Découvrez quelques pages du nouveau Pika Graphic
le prix me suffit pour dire que je ne l’achèterai pas. Pas neuf en tout cas. Va falloir qu’ils se calment niveau prix.
On parle d’un manga grand format et de 300 pages, dont quelques dizaines en couleur, quand même.
moi je dirais que justement le prix est normal pour sa taille.
Le gros problème va être la « qualité » de l’édition. C’est pour avoir du Maiwai, oui, c’est assurément cher. Surtout qu’on grimpe encore d’un euro. Le papier de Maiwai est plus que moyen et les 4 pages couleurs ne justifiaient en rien le prix de 12€50.
Sinon, il s’agit de Sakuran, dont j’ai bien aimé l’adaptation live (avec Anna Tsuchiya, voix chanté de Nana). Etonnant (ou pas remarque, vu « l’intelligence » de Pika ses derniers mois) qu’ils n’essaient même pas de se servir de la popularité de l’artiste parmi les fans pour en faire la pub…
Encore une fois 99% d’accord avec toi (100%, ça ferait trop…) !
C’est vrai que j’ai eu du mal à entrer dans l’histoire au début, n’arrivant pas à différencier suffisamment les personnages…
Et quand tu dis
C’est vrai que de mettre, dès la première page, un astérisque à « oiran » avec, en renvoi, « Voir lexique à la fin du volume. », et que dans ledit lexique on lit « Oiran : courtisane de haut rang. » (trois mots de moins, huit caractères de moins), ça ne fait pas très sérieux…
Tori.
En même temps, la sortie de Sakuran n’est pas faite « au hasard ». C’est en grande partie pour ceux qui ont vu le film sorti l’année dernière, et qui connaissent donc déjà l’histoire…
en parlant du film, il apporte un plus au manga ? l’histoire se passe de la meme façon ?
Pas encore lu le manga de mon côté… Dans la semaine peut-être, la semaine prochaine au plus tard (avec critique bien sûr).
Je ne suis pas vraiment d’accord avec toi sur cette critique, notamment quand tu dis ça :
Pour ma part, j’ai trouvé l’ensemble très cynique, et pas du tout superficiel. Effectivement, l’auteur raconte beaucoup d’évènements (les tortures ou autres) sans fioriture et un peu brut de pomme, mais je n’ai pas ressenti ça comme une volonté de prendre un ton léger. Au contraire, cela renforce l’impression de cruauté générale, et montre bien que ce qui nous semble choquant aujourd’hui était complètement banal à l’époque.
Pour l’héroïne et toutes les autres femmes, le destin est déjà tout tracé et il n’y a aucun échappatoire (ni par la fuite, ni par l’amour d’un homme), c’est une peinture assez noire de leur quotidien.
Ce qui peut sembler léger, c’est les touches d’humour, ou les évènements limite racontés par dessus la jambe, mais j’ai vraiment trouvé que ce côté « tranche de vie banal » se mêlait volontairement aux horreurs des maisons du plaisir, pour donner un ton bien noir à l’ensemble. Voilà pourquoi le tout m’a semblé très cynique, et en ajoutant à ça une héroïne au caractère bien trempé, je ne pouvais qu’aimer.
Pour ce que tu dis sur le dessin ou l’édition, je suis complètement d’accord avec toi. Les visages qui se ressemblent ne me gênent pas forcément d’habitude, mais là c’était parfois sportif pour s’y retrouver !
Je lui mettrai un bon 8/10 pour finir !
Désolée mais je n’ai pas vu le film.