NIGHTWING #78-108 (Tom Taylor / Bruno Redondo)

The Titans have been there for Nightwing, protecting Dick Grayson after he came out as a millionaire in Blüdhaven and wound up with a target on his back…but this time, his friends need Nightwing’s help to lead them through a crisis, placing Blüdhaven at the heart of it all!

Written by: Tom Taylor
Art by: Bruno Redondo, Geraldo Borges, Caio Felipe, Adriano Lucas
Covers by: Bruno Redondo, Jamal Campbell, Mario Fox Foccillo, Dan Mora, Javier Fernandez

U.S. Price:
3.99
On Sale Date:
Dec 20 2022
Page Count:
32

Efficace.
Tom Taylor continue de réorganiser Blüdhaven et l’univers de Nightwing, en préparant une « annonce » de Dick au #100 pour continuer à améliorer la ville. Ici, le scénariste revient sur le cas de Melinda Zucco, demi-soeur de Dick et « fausse fille » de Tony Zucco. Ce dernier veut profiter des chutes de Blockbuster et Maroni pour gérer la ville avec elle, ce qu’elle refuse. Il tente le vol d’un diamant formidable gardé par Maroni dans une étonnante banque à Blüdhaven, cachée dans les sous-sols d’un phare via une organisation ancienne, fondée par les baleiniers antérieurs à la ville. L’idée est cool, exotique, baroque ; fun. Nightwing stoppe Zucco, empêche l’organisation de le tuer. Melinda vient ensuite le confronter, révèle ne pas être sa fille et change de nom. Et voilà !
C’est cool. J’aime particulièrement l’idée de cette banque secrète, cachée, avec tout un décorum un peu WTF mais très fun. Ca me rappelle un peu la cave des Goonies, c’est sympa’ et bondissant. Le destin de Melinda est mignon, et l’ensemble garde une fraîcheur agréable.
Graphiquement, Bruno Redondo continue d’assurer, comme d’habitude. C’est si beau et dynamique ; formidable.

Un épisode d’attente encore, mais réussi avec une belle idée fun.

Mouais. Quelle retenue quand même par un manque de rythme criant.

Vivement que le feu repasse au vert.

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Writer: Tom Taylor
Artists: Bruno Redondo and Scott McDaniel, Rick Leonardi, Eddy Barrows, Javier Fernandez, Mikel Janin
Inks: Karl Story, Eber Ferreira, Caio Filipe, Joe Prado, Rick Leonardi
Colors: Adriano Lucas
Letters: Wes Abbott
Release Date: January 17, 2023

Come join us with big smiles and even bigger celebrations as Nightwing hits its milestone issue #100!

Cheer how far we’ve come by looking through the decades at what has made Nightwing a beloved hero. What better way to celebrate than with familiar friends and artists? Then, with Heartless creating a lair in the heart of Blüdhaven to take Blockbuster’s throne, Nightwing will follow suit, setting up a headquarters of his own…with the help of some friends who helped make him who he is now, of course!

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Sublime cette couverture !

Une vraie couverture anniversaire.

