Sea of stars
Les yeux perdus dans l’immensité galactique, le jeune Kadyn se morfond devant le hublot du vaisseau convoyeur piloté par son père Gil. Et quoi de mieux pour tromper l’ennui que d’inspecter, sans y être autorisé, la précieuse cargaison provenant d’un musée alien… ? Séparés lors de l’explosion du vaisseau, Gil et Kadyn dériveront dans l’espace, l’un, désespéré, à la recherche de son fils, l’autre, émerveillé par les rencontres exotiques qui rythmeront son odyssée.
Âge : 12+
Collection : Urban Indies
Série : Sea of Stars
INFOS
SCÉNARISTES : JASON AARON, DENNIS HALLUM, HOPELESS DENNIS - DESSINATEURS : STEPHEN GREEN, RENZI RICO
- Date de sortie : 01 juillet 2022
- Pagination : 288 pages
- EAN : 9791026818458
- Contenu vo : #1-11
- Prix : 23 €
Cool ! Je voyais défiler les épisodes VO sans voir d’annonces en VF, je suis content que ça arrive tout d’un coup.
Très chouette initiative, oui. Et il est intéressant de voir Jason Aaron sortir un peu de sa « zone de confort » ; on l’a pas trop vu sur ce type de récit à ma connaissance…
Jamais entendu parler.
J’ai hésité à le prendre cet après-midi.
Quelqu’un l’a lu?
En partie, j’ai pas été emballé et j’ai finit par survoler du milieu à la fin. Le pitch est un peu facile, l’univers au final un poil pauvre pour ce type de récit. Pas mauvais, mais il y a mieux à lire.
Merci de ton retour !
Oui, et j’ai adoré ! Plus qu’un space-op quelconque, une odyssée vécue par son père et son fils, séparés dès le début par un océan d’étoiles, donc. C’est simple, super efficace et j’aime bien qu’Aaron se risque sur des terres (même lorsqu’il n’y a pas de terre) où on ne l’attend pas.
Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai trouvé cette lecture plutôt pénible. Est-ce parce qu’il y a deux auteurs sur ce titre qui semblent se parasiter ? Fortement possible tellement le titre racontant l’épopée du jeune Kadyn et de son père m’est passé totalement au dessus et n’a fais que perdre mon intérêt au fil du récit. Le titre n’est pas mauvais, bien au contraire, mais ce titre est à mon sens bien trop tassé, bourré d’action et ne laissant que rarement laisser souffler le spectateur et ce manque de répit est à mon sens préjudiciable car il ne permet pas de récupérer le spectateur perdu. L’univers n’est pas déplaisant, avec son lot de personnage particulier (la baleine et le singe, le peuple « Indien » ou encore l’IA flic) mais je n’ai jamais réussi à rentrer dans le récit, une narration trop tassée et qui manque d’émotion. Visuellement le titre est parfois brouillon, mais les traits de Stephen Green proposent une belle personnalité et les couleurs donnent un certain cachet très plaisant via ses nombreuses couleurs.