OMEGA MEN #1-12 (Tom King / Barnaby Bagenda)

[quote=« Hush »]…]

Je crois sincèrement que les fans US passent à côté d’une sacrée série bien conceptualisée par sa narration (gaufrier, répétition des plans appuyée,etc…)

…][/quote]

Pourquoi dis-tu ça ?

La série à été annulée, dans un premier temps par DC, avant qu’elle soit prolongée suite au soulèvement de quelques fans. Jim Lee a confirmé la commande de douze épisodes.

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[quote]The Omega Men #6

Story by Tom King
Art by Barnaby Bagenda
Colors by Romulo Fajardo Jr., Tomeu Morey
Letters by Pat Brosseau
Cover by Trevor Hutchison
Publisher DC Comics
Cover Price: $2.99
Release Date Nov 25th, 2015

Former Green Lantern Kyle Rayner and the Omega Men—captured at last! Now, these alleged terrorists are about to be processed and jailed with all the dignity and rights afforded them by benevolent Citadel law.[/quote]

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Source: www.comicbookresources.com

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[quote]The Omega Men #7

Story by
Tom King
Art by
Barnaby Bagenda, Ig Guara
Colors by
Romulo Fajardo
Letters by
Pat Brosseau
Cover by
Trevor Hutchison
Publisher
DC Comics

Cover Price:
$2.99
Release Date
Dec 30th, 2015

The Omega Men’s mysterious plan for Kyle Rayner comes to fruition as the former Green Lantern is forced to make the biggest decision of his life—one that could cost millions of lives. Secrets are finally revealed in an epic climax that will change the balance of power in the DC Universe.[/quote]

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Source: www.comicbookresources.com

[quote]OMEGA MEN #8

Written by: Tom King.

Art by: Barnaby Bagenda.

Cover by: Trevor Hutchison.

Description: The Omega Men are back as their space-spanning series continues! The team’s mysterious plan for Kyle Rayner reaches its shocking endgame when the outlaws bypass the energy shield surrounding the off-limits world of Voorl! In doing so, will they discover the true cost of life in Vega?

Pages: 32.

Price: $2.99.

In stores: Jan. 27. [/quote]

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Source : www.comicscontinuum.com

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[quote]The Omega Men #9

Story by
Tom King
Art by
Barnaby Bagenda
Colors by
Romulo Rajardo Jr.
Letters by
Pat Brosseau
Cover by
Trevor Hutchison
Publisher
DC Comics

Cover Price:
$2.99
Release Date
Mar 2nd, 2016

With her grand plans for Kyle Rayner completely shattered, Princess Kalista finds herself with no choice but to follow the former Green Lantern into the deadly heart of the Citadel to persuade the Viceroy to do the impossible: make peace with the Omega Men.[/quote]

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Source : www.comicbookresources.com

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[quote]The Omega Men #10

Story by
Tom King
Art by
Barnaby Bagenda
Colors by
Hi-Fi
Letters by
Pat Brosseau
Cover by
Trevor Hutchison
Publisher
DC Comics

Cover Price:
$2.99
Release Date
Mar 30th, 2016

The explosive revelations of issue #9 have turned all eyes toward Vega, and the Citadel must act fast to crush rebellion and maintain control over the most valuable resource in the cosmos. The Viceroy’s first target? Karna, the insurgent, jungle homeworld of the Omega Man by whom he feels most betrayed: Tigorr, his own wayward son. The epic final act of DC’s critically acclaimed space opera begins here![/quote]

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Source : www.comicbookresources.com

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[quote]The Omega Men #11

Story by
Tom King
Art by
Barnaby Bagenda
Cover by
Trevor Hutchison
Publisher
DC Comics

Cover Price:
$2.99
Release Date
Apr 27th, 2016

Crippled and desperate after their brutal defeat on Karna, the Citadel brings an all-out war to the Omega Men as the team attempts to unify all the worlds of Vega in a last stand against their conquerors.
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Source : www.comicbookresources.com

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[quote]The Omega Men #12

Story by
Tom King
Art by
Barnaby Bagenda
Colors by
Romulo Fajardo
Letters by
Pat Brosseau
Cover by
Trevor Hutchison
Publisher
DC Comics