C’est bien, mais… petite déception.
Tom Taylor livre un très gros épisode, qui finalement… n’est qu’un très gros épisode de Nightwing. On a certes quelques éléments neufs, mais cela s’intègre pleinement dans ses intrigues et son approche. On a « juste » plus de pages, avec un passage un peu facile pour les gonfler.
On a, donc, Heartless qui s’en prend à la prison de Blüdhaven, corrompue et remplie de gens maltraités qui n’ont rien à y faire. Il libère les criminels et super-vilains, et c’est rude. Nightwing vient aider évidemment (avec une demi-douzaine d’illustrations pour acter les changements de costume dans sa carrière durant la voltige), convainc quelques prisonniers de s’amender et est aidé par les Titans. Ils parviennent à vaincre, mais Heartless s’enfuit après avoir pris contact avec Zuco. Finalement, Nightwing est rejoint par Superman et Wonder Woman, qui lui demandent d’être le « leader » des super-héros le temps que la Justice League se réadapte. Cela enclenche un dialogue émouvant Dick / Bruce, puis Nightwing qui décide de racheter la prison pour en faire un nouveau symbole (car c’est le premier bâtiment vu en arrivant en ville) : la nouvelle Tour des Titans, installée à Blüdhaven.
C’est cool, c’est sympa’, c’est bien fait ; mais sans surprise. Que ça soit la gestion des événements ou le fond, rien n’est vraiment original ou nouveau, et c’est quand même dommage pour un #100, mais aussi après plusieurs épisodes d’attente jusque-là.
Certes, c’est sympa’ de voir Heartless se lancer, et Tom Taylor multiplie les bons moments, les bons mots, les bons dialogues et les bonnes caractérisations ; mais comme d’habitude, en fait. Rien de neuf, et même le final ne fait que confirmer les apports très soulignés dans Dark Crisis.
On n’a rien non plus sur Dick & Barbara et c’est quand même fort dommage. Déception, donc, même si la lecture est agréable, notamment via les dessins impliqués et appliqués de Bruno Redondo, Scott McDaniel, Rick Leonardi, Eddy Barrows, Javier Fernandez et Mikel Janin. C’est joli, dynamique et réussi.

Un bon gros épisode. Qui, hélas, n’est rien d’autre qu’un bon gros épisode.

Je ne partage pas ton avis tant l’épisode semble remplir son office à la croisée des chemins. Les derniers mois ont été copieux pour notre Héros. Le voir avancer, oser et se lâcher avec son Père est un beau moment.

Sur Dick & Babs, le scénariste a déja réalisé un gros boulot pour lui reprocher un simili-event nécessaire. Ils se tiennent la main et c’est juste ce que l’on attendait, qu’ils soient heureux.

Enfin, quel plaisir de revoir McDaniel, cet artiste marquant du personnage (pour moi, c’est le meilleur) et voir les autres auteurs invités au repas. La série de pages où Nightwing s’envole permet de remettre en avant l’élégance éternelle du personnage quelque soit son costume.

Il m’a vraiment fait plaisir cet épisode et j’en reprendrais une bonne tranche!

J’ai apprécié, mais pas autant que je l’espérais.
J’en attendais sûrement trop.
Mais j’avoue que, autant pour un épisode anniversaire (qui doit « marquer », annoncer quelque chose ; et là, il n’y a rien* en ce sens) que pour un épisode de la série (car ce n’est « que » la continuité des éléments vus avant ; pas de surprise ou de révolution), ça n’est pas extra’.

  • Oui, tu as raison de voir le rapprochement Bruce / Dick. Mais, quand même, on en a déjà eu un peu sous Taylor, et tout court, en tout cas récemment chez Tom King. La relation Bruce / Dick est quand même belle et saine depuis quelques années, maintenant.

Written by: Tom Taylor, C.S. Pacat.

Art by: Travis Moore, Eduardo Pansica.

Covers by: Bruno Redondo, Travis Moore, Jamal Campbell, Vasco Georgiev.

Description: After the events of Dark Crisis, Superman has a talk with Nightwing, letting him know that now is Dick’s time to lead…so Nightwing gathers a group of friends to be the premier league in the DC Universe and moves their base of operations to Bludhaven. Meet the new Titans! Then, following the events of the Nightwing 2022 Annual and the Superman and Nightwing crossover, Nightwing continues to mentor Jon Kent in ways that Dick learned from being trained by Batman…but in his own more encouraging way.

Pages: 40.

Price: $4.99 (variant covers, $5.99).

In stores: Feb. 21.

