La boucle est bouclée…^^
Une boucle spatio-temporelle ?
Tori.
Wow.
Vu les épisodes 9 et 10 de cette saison 5, désormais achevée, donc.
Et contrairement à ce que j’avais compris, ce sont bien deux épisodes « classiques » (du point de vue de la durée) et pas un épisode double.
L’épisode 9, dans la moyenne haute des épisodes de la saison, est relativement classique, si ce n’est sa conclusion un peu « radicale » quant à la relation entre les deux persos principaux.
Mais il sert surtout à préparer le terrain pour l’épisode 10, qui est un « game changer ».
Je crois qu’il va falloir que je revois tout ça pour exprimer un avis pertinent là-dessus. Mais j’avais clairement la tête qui tournait un peu à la fin de l’épisode.
Quel niveau d’écriture. L’épisode est à la fois du biscuit intégral pour les fans intéressés par le développement du « canon » comme on dit, et une critique radicale de la démarche « sérialisante ». Incroyable tour de force.
Et en plus c’est hyper-drôle, jusqu’à une fin amère comme je ne pensais pas que les auteurs se le permettraient.
Quelle série.
A force de lire tes retours, je me suis laissé tenter.
J en suis à la saison 2 et l acidité comme le mauvais esprit de cette série en font un petit bijoux.
Ah, cool !!! Je recommande cette série à tout le monde. Tout en me disant d’ailleurs qu’elle ne convient en fait pas à tous les tempéraments…
La diffusion de la saison 6 débutera le 4 septembre.
Un trailer pour une nouvelle saison de « Rick et Morty » sur fond de « Paranoid » de Black Sabbath ? Une certaine idée du bonheur.
Trop hâte.
Elle paraît quand la 5ème saison sur netflix?
Et vous savez où trouver la 25ème de south park ?
La saison 5, lancée ce lundi 21 juin, ne sera donc jamais diffusée sur Netflix !
Ils s’avancent un peu
Proposée depuis ses débuts par la plateforme, la série animée s’était ainsi fait connaître du grand public français, au point d’être considérée aujourd’hui encore par bon nombre de spectateurs comme une série originale Netflix.
Aidé en cela par le logo de la chaine et son « une production Netflix » servant à brouiller les pistes
La saison 5 sort demain sur netflix apparemment xD
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Wahou !! Gros gros démarrage pour la saison 6 du meilleur show du Multivers, avec un premier épisode époustouflant.
Dans une démarche un peu similaire (toutes choses égales par ailleurs) à celle de l’enchaînement / cliffhanger du diptyque « Infinity War » / « Endgame » chez les Avengers, on reprend le fil directement à la suite de l’épisode final (lui-même ahurissant) de la saison 5, référence explicite à l’appui (Rick se la joue Tony Stark) ; ce n’est pas la seule référence aux comics d’ailleurs, « The Dark Knight Returns » de Miller servant ici de manuel de survie pour les temps post-apocalyptiques.
Un mot d’ordre cette saison il semblerait, à en croire cette entame : on trace, on avance, on fait bouger les choses. Justin Roiland l’a précisé en interview apparemment, cette saison sera moins axée « stand alones » et beaucoup plus orientée sur le « canon », avec un probable fil rouge tout au long de la saison, que l’on voit déjà venir sur cet épisode. Changement de braquet donc, avec une volonté manifeste des auteurs, après 6 saisons, de ne pas s’endormir sur leurs lauriers et de proposer du neuf.
L’indice le plus flagrant de cette évolution, après une saison 5 qui clôturait en quelque sorte un cycle (celui de la lutte plus ou moins suivie contre le Evil Morty, en fuite), c’est le changement de « big bad » : l’adversaire de notre duo, ce sera donc dorénavant le Prime Rick, le véritable grand-père du Morty que nous connaissons, avec à terme une probable alliance avec l’Evil Morty, on peut le penser en tout cas.
Là où on voit également que les choses bougent, ou plus exactement que des pages se tournent, c’est avec la façon dont certains doutes sont levés, avec une nonchalance déconcertante (et franchement drôle) mais avec certitude quand même. Des doutes qui concernent la nature exacte ou l’identité de tel ou tel personnage : franchement, je ne m’attendais pas à une telle avalanche de « révélations ».
