même.

WHO IS HEARTLESS? Find out who the villain is behind the platinum mask, and why he only collects the hearts of some victims and not others…and why he has no heart himself. Then: Bitewing: Year One! Follow Haley in her first year with her humans Nightwing and Batgirl and see how she takes a bite out of crime in her first year becoming Bitewing!

Written by: Tom Taylor, Jay Kristoff, C.S Pacat
Art by: Eduardo Pansica, Julio Ferreira, Inaki Miranda, Adriano Lucas
Covers by: Eduardo Pansica & Julio Ferreira, Bruno Redondo

U.S. Price:
5.99
On Sale Date:
Nov 29 2022
Page Count:
48

Efficace.
Cet Annual se divise en trois parties, qui surfent chacune sur les éléments principaux de la série : le super-vilain principal des sagas de Tom Taylor, le lien Dick/Babs via leur chein Haley, et le lien Dick/Jon.
Tom Taylor et Eduardo Pansica commencent en donnant l’origine du super-vilain Heartless, qui hante la série depuis vingt épisodes. Un portrait en miroir déformé de Bruce voire Dick, avec un enfant déviant, mutique, violent, « repris » par un majordome violent et mauvais, qui l’élève pour en faire un sadique, qui devient dépendant aux greffes et ajouts, cybernétiques ou humains. A noter qu’on l’a déjà vu dans le premier épisode de ce run, car Dick l’a affronté jeune à l’école pour protéger Babs ; et le gamin a eu une illumination sadique à la mort des Grayson, qui l’a réveillé et poussé vers la violence. Un segment efficace, un peu « simple » dans l’idée, mais qui caractérise bien le personnage, même si Tom Taylor a la main lourde sur son côté mauvais. Graphiquement, c’est superbe et très réussi.
Jay Kristoff et Eduardo Pansica, encore, montrent un rêve du chien Haley, qui se voit aider Dick et Barbara enlevés. C’est mignon, gentil mais un peu simple. M’enfin oui, c’est mignon et c’est encore une fois fort joli.
Enfin, C.S. Pacat et Inaki Miranda reviennent sur le lien Dick/Jon, avec le premier qui entraîne le second à sa demande, en détournant les leçons de Batman, même s’il en garde l’esprit. Rien de fou, mais un chapitre efficace et plutôt bien tourné.

Un Annual un peu simple mais agréable, notamment graphiquement et qui lève bien le voile sur Heartless.

Il était pas argentin Redondo ?

il me semble aussi

Vous avez tout à fait raison de me reprendre sur ce point. J’avais en tête le joueur brésilien que l’on appelait « l’animal » mais ce n’est pas Redondo…

Je suis mauvais en ce moment.

Après un coup de Wikipédia, il semblerait que tu parles de Edmundo

Toutafé. Mais j’avais un milieu en tête et impossible de retrouver le nom…

Lee

Y a quelques jolies variantes annoncées pour le #100.
Je trouve la Jiménez jolie, sympa et sexy.

Jim

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Gironde.

Incrédule.

Un clavier avec 5m de câble c’est n’importe quoi ^^!

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Sourire

Elle est incroyable cette illustration. Sexy mais loin d’être vulgaire, bondage, agressive (Dick attrape Barbara) ambivalente (du même geste Barbara le repousse et le caresse), émouvante (Ils sourient, rougissent…), joueuse (lunettes).
Style un peu déformé mais les proportions restent raisonnables, crédibles.

Il a décidément beaucoup de talent ce Jiménez.

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