Pas mal.
Tom Taylor embraye après un #100 qui m’a déçu mais a associé clairement les Titans à Nightwing, ici. Il rebondit sur le #98, où Dick et Nitewing avaient sauvé la fille de Blockbuster de démons envoyés ici par Neron. Le même Neron agit pour récupérer l’âme, et sollicite ainsi le mystérieux Grinning Man, devenu roi de Vlatava (le pays de Vertigo) grâce à Neron. Les Titans sont informés qu’un corps est découvert dans les ruines de la Titans Academy anéantie (encore) durant Dark Crisis, et ils trouvent le cadavre de ce roi mystérieux. Sauf que Dick est vaincu et remplacé par lui, qui semble métamorphe. A suivre.
Bon, ça se lit bien. Les interactions entre Dick et les Titans sont cool, mais on est plus finalement dans une saga d’équipe que de Nightwing. Ca n’a rien de désagréable, mais ça reste quand même léger. Fluide, mais un peu passe-partout.
Graphiquement, Travis Moore assure dans un style clair proche des standards de la série. Joli et dynamique.

Un bon numéro, mais sans forcer.

Ca va lancer Titans tranquillement.
Je me suis un peu ennuyé sur le numéro car en équipe, Dick perd un peu de son mouvement.

Un numéro propre.

NIGHTWING #102

Nightwing is a great leader, not just because Batman trained him, or because of how Alfred raised him, or even because he has a heart of gold—it’s because of his friends, and now that the Titans are in Blüdhaven with him, they can leap into the light together…which is perfect timing for the demon of darkness Neron to do something about it.

Creative Team

  • Writer: Tom Taylor
  • Artists: Travis Moore, Julio Ferreira
  • Colorist: Adriano Lucas
  • Letterer: Wes Abbott
  • Cover Artists: Bruno Redondo
  • Variant Cover Artists: Travis Moore, Jamal Campbell, Vasco Georgiev
  • Group Editor: Ben Abernathy
  • Editor: Jessica Chen
  • Assistant Editor: Jessica Berbey
  • Cover Price/Page Count: $3.99/28 Pages

Sympathique. Pas marquant, mais sympathique.
Nightwing s’échappe du piège du Grinning Man et appelle les copains à l’aide. Le métamorphe veut enlever Olivia, fille de Blockbuster, et a mis KO Beast Boy. Nightwing arrive avec Cyborg, affronte l’ennemi qui s’enfuie et se fait taper par les Titans. Il révèle son origine pathétique et son deal avec Neron, et tous comprennent que Neron s’en fiche d’Olivia mais ne veut pas perdre la face. Une partie des Titans file ainsi en enfer pour voir le contrat, alors que, en back-up, Nightwing « forme » Jon sur une enquête dans le cirque.
Bon, c’est bien. Tom Taylor ne se force pas, écrit vraiment plus l’équipe que Nightwing, mais ça fonctionne. Il gère plutôt bien le groupe, pas forcément les individualités hormis Dick (évidemment), Garfield (drôle et pas con-con) et Raven (badass). La saga est sympathique, mais ne brille pas non plus.
Ca fait le job, comme les dessins jolis mais un peu « trop » jolis de Travis Moore. C’est bien, hein, mais trop propre. La back-up de CS Pacat et Eduardo Pansica est sympathique aussi, même si c’est moins fluide.

Un bon numéro, mais sans intensité.

Written by: Tom Taylor.

Art by: Travis Moore, Eduardo Panscia.

Covers by: Bruno Redondo, C.S. Pacat, Travis Moore, Jamal Campbell, Vasco Georgiev, Nicola Scott.

Description: Who is the Grinning Man, who’s always grinning no matter what he’s doing, even when he’s murdering people, and what kind of deal did he make with Neron? Nightwing and the Titans better figure that out soon before they lose one of their team members… Then, in the backup, Nightwing continues his lessons mentoring Jon Kent, a.k.a. Superman, and this time it’s about using your detective skills instead of your fists.

Pages: 40.

Price: $4.99 (variant covers, $5.99).

In stores: March 21.