Et les arcs des persos avancent, clairement, notamment Rick, que l’on cerne de mieux en mieux, sans que la nature profonde du perso n’en soit altérée (ici, il est « hanté » par le « fantôme » d’un être cher, d’une façon qui en dit long sur sa gestion problématique du sentiment de culpabilité, en mode « Solaris » de Stanislas Lem ou Andrei Tarkovski, d’où le titre de l’épisode, « Solaricks »).
Et puis parce qu’on est quand même là pour ça à la base : merde, c’est toujours aussi drôle. Hilarant même, à sa façon référentielle et très, très sombre.
Cette série est monumentale, vraiment.
Ce que j’aime sur ce forum c’est la capacité des gens à transmettre leur amour pour un truc qui leur plaît.
Et si j’ai remercié Blackiruah pour Ao Ashi niveau manga, je me dois de remercier Photonik pour la découverte de Rick et Morty qui est euh… j’ai pas les mots en fait…
Je viens de finir l’épisode de l’attaque des spermatozoïdes géants tueurs (rien que d’écrire cette phrase…) et c’est vraiment une série exceptionnelle.
Ca part au départ sur des stand alone et dès la 1ère saison, les conséquences du philtre d’amour laissent pantois. Et ce qui est vraiment génial c’est qu’un truc qui pourrait juste être évacué façon Kenny dans South Park est poursuivi plus tard.
Il y a tellement d’idées ou de références dans chaque épisode, c’est juste incroyable.
Et mine de rien, ma femme qui était consternée en me voyant me marrer devant un épisode de la saison 3, a regardé la saison 4 et la 5 avec moi. Parce qu’on rigole devant cette série qui ne se refuse rien.
Trop hâte d’arriver à l’épisode avec les robots furets ^^ !
Mais de rien !!! Bien content que tu aies accroché à ce point.
Perso, je suis la saison 6 en cours de diffusion… et la qualité est toujours au rendez-vous. Premier épisode énorme (suite du monumental cliffhanger de la fin de saison 5), petit ventre mou, assez habituel d’ailleurs sur les épisodes 2 et 3 (même s’il y a de très bonnes choses dedans quand même) et reprise démentielle à compter de l’épisode 4 : mention spéciale à l’hilarant épisode des « fortune cookies » chinois (quelle poilade, mon dieu), très réussi comme tous les épisodes centrés sur ce bon vieux Jerry, mais aussi et surtout à l’incroyable épisode 7.
Cet épisode est une suite (pas seulement spirituelle ou thématique, mais aussi sur le plan narratif) de l’épisode déjà époustouflant du « train de la narration », qui était presque épuisant de virtuosité et donnait le tournis, une sorte de « vertige cognitif » que seule la meilleure SF est en mesure de procurer. Re-belote sur cet épisode plus « méta » tu meurs (c’est même le principal ressort comique de l’épisode : les auteurs réagissant par le biais de cet épisode aux critiques du genre : « c’est trop méta, on préférait la simplicité de la première saison ») : rarement le rythme d’un épisode de la série aura été aussi soutenu… Au menu : blagues impayables sur les travaux de Joseph Campbell, qui ont tant influencé Dan Harmon, mise en boîte impitoyable de… Dan Harmon lui-même (ah, c’est vraiment méta pour le coup, hein) et surtout, surtout, astuces formelles qui renvoient au meilleur des travaux des maîtres de la BD méta-fictionnelle (on pense à Grant Morrison, Satoshi Kon ou Marc-Antoine Mathieu, excusez du peu).
Bref, toujours aussi génial ! 
Marrant parce que le train de la narration a bien perdu ma femme, trop de méta tue le méta ^^!
Mais oui, moi j’étais plus réceptif.
J’aime bien l’échange des agents secrets en S4 :« que dit-on au Président ? »
« la vérité. Que Rick et Morty mettent un vent aux Etats-Unis ».
Savoureux !
l’épisode des leurres… Terrible.
Mais je crois que mon préféré c’est Rick Cornichon : un grand n’importe quoi du début à la fin ^^!