OSAMU TEZUKA - UNE VIE EN MANGA (Tezuka / collectif)

Discutez de Osamu Tezuka, Biographie

Je l’ai lu il n’y a pas très longtemps.
C’est plutôt agréable à lire même si ça tient plus de l’hagiographie que de la biographie pure et dure.:sweat_smile:
On n’entrevoit qu’à peine les zones d’ombre de Tezuka.

Oui, mais c’est assez sympa. Lu il y a un an ou deux. Sacré pavé.

Jim

J’ai lu la première version à sa sortie… Je n’en ai qu’un souvenir diffus, mais il me semble effectivement me rappeler que c’était une lecture agréable, bien qu’effectivement hagiographique (le terme convient bien).

Tori.

J’ai repris la lecture (parce qu’il y avait un marque-page dedans, quand je l’ai retrouvé dans une pile, et que les pages qui suivent ne me disent rien : soit j’ai cru l’avoir fini, soit je l’ai fini et mon gâtisme est plus avancé que je pensais…) et c’est très cool. Mais une chose me frappe (et ne m’a pas frappé à la première lecture) : « manga » est féminin dans les textes. Après, je ne suis pas fan des explications au sein des bulles présentées entre signes éclatés, pas entre parenthèses. Avec des parenthèses, je crois que ça passerait mieux.

Jim

Tu aurais un exemple ?
Là, je ne vois pas trop ce que tu veux dire…

Tori.

Faut que je te trouve un exemple précis (y en a autour des pages 270-280, souvent). Par exemple, quand ils citent un titre japonais de manga, et qu’ils donnent la traduction française du titre : celle-ci figure dans ces demi-éclatés, et je trouve ça moins visuel que de vraies parenthèses).

Jim

Ce que tu appelles « demi-éclatés », ce sont les guillemets japonais, comme ça : 「exemple」 ?

Tori.

Non, c’est comme une demi-étoile, trois traits qui partent soit vers la gauche (en ouverture) soit vers la droite (en fermeture). Les Américains les utilisent pour les interjections. Afin de les signaler au lettreur, on utilise des accolades, qu’ils convertissent dans cette forme, mais je ne sais pas les faire sur un clavier.
Ici, exemple en page 275, texte en haut à droite.

Jim