De retour à Craw County, Earl Tubb n’a qu’une chose en tête : vider la maison du vieil oncle Buhl et repartir au plus vite de cette petite ville d’Alabama qu’il a quittée voilà 40 ans. Il suffira d’une altercation avec quelques locaux au diner du coin pour transformer ce séjour en descente aux enfers. Un enfer taillé sur mesure par Euless Boss, coach de l’équipe de football local et ennemi juré de feu le shérif Tubb, paternel d’Earl.
Contient SOUTHERN BASTARDS vol.1 (#1-4)
Public: Ado-adulte – à partir de 12 ans
Genre: Polar / Thriller
Collection: Urban Indies
Date de sortie: 20 mars 2015
Pagination: 112 pages
ISBN: 9782365776264
Prix: 10.00 €[/quote]
Les échos de Jack! dans la section VO sont élogieux et font envie, mais même sans ça je me serais jeté dessus comme la vérole sur le bas clergé : non seulement Aaron est en forme olympique en ce moment (encore que l’évolution de l’intrigue d’Original Sin me laisse un peu perplexe…), mais en plus sur ce type de pitch on peut s’attendre à des étincelles.
« HBO version papier » (dixit Jack!) me semble une bonne définition du feeling que j’en attends. Et ces prix de lancement attractifs, c’est décidément une très très bonne idée !!
Oué bon je viens de le lire pour le coup et j’ai pas trouvé ça exceptionnel.
Déjà avant tout, ça m’a trop rappelé Scalped et c’est peut être le principal reproche. Parce que ça se laisse lire, c’est surtout assez sauvage après j’ai trouvé ça très classique sauf les 4 dernières pages !
Ca m’a vraiment surpris pour le coup. Assez curieux pour la suite. Mais bon j’ai pas trouvé ça énorme. Sympatoche tout au plus pour l’instant.
On a déjà vu plus violent. Et puis surtout, on a l’impression qu’elle est presque légitime dans cet Alabama sans doute un peu cliché (j’ose espérer en tout cas que ce n’est pas la réalité de la vie dans le sud des Etats-Unis). Moi j’ai beaucoup aimé. Je n’ai pas lu Scalped, je ne sais pas ce que c’est que HBO, je n’ai donc pas ce genre de références. Ca m’a fait penser à un western spaghetti avec Clint Eastwood dont j’ai oublié le nom. Le côté justicier sans soutien de qui que ce soit, sans doute.
Je ne connaissais pas non plus Jason Latour (décidément, c’est toute une culture à refaire…). J’ai apprécié, surtout ses personnages de gueules cassées aux proportions assez balèses.
Peut-être pas si cliché que ça, Jason Aaron venant de là-bas en fait (il est né et a grandi à Jasper, Alabama).
Ceci dit (j’ai pas encore lu ça mais ça ne saurait tarder), connaissant son goût pour l’outrance, c’est probablement un peu « amplifié », comme feeling…
Moyennement convaincu par ce tome un. Y’a un côté gran torino pas désagréable mais on voit les choses venir. Les pages de latour sont sympa à part les pages de baston avec pleins de cases qui sont assez mal foutues ( je les ai trouvées peu compréhensible ). Le twist de fin même s’il était prévisible à relancer mon intérêt. Reste à vour comment il va gérer ça par la suite.
Bref je me ferait un avis définitif avec le prochain tome
J’aime bien l’ambiance j’ai pas vu de côté Gran Torino, juste une côté redneck et white Trash (très à la mode en ce moment) que l’on a pu retrouver dans pas mal de film récemment. L’histoire est très classique, ça se lit vite, j’ai même cru que ce premier tome serait le seul et unique.
des évènements qui forcent Earl Tubb/Walt à défendre quelqu’un dont il s’en contrefiche à la base face à un gang local qui fait la loi dans le patelin/quartier
Earl Tubb n’est pas raciste comme le personnage de Clint, il a le désir de sauver une ville, là ou celui de Clint se prend juste d’amitié pour les 2 gosses et décident de les venger, tout l’aspect communautaire dans le sens racial du terme n’étant pas présent, je n’ai pas fait la comparaison, qui n’est pas fausse au final.