Cover Price:
$2.99
Release Date
May 25th, 2016

Beset on all sides by his former slaves and imperial rivals from across the galaxy, the Viceroy of the Citadel makes a last, desperate stand against Kyle Rayner and the Omega Men!
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Source : www.comicbookresources.com

Bon, ça y est, j’ai commencé à lire la série.
Je comprends mieux ce que les gens disent, quand ils évoquent le travail sur les bulles répétées, ce genre de choses. Il y a un souci du détail dans l’élocution (les hésitations, les silences, les phrases manquant de démarrer…), mais aussi une volonté de parasiter les codes, en mettant des mots extraterrestres, par exemple, qui est assez enivrant. C’est très intéressant, ça me fait penser aux tentatives de Fraction sur Punisher, mais en plus abouti, qui va plus loin.
Bagenda et son coloriste livrent une prestation étonnante. Le trait évoque un peu Top Cow, avec les maladresses qui vont avec, les couleurs en revanche inscrivent la série dans un héritage à la Moebius, ce qui donne un cocktail assez détonnant.
Je poursuis ma lecture.

Jim

[quote=« Jim Lainé »]Bon, ça y est, j’ai commencé à lire la série.
Je comprends mieux ce que les gens disent, quand ils évoquent le travail sur les bulles répétées, ce genre de choses. Il y a un souci du détail dans l’élocution (les hésitations, les silences, les phrases manquant de démarrer…), mais aussi une volonté de parasiter les codes, en mettant des mots extraterrestres, par exemple, qui est assez enivrant. C’est très intéressant, ça me fait penser aux tentatives de Fraction sur Punisher, mais en plus abouti, qui va plus loin.
Bagenda et son coloriste livrent une prestation étonnante. Le trait évoque un peu Top Cow, avec les maladresses qui vont avec, les couleurs en revanche inscrivent la série dans un héritage à la Moebius, ce qui donne un cocktail assez détonnant.
Je poursuis ma lecture.[/quote]

Bon sang, que le temps passe.
J’avais l’ensemble de la série sur l’ordi, mais bien sûr, pour mille raisons, ça prenait la poussière numérique, plus rapidement que la véritable poussière sur une version papier. Et puis, récemment, j’ai trouvé le TPB, ce qui a été le bon prétexte de tout reprendre.
Alors globalement, je trouve ça très bien. C’est bien construit, y a un travail littéraire sur les dialogues de haute volée, et une véritable ambition dans le récit (à la fois le sujet et la narration).
Néanmoins, je ressens une certaine déception. Sans doute bien sûr parce que la réputation de la série était énorme. Peut-être aussi parce je connais bien moins les Omega Men que Vision, et que l’impact du travail de King me saute moins vite aux yeux que ce qu’il a fait sur le synthézoïde de Marvel.
Ma déception tient peut-être aussi à des détails formels. L’intrigue est très bien, pose des questions intéressantes sur les rapports entre l’engagement politique, la résistance et le terrorisme, mais elle est sans surprise. La fameuse question courant sur l’ensemble de la série, à savoir pourquoi les Omega Men ont besoin de Kyle Rayner, trouve une réponse intéressante mais pas renversante. Ce n’est pas une révélation étourdissante. De même, ce n’est pas si dense que ça. Ça se lit assez vite, et pourtant on sent que King s’amuse à faire des jeux littéraires, qui phagocytent d’ailleurs un peu la narration.
Et là, la comparaison avec Alan Moore, inévitable quand on parle de Tom King (surtout dans le cas d’une mini-série en douze épisodes avec un sous-texte politique), joue un peu en défaveur du scénariste d’Omega Men. Une intrigue sans les grosses claques de Watchmen, dont les numéros se lisent nettement plus vite que ceux de Moore, et malgré les dialogues bien travaillés, on a un sentiment de trop peu.
En fait, King ne s’étant pas remis de son traumatisme moorien, il s’inscrit complètement dans l’héritage, tant au niveau de la forme que du fond, et ce faisant, il tend le bâton pour se faire battre. À trop vouloir aller dans la même direction que son maître à penser, il attire la comparaison, la provoque, l’amplifie. Au point que ce qui reste, ce sont les références directes. Car King en met plein, des références directes à Watchmen. Il tente de recréer un monde par des effets de réels tels que les étranges cigarettes d’un personnage fumeur, il fait des clins d’œil thématique tels que la montre, il reprend des motifs visuels, à l’image de la flaque de sang qui se répand, en guise d’épilogue. À l’image de Moore, il va jusqu’à faire des références au franco-belge (ou bien est-ce Bagenda ?) en citant ouvertement Astérix dans une scène où Tigorr bâfre, là où son prédécesseur alignait les renvois à la ligne claire et notamment à Hergé et Jacobs.
De là, il donne le signe d’un auteur qui éprouve une grande difficulté à s’émanciper d’un modèle qu’il sait, au demeurant, imiter à la perfection. Ou bien éprouve-t-il un grand plaisir à s’inscrire dans cette tradition (ses jeux littéraires témoignent du fait qu’il se perd un peu dans la forme au détriment du fond), mais du point de vue du lecteur, l’impression demeure qu’il ne sort pas de l’ombre du maître.
Graphiquement, Bagenda crée des atmosphères intéressantes, mais son dessin est bien souvent bancal, ses anatomies sont déformées (il a notamment une propension appuyée à allonger les bras de ses personnages), et parfois ses cadrages créent des vides assez inutiles. En revanche, la belle surprise c’est le coloriste Romulo Fajardo, dont j’ai déjà apprécié le travail sur les Wonder Woman de Nicola Scott. Il a une qualité presque franco-belge, parvenant à collisionner des couleurs qui ne sont pas compatibles tout en créant des effets d’harmonie et des modelés très intéressants. L’ensemble est très beau, et c’est clairement dû aux couleurs.
Bref, une belle série, qui a le mérite d’être auto-contenue, de maintenir une belle cohérence littéraire et visuelle. L’ensemble souffre de la comparaison avec un auteur dont King se réclame, et peut-être d’un manque de matière, un peu plus de dialogues aurait pu permettre une caractérisation plus poussée.
Mais ça reste de très haute volée pour la production actuelle. Ça fait réfléchir et ça fait pas mal aux yeux. Tentez le coup.

