POINT PRESSE

Cela devient récurrent depuis quelques années, le hors-série estival est une fois de plus consacré aux super-héros. Mais c’est toujours aussi intéressant !

Je l’ai aperçu (et feuilleté) il y a une semaine ou deux… Son prix fait que j’hésite encore à le prendre. Mais il me paraît plutôt intéressant (et j’ai l’impression qu’il n’y a pas trop d’âneries, ce qui est un risque sur ce type d’ouvrage).

Tori.

J’ai vu ça aussi ce week end : un hors série Marianne sur Star Wars. Je me demande s’ils en profitent pour faire des liens avec la politique …
http://abo.marianne.net/hors-serie/hors-serie-star-wars.html

J’ai picoré ici et là quelques notules et le reproche global que je ferai pour l’instant, dans la sélection des longs-métrages, c’est d’être peut-être resté un peu trop rivé sur les réalisateurs vétérans connus au détriment de noms moins évidents et des talents émergents. Il en ressort une sélection principalement circonscrite à quelques grands noms qu’un balayage sur un siècle de l’animation japonaise. J’imagine qu’un critère implicite de cette liste est que les films retenus aient été visibles en France mais même dans ce cas, c’est dommage de ne pas avoir chercher plus avant un certain éclectisme. De fait, l’absence de Masaaki Yuasa me chagrine alors que c’est une force vive de l’animation depuis un certain nombre d’années, qui n’a certes pas encore une longue filmographie en tant que réalisateur de long-métrages mais qui a tout de même laissé son empreinte dans des productions comme Mind game ou les séries Tatami Galaxy et Ping pong qui sont visibles chez nous. Et pourquoi retenir Avalon (qui n’est au passage pas la première incursion d’Oshii dans le cinéma en prises de vues réelles) alors que dans le même temps ses deux films Patlabor sont absents? Pas aussi enrichissant que je l’espérais pour l’instant.

Je me suis fait exactement la même réflexion…
Ça, et le fait que les articles les plus longs sont sur les œuvres les plus connues, là où j’aurais trouvé intéressant, au contraire d’en faire connaître d’autres. J’ai l’impression que ce hors-série ne s’adresse pas à moi, mais à plutôt un néophyte qui chercherait à savoir ce qu’il « faut » avoir vu.

Tori.

J’ai une question pour les plus érudits et/ou anciens d’entre nous (Manti serait là, je suis sûr qu’il pourrait en parler, car je pense qu’il a dû lire ça dans sa jeunesse … Manti en jeune … c’est assez vertigineux comme pensée !!!).

Dans le premier article sur les Pionniers de l’espérance (mais quels dessins !!! Je suis soufflé, tant le style de Poïvet est plus américain qu’européen … un extra-terrestre pour l’époque, assurément ! Et je pense même que les Américains auraient appris de lui, tant il est moderne), il est dit qu’avant 1965, les récits étaient développés sur une seule page. Dois-je penser que la publication se faisait d’une page par magazine et qu’une histoire s’étalait sur plusieurs numéros, ou alors, une histoire durait une page ? Parce qu’il y a des planches et même des démonstrations précédentes qui tendent à penser vers la première solution, mais dans ce cas, la formulation de l’article est un poil erronée …

Merci d’avance

Manti jeune, non mais quelles pensées tu as là.

J’ai cru que tu avais donné l’explication …:disappointed_relieved:

Non rien

C’est juste pour imaginer la tête de Soyouz quand il cliquera sur mon message avec l’espoir d’avoir une réponse

Niko, tu peux me prêter ton gros chien ? C’est pour un voyage à Babylone …

Tu parles d’un article paru où ?
En tout cas, comme toi, je suppose que c’était publié à raison d’une page à la fois, pour un récit plus long. Cela dit, comme je n’ai pas lu l’article en question, je ne sais pas de quoi il retourne.

Tori.

C’est dans le Beaux Arts HS spécial BD SF (c’est dans le message Ginevra auquel je réponds)

Ouais, mais bon, fais une citation, quand même, ça permettra de repérer à qui tu réponds (parce qu’il y a des gens, genre moi, qui savent pas se servir de tout, dans ce nouveau forum).
Oui oui, c’est moi, le chieur.

Jim

N’ayant pas lu l’article (et n’ayant pas les Pionniers sous la main, donc ce ne sont que des souvenirs de lecture), je pencherais pour la première solution, à savoir qu’il s’agit d’histoires à suivre publiée à raison d’une page par magazine.

Jim

Que nenni, tu as fait en sorte de me faire comprendre que je ne suis pas clair. Tu n’es pas un chieur ! C’est toujours l’histoire de l’émetteur et du récepteur !
(bon, tu remarqueras que je n’ai pas fait de citation … qui est le plus chieur des deux ?:wink:

Merci !

C’est parce que tu réponds juste après moi.
Quand l’émission est claire, le message passe bien.
:wink:

Jim

C’est ce que je sous-entendais …

ça doit pouvoir se négocier, ouais.

Pour en revenir à Poivet,j’ai son Thiriel, héritier d’un monde qui est épatant, aussi, sur le plan graphique.