NOIR BURLESQUE t.1-2 (Enrico Marini)

Tome 2 annoncé en novembre.

Jim

Ouais trop bien, hâte de voir comment se finit ce polar noir au scénario cousu de fil blanc, au répliques des nanars les plus pourris (même Jean-Claude Van Damme à de meilleurs ligne de dialogue), au dessin joli, mais pour un poster avec une action aussi figé qu’un squelette dans sa tombe et avec une image du Mâle et de la femme assez répugnante pour un 2022.

Bien sur si c’était sortit en 1960, un chef d’oeuvre je n’en doute pas, mais de nos jours ça sent bon les relents nauséabond de la femme au foyer ou bonne à faire tourner les têtes et dresser un membre, rien de plus et des héros, bad boys, parce qu’un vrai héros c’est une poule mouillée.

Vraiment j’ai hâte de lire la suite de cette merde en barre.

Comme son Batman, quoi !

Jim

J’ai hâte.

Mais tellement juste pour un polar se deroulant dans les années 50.

Ouh le bon prétexte.

Jim

Pire et déjà j’aimais pas son Batman.

Donc dans les années 50 les mecs sont des machos et le bon mec c’est un type violent, et toutes les femmes sont des croqueuses d’hommes ou des arnaqueuses croqueuse d’homme.

Ca donne envie les année 50.

Enrico Marini sur Facebook :

NOIR Burlesque 2 💋 THE END… Les 123 planches du tome 2 sont terminées ! Le lettrage aussi. Encore quelques retouches et l’album sera prêt pour paraître en novembre 2022 😱🔥

Jim

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Joli.

J’aurais plutôt dit années 40, période des films noirs.

Personnellement, je trouve le scénario sans surprise et les personnages trop unidimensionnels, n’était le dessin, superbe (même si la plastique des personnages, féminins ou masculins, est figée chez cet artiste, l’atmosphère urbaine est très bien rendue.) Ensuite, le ton correspond aux récits noirs des années 40, pas particulièrement progressistes. On n’est pas obligé d’adhérer, ni de lire, on peut trouver son bonheur ailleurs.
Quant au Batman de Marini, je ne vois pas en quoi il est meilleur ou pire que les autres récits de Batman que je vois en ce moment : le récit est correct, le dessin me plait, donc, ça me va même si cette œuvre balisée ne révolutionnera pas le personnage. On ne peut pas avoir un DKR ou un Year One tous les ans.

Déjà, si on en avait un tous les 5 ans …

Et des films Marvel de qualité, tant qu’on y est ?

Noir burlesque - Tome 2

Pour Slick, les choses ne s’arrangent pas. Jusqu’à présent, il avait affaire aux truands irlandais. Mais cette fois, il change de dimension : le voilà confronté à la mafia italienne. Rex, pour qui il n’avait travaillé qu’une seule fois, lui demande cette fois, sous la menace, de voler une oeuvre d’art. Et pas n’importe laquelle : outre sa très grande valeur, elle appartient à la mafia. Dans un monde idéal, Slick prendrait le large avec Caprice, la femme de sa vie. Mais nous ne sommes pas dans un monde idéal. Caprice se retrouve coincée elle aussi : Rex la retient avec un secret qui pourrait ruiner sa carrière à tout jamais. Et les ennuis de Slick ne s’arrêtent pas là : il doit faire équipe avec une bande de véritables détraqués. Notamment Crazy Horse, l’un des tueurs incontrôlable de Rex qui semble être parti sur le sentier de la guerre. Ce qui est certain, c’est que du sang et de larmes vont couler… Entre femmes fatales, fusillades sanglantes et règlements de comptes, Enrico Marini poursuit son hommage au film noir américain des années 1950.

  • Éditeur ‏ : ‎ DARGAUD (10 novembre 2022)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Broché ‏ : ‎ 128 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2505113998
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2505113997
  • Poids de l’article ‏ : ‎ 505 g

Enrico Marini, de nationalité italienne, est né le 13 août 1969 en Suisse où durant quatre années il étudiera le graphisme à l’Ecole des Beaux-Arts de Bâle. Son trait est alors influencé par les Comics américains, les Fumetti et le Manga et son admiration se porte sur des auteurs tels que Hermann, Jordi Bernet, Milton Caniff, Alfonso Font, Giraud et Otomo. Sa carrière débute en 1987 au Festival de la Bande Dessinée de Sierre, où il concoure avec les nouveaux talents. Très vite remarqué, il se voit confier sa première série Olivier Varèse sur un scénario de Thierry Smolderen, chez Alpen Publishers. En 1992, Marini et Smolderen changent d’univers et créent Gipsy, un vrai héros de chair et de sang. Marini parcourt ensuite, avec Jean Dufaux, le monde des vampires avec Rapaces dont le premier tome parait en 1998. Avec Stephen Desberg,il concrétise un rêve d’enfant, dessiner un western, et publie le premier tome de L’Etoile du Désert en 1996. De cette rencontre nait également, quatre années plus tard, Le Scorpion, une grande fresque de cape et d’épée. Depuis 2007, Marini, auteur complet, fait revivre l’antiquité avec Les Aigles de Rome. En 2017, il s’attache à un nouveau défi : offrir à Batman sa première aventure sous les crayons d’un auteur de BD franco-belge. Publié chez Dargaud en collaboration avec DC Comics, le diptyque consacré au chevalier noir se clôture en juin 2018.

La série préférée de Kab XD

ne pas répondre, ne pas répondre, ne pas répondre, ne pas répondre, ne pas répondre, ne pas répondre…

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