Jim

[quote=« Jim Lainé »]Tentez le coup.

Jim[/quote]

Tu parles à Urban, là ? :mrgreen:

Tiens, je connais ce syndrome. :mrgreen:

Je me doute bien que, là, tu ne parles pas que de moi (heureusement), mais je me sens un petit peu responsable, en tant que principal batteur de tambour - j’ai l’impression - pour ce titre sur ce forum et sur l’autre. Désolé si mon enthousiasme a produit un effet pervers… [size=85]Et c’est pas la première fois, en plus.[/size]

Ça, ça me semble un faux problème. Je n’avais jamais entendu parler des Omega Men avant de lire ce titre, et tout ce que j’en sais toujours maintenant en dehors de ce qu’en fait King je l’ai lu sur une page Wikipedia. De plus King écrit sa mini-série dans le cadre de DCYOU où le concept même de « continuité » avait quasiment officiellement été voué aux poubelles de l’Histoire par Dan DiDio. King prend des personnages très peu connus, et il a la liberté de les réinterpréter voire de les réinventer complètement. Ce qu’il fait, a priori, d’ailleurs.

Du coup, c’est très différent de sa Vision où il travaille sur un personnage relativement emblématique, s’appuie sur la continuité Marvel (au moins pour des points « périphériques », comme la relation de Vision et de la Sorcière rouge), et se positionne forcément par rapport à cette continuité (les trente-six fois où Vision a sauvé le monde…). Je n’ai pas l’impression que cette approche soit pertinente pour Omega Men. Non seulement on peut très bien lire le titre sans connaître ces personnages-là, mais je serais même tenté de dire que c’est pour être lu comme ça que le titre est pensé (le #03 perd beaucoup de son sens si, en première lecture, la majorité des lecteurs savent déjà dans quel camp se trouve Kalista).

Par le procédé, somme toute classique, de l’élément extérieur (ici Kyle Rayner, personnage DC « plus connu ») introduit dans une situation donnée, on découvre petit à petit tout un système stellaire et un groupe de personnages, dont on ne comprend pas tout de suite la psychologie, les objectifs, les enjeux, les relations. Et l’on passe, petit à petit, de la situation de « l’étranger » qui ne comprend pas grand chose, à l’attachement (plus ou moins poussé selon les cas) pour les individus (la fin de Doc, elle me prend aux tripes à chaque fois).