Sympathique. Tom Taylor poursuit sa saga qui s’apparente au prélude de sa série Titans, et ça fonctionne ; gentiment.
Une partie des Titans vont en Enfer pour récupérer le contrat liant Neron à l’âme de la fille de Blockbuster, tandis que les autres entraînent la gamine super-forte. Neron envoie des sbires sur Themyscira, « discrètement », tandis que les Titans en Enfer découvrent le côté infernal des fichiers numériques de Neron (« des icônes de bureau partout, quel enfer ! »). Dick trouve une parade juridique pour annuler le contrat initial, mais Neron tente le « séduire » en lui offrant des pouvoirs afin d’en faire SUPERWING, pour qu’il puisse faire encore plus pour le monde.
Sympathique, oui. Ca ne révolutionne rien, ça reste moins « fort » que bien des moments de la série, mais ça fonctionne pour la dynamique de groupe. Tom Taylor est un peu en mode automatique, mais gère quand même bien, et la bonhomie générale est agréable.
Graphiquement, Travis Moore assure joliment, aidé par Casco Georgiev sans que je vois la différence. Solide et efficace.

Un peu accessoire mais sympathique.

Je trouve que le soufflet retombe terriblement après une première partie de run (avant le 100, dirons nous) excellente en tous points.

Je ne suis pas loin d’arrêter, je dois dire.

J’ai peur que TT s’embourbe tout seul.

Nightwing #104

Nightwing and the Titans realize the only way to save Olivia is to…go to hell! Seeing how ineffective his punching was when he last confronted Neron’s demons, Nightwing is temporarily powered up by magic in order to make it through the depths of hell alive…literally. Then, in the backup: Nightwing and Jon Kent find an important clue as to who’s behind the circus murders, and that person may be connected to Dick Grayson…

Creative Team

  • Writers : Tom Taylor, C.S. Pacat
  • Artists: Travis Moore, Eduardo Pansica
  • Colorist: Adriano Lucas
  • Letterer: Wes Abbott
  • Cover Artists: Bruno Redondo
  • Variant Cover Artist: Jamal Campbell & Adriano Lucas, Amancay Nahuelpan & Adriano Lucas, Vasco Georgiev
  • Editor: Jessica Chen
  • Format: Ongoing
  • Cover Price/Page Count: $4.99/40 pages

Nightwing #104 will be on shelves and digital platforms Tuesday, May 23 from DC Comics.

Moui, moui, moui. Il n’y a rien « vraiment » à redire sur ce numéro, et cette saga : c’est bien fait, sympa’, agréable… gentil.
Sans élan, sans souffle mais gentil.
Ici, Neron donne des super-pouvoirs à Dick, qui en profite pendant deux heures pour aider des gens, faire des exploits, mais aussi partager avec Superman. Il aide les Titans sur Themyscira, puis sauve la gamine, et perd ces pouvoirs face à Neron, qui espère « récupérer » l’âme en échange des pouvoirs définitifs. Sans surprise, Dick refuse, tabasse Neron avec des bâtons modifiés par Nitewing, et la petite est alors laissée à Themyscira pour être formée à devenir l’héroïne Nightbuster. Plus tard, Raven vient filer un sale coup en Enfer à Neron, alors qu’elle semble légèrement différente.
Bon, c’est agréable, hein. Ca se lit bien, Tom Taylor est efficace. La lecture est fluide, c’est sympathique, réjouissant et bien mené. Mais… sans surprise, et sans vrai souffle. C’est gentil, comme je l’ai dit. Et c’est bien, mais ce n’est pas passionnant non plus.
Dommage, parce que la série a su être passionnante, et je pense qu’elle peut le redevenir maintenant que touuuute cette préparation sur les Titans est enfin passée. Je l’espère en tout cas, car ça me manque. D’autant que Travis Moore propose de bons et beaux dessins, moins riches que ceux de Bruno Redondo mais avec beaucoup de qualité.
La back-up continue le duo Dick / Jon sans grande folie, mais efficacement.

Un bon numéro, mais trop gentil et sans élan.

Allant ?

Sauf si tu parlais de cela :

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