SPIDER-MAN #1-11 (Dan Slott / Mark Bagley)

Ce n est pas raccord avec grand chose.

https://comicbook.com/marvel/news/dan-slott-spider-man-end-of-spider-verse-interview/

ComicBook.com: What led you to come back to Spider-Man after you spent the last couple of years on Fantastic Four ?

Dan Slott: « I cannot quit this character. He is my favorite character in all of fiction. Suck it, Hamlet. What it really was like, people would ask me when I was leaving Amazing Spider-Man, « Will you ever come back to Amazing Spider-Man. ? » And my answer was always, « Never. I never want to do that again. I never want to do it twice a month. » It was very much like if you’ve seen that clip or that GIF of Lucy from I Love Lucy at the chocolate factory. »

« The second you finish one issue, you’re getting another one out. To do it that quickly, you always have to write stories out of sequence so the next artist can start their story. So you’re always writing chapter one of this story, chapter four of that story, chapter two of that story. And I was like, « Gah ! » I always said getting the gig was a monkey’s paw. »

« You got your greatest wish, but not the way you want it. Being able to write adjectiveless Spider-Man, being able to write just Spider-Man and do it once a month, everything I’ve always wanted. This is kind of like coming back to Spidey on my own terms and going, « Oh, yeah. I could write one issue of Spidey for the rest of my life. » Never want to do anything else. It’s great. And I get to do it with Mark Bagley ! That’s insane. »

Nouvel aperçu :

Ben Dan Slott est devant Bendis non ? Sauf si on compte les Miles Morales

Pas selon Slott (Bendis a aussi écrit la version 616 dans New Avengers).

Ha oui ok, j’avais pas compris qu’on comptait toutes les apparitions du personnage.

Slott veut le prix

(W) Dan Slott (A/CA) Mark Bagley, John Dell, Edgar Delgado (CA) Skottie Young, Arthur Adams, Steve Ditko, John Tyler Christopher, Bengal, Ryan Stegman, Frank Miller, Humberto Ramos
« The End of the Spider-Verse » is here! Morlun is back and he is not alone. Allied with one of the most powerful beings known to the Spider-Verse, the scariest Spider-Villain of all time is making his biggest play and no Spider is safe. Especially not the Chosen Spider himself, Peter Parker. With Peter working for Norman Osborn and using a glider…does he have it coming? Spidey’s 60th Anniversary is no joke as two of the most legendary Spider-Creators are working together on Spidey for the first time and you know it’s going to be one for the record books!
Rated T
In Shops: Oct 05, 2022
SRP: $4.99

Ils ne mettent pas le nouveau costume en couv ?

J’ose à peine imaginer le massacre si le traducteur de l’épisode ne saisit pas la référence (parce que bon, Spider-Man n’a pas toujours été bien servi en VF chez Panini, mais ça fait longtemps que je ne lis plus en français, ça a peut-être changé…).

Jim

Je capte pas*
(il chante la chanson du DA il me semble mais je pige pas le truc avec Hyphen)

*salut c’est moi le nouveau traducteur de la série

« Le tiret, le tiret,
il faudrait ne pas l’oublier.
Spider-Man, en deux mots,
ou sinon, c’est zéro.
Attention,
car le tiret est là ! »

Jim

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Haaaa mais oui. Je suis con aussi j’aurais pu voir ce que veut dire hyphen. Merci

Ce serait plutôt un trait d’union (et d’humour)… Mais c’est sûr que c’est plus facile avec « tiret ».

Tori.

Voilà : j’ai commencé à travailler avec « trait d’union », et j’ai buté très vite.

Mais bon, essayons :

« Trait d’union, trait d’union,
de l’écrire c’est la bonne façon.
Spider-Man, détaché,
séparé par un tiret.
Attention,
le trait d’union est là ! »

Jim

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ce n’est pas de moi (et puis moi, j’ai la flemme !)

Le Trait d’Union

Entre naissance et mort, un seul trait d’union,
Attache les deux bouts d’un même phénomène,
Dès notre premier cri, ce petit trait nous mène,
Vers le râle final de toute vie humaine ;
C’est l’immuable loi de la création.

C’est à nous d’ajouter, au trait grammatical,
Une forte valeur pour sa grande importance ;
Il nous faut batailler depuis notre naissance,
Pour faire un bon parcours avant que l’échéance,
Ne vienne pour couper ce trait ombilical.

La naissance s’annonce avec un cri strident,
Qui nous lance, en avant, vers notre destinée,
Et petit à petit, c’est la grande ruée,
Sur le chemin qui mène à l’aveugle odysée,
Qui s’achève, toujours, par un cri délirant.

On arrive muni d’un tout neuf passeport,
Tamponné d’un visa qui marque l’échéance,
Du permis de séjour et de la résidence,
Qui nous sont octroyés par l’occulte puissance,
Et met ce petit trait entre naissance et mort.

Christian CALLY

et donc voici ma conclusion (j’ai quand même fait un effort) un indécasyllabe :

Donc n’oubliez point de mettre un trait d’union
entre Spider et Man car faire attention
ne va pas vous coûter une vie ni vos doigts
respecter la consigne comme il se doit !

Et j’ai vu un nouveau personnage :

ça ressemble plus à un crable qu’à une araignée, déjà, bien que ça ne circule pas comme un crabe… par contre, sur la BD plus haut (sm2022001-preview-4), on peut se poser deux questions : est-ce une araignée-robot ou un crabe robot ? La pince a-t’elle été remplacée par sa patte ou il lui manque réellement une patte ? :crazy_face:

Bah, c’est sympa’. Sans surprise, sans grand élan, et avec un focus sur le Spider-Verse qui m’a plu mais sans m’emballer.
C’est sympa’. Mais très attendu.
Ici, Dan Slott revient comme si de rien n’était sur Spider-Man, comme Mark Bagley ; cool. Ils surfent sur les éléments actuels de la série, avec Norman Osborn soigné (what ?), qui connaît l’identité de Spider-Man et l’aide (what ?) en le finançant (what ?) et en l’équipant (what ?). On a ainsi un costume un peu différent, et un robot (« Bug ») qui ressemble aux robots de la nouvelle attraction de Disneyland Paris. Sauf qu’une nouvelle menace vise le Spider-Verse, avec Morlun qui attaque, mais surtout Spider-Man Noir qui est « infecté » par quelque chose qui le rend encore plus araignée. Il « coupe » Spider-Woman de la Toile de la Vie, et elle disparaît ; d’autres Spider-Men infectés viennent attaquer.
Bon, c’est bien, hein. C’est dynamique, fluide, ça change un peu le Spider-Verse même si c’est un ressort connu. Mais bon… je n’ai jamais été très emballé, je l’ai dit, sur tout ça, les totems, Morlun et compagnie. C’est sympa’, mais pas mon truc. Donc revoir ça, même modulé… ouais, bof.
Mark Bagley gère très bien le graphisme, et s’en sort vraiment bien. Mais le scénario, efficace et fluide, ne m’éclate pas.

Je crois que ce n’est juste pas pour moi.

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C’est peut-être pour moi !