Dans la lignée de ma dernière remarque, je ferais le distinguo entre la raison pour laquelle, dans le cadre de l’histoire, les Omega Men ont besoin de Kyle Rayner (qui est effectivement oubliable… d’autant qu’au final ce plan n’aboutit pas), et les raisons qu’on peut finalement deviner, du point de vue de la narration, pour l’utilisation du personnage par Tom King (ce qui n’est pas évident non plus dans les premiers numéros).

Le fait que Kyle soit le « White Lantern » qui a appris à maîtriser le spectre complet des émotions. Le fait que ce soit un héros foncièrement positif, idéaliste, qui va chercher toujours la « troisième voie » dans le conflit (même si elle lui est, ultimement, refusée). Le fait qu’il soit d’origine catholique. Le fait qu’il ait été un dessinateur de comics avant de devenir un super-héros. Autant d’éléments, pour le coup, où King s’appuie sur la continuité pour obtenir des effets que je trouve, personnellement, assez forts. Notamment dans les dernières pages : la planche où face au massacre Kyle échoue aussi bien à prononcer le serment des Lanterns (« No Evil… ») qu’à s’en remettre à la prière, la planche finale « méta » qui entend combiner esthétique et éthique tout en justifiant l’utilisation massive du gaufrier dans tout ce qui a précédé…

[quote=« Jim Lainé »]…] la comparaison avec Alan Moore, inévitable quand on parle de Tom King …]

En fait, King ne s’étant pas remis de son traumatisme moorien, il s’inscrit complètement dans l’héritage, tant au niveau de la forme que du fond, et ce faisant, il tend le bâton pour se faire battre. À trop vouloir aller dans la même direction que son maître à penser, il attire la comparaison, la provoque, l’amplifie.

…] l’impression demeure qu’il ne sort pas de l’ombre du maître.[/quote]

Ça fait plusieurs fois que je te vois revenir à la comparaison avec Moore et avec l’idée d’un héritage moorien pour commenter les différentes séries de King… Loin de moi l’idée de nier cette influence, mais honnêtement, ça me semble exagéré d’en faire ainsi une grille de lecture prioritaire, principale, et systématique.

Oui, enfin bon, la série est tout de même profondément ancrée dans la continuité : le postulat « géopolitique » de base, à savoir que les Lantern ne vont pas dans ce secteur, le stellarium et plein d’autres éléments prouvent que King ne réinterprète pas brutalement : c’est clairement inscrit dans l’univers, c’est complètement lisible en tant que pierre supplémentaire du vaste édifice DC.
Mais par exemple, ma connaissance parcellaire et lointaine des précédentes aventures des Omega Men est telle que j’avais oublié qui était Kalista. Donc bon, la surprise (un bien grand mot ici) m’a cueilli.
Après, je crois que le seul moment où j’ai réellement été épaté, c’est justement quand il y a un basculement dans le plan : celui des Omega Men ne fonctionne pas (enfin, celui qu’ils ont annoncé, au lecteur et à la Citadel), et la « troisième voie » de Kyle échoue. Et là, il y a un vrai choc.

Cette influence me semble évidente.
Outre les exemples que j’ai cités (qui sont sans doute autant de clins d’œil, sans doute, mais qui finissent par être trop voyants et jouer en sa défaveur), je rajouterai celui de Kalista, qui devient en quelque sorte vice-roi à la place du vice-roi, et qui occupe un peu dans le récit la place qu’a la fameuse phrase « rien ne finit jamais » dans Watchmen.
Je crois sincèrement qu’il est fasciné par le travail de Moore : ça dépasse quand même le simple fait d’en reprendre le tic technique le plus reconnaissable. Derrière ça, il y a à mon sens la volonté de se mesurer au maître (ce qu’il n’y a pas, ou très très dilué, dans son Batman, par exemple).
Moi, j’ai rien contre, hein. Mais je trouve que ça parasite sinon son travail, du moins la perception que l’on en a (tu dis la même chose, au demeurant, en évoquant ta perception de ma perception).
:wink:

Jim

La série sortira en mai.

En VF, tu veux dire ?
Je conseille d’ailleurs vivement, malgré les réserves que je peux émettre.

Jim

oui pardon un vil client m’a coupé.

salopard, qu’est-ce qu’il vient foutre à emmerder un libraire dans sa boutique, aussi ???

Jim

Il manquerait plus qu’à dire qu’il y a de la ziq’ de merde, en plus !