J’aime beaucoup cette série, mais j’avoue que je trouve lassant le fait qu’il y est tout un tas d’Otomens. Un otomen c’est bien, deux, pourquoi pas, quoique limite, mais trois c’est assez lassant. J’espère franchement que dans le prochain tome un 4ème otomen ne va pas apparaître…
Dans le 3, son adversaire au Kendo est dur mais est finalement otomen, et là Kurokawa qui semble assez bourru (physiquement) et mentalement (il déteste les fleurs) finit par en être un. Ca fait déjà vu dans le tome 2, je trouve
J’ai bien aimé le passage où Asuka montre les coins « typiquement » féminin au père de Ryo. Asuka parait aux anges et cela contraste totalement avec le visage crispé du père. J’adore.
On verra bien si le phénomène se répéte, c’est sûr que si Asuka ne fait que rencontrer d’autres Otomen, cela peut vite devenir lassant. Mais pour le moment, je trouve la série toujours aussi bonne et puis je pense qu’Asuka est le genre de personnage qui reste attachant quoiqu’il arrive!
pour ma part, j’aimerais beaucoup qu’Asuka finisse par retrouver son père. Ce moment serait assez drôle, je pense.
J’imagine trop la scène des retrouvailles Poilant!
Sinon pas lu encore ce tome, mais le fait qu’il y ait tout un tas d’otomen me dérange pas moi. Après tout c’est le thème principal du manga, et ça refléte bien que tous les hommes cachent une part de féminité.
Après tant que le mangaka ne vire pas Oto, je n’aurais rien de mauvais à dire là-dessus.
Ouais mais là, chaque nouveau personnage (à peu près) est un otomen (enfin dans les tomes 3 et 4 (ce qui fait déjà beaucoup je trouve. C’est clair que ca représente la grosse part de féminité des garçons, mais justement, je trouve ca trop, 100% des garçons ne sont pas fan de fleurs, fan de cosmétiques, de choses mignones…
Oui mais (pas lu le tome 4) faut pas oublier que le manga joue dans l’excessif ( on a rarement vu des filles de riches se prendre pour blanche neige ou être aussi possédé par la force du karaté ou judo je sais plus), donc en même temps… Mais bon, moi ça me choque pas, mais c’est vrai que ça peut agacer certains. Faudra voir la tournure des prochains tomes.
D’ailleurs c’est l’un des passages (ou même peut-être le seul) que je n’ai pas aimé du tout.
J’attends de voir ca avec impatience. Mais en fait même si dans chaque tome il y a de nouveaux otomens, je crois que je continuerai quand même, j’aime vraiment le fond de l’histoire, l’ambiance…
Je ne trouve pas que le badge soit à tomber par terre, mais c’est toujours sympa de la part de l’éditeur, donc je vais quand même être enthousiaste à l’achat de ce tome.
Il n’y a pas longtemps, j’ai vu sur le site fnac que l’auteur d’Otomen serait en dédicace à la Fnac de Châtelet le jeudi 1er juin, suite à sa venue pour la Japan Expo. Seul problème, je n’ai trouvé confirmation nulle part ailleurs. Est-ce que quelqu’un en saurait plus ?
Je pense pas que la fnac annoncerais de fausses séances de dédicace… Donc je pense que c’est vrai, mais pas d’annonce sur le site de la Japex pour le moment^^
Un éditeur qui décide de faire venir l’une de ses têtes d’affiche ! Enfin ! Au moins, Akata/Delcourt fait venir quelqu’un dont on aura pu lire plus d’un volume et dont la série marche bien chez nous… Bon, moi, Aya Kanno ne m’intéresse pas plus que ça mais je trouve au moins ce choix beaucoup logique et intelligent que d’autres.
Un cinquième volume qui m’a beaucoup moins plus que les autres.
Nous assistons tout d’abord à un concours pour élire la nouvelle Yamato Nadeshiko (femme idéale japonaise). Ryô, aidée d’Asuka, va donc affronter deuux adversaires, dont l’une particulièrement coriace.
Quant à la seconde partie, elle représente le retour des Power Samouraïs.
L’élection est un passage assez sympatique à lire, mais pas non plus extraodinaire, puisque l’on se doute des résultats (malgré tout, on est curieux de savoir comment ces péripéties vont-elles se passer).
Je n’ai pas trouvé la seconde partie (qui concerne les Power Samouraïs) intéressante, puisque je trouve que ces personnages sont parfaitement ridicules et en fin de compte peu intéressants.
La relation Ryô et Asuka dans ce tome (et même dans la série entière) est mise au second plan, ce qui fait d’Otomen un shojo plutôt particulier, et assez attachant. Mais elle n’est pas pourtant oubliée, puisque nous avons le droit à certains moments à des sentiments évoqués…
Pour finir ce volume 5 et Otomen en général est tout de même un manga avec une ambiance particulière, que l’on ne peut qu’aimer, malgré des passages assez redondants.
La fin de ce tome est assez inatendue et présage un prochain tome très prometteur, et riche en rebondissements.