Voici quelques planches de Spirou vers la modernité.
mouais… à première vue ça fait limite « art moderne », c’est peut-être l’idée ? A voir 
Pas convaincu non plus.
J’espère qu’il y a quelque chose de vraiment intéressant derrière cette nouvelle utilisation de l’univers Spirou…
j’ai l’impression que ça ressemble à certains vieux albums de spirou.
C’est la réflexion que je me suis faite aussi, surtout celui-ci :
Mais avec un dessin nettement plus anguleux, moins rond.
Tori.
Je suppose que c’est le prochain “Une aventure de Spirou et Fantasio par”, et pas le prochain de la série principale…
Tori.
C’est prometteur tout ça!! ^^
La critique de Le Spirou de… T.7 (simple - Dupuis) par vedge est disponible sur le site!
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Dans ce tome, je n’ai pas compris l’intérêt de l’histoire des champignons noirs : on n’a aucune explication, ils apparaissent, puis ils disparaissent et je ne vois pas ce que ça apporte à l’histoire, à part d’ajouter les passages avec le Comte, qui aurait été absent de l’histoire sans cela, mais je ne vois pas en quoi ça aurait nui… Ici, ça casse le rythme ainsi que la poésie, je trouve.
Tori.
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Ah en fait tu n’as pas compris l’histoire, donc. 
Ce n’est pas impossible… ou en tout cas, pas tout.
Il faudrait peut-être que je lise l’album, parce qu’à la lecture en épisodes dans le journal de Spirou, ça ne donne pas forcément la même chose (surtout en laissant, du coup, passer une semaine entre chaque épisode).
Tori.
Ah, oui, j’imagine. C’est pas l’album qui doit se prêter le plus à l’exercice.
Cela dit, je fais mine de plaisanter, mais c’est clair qu’il y a de quoi rester perplexe, face à ces histoires de champignons (qui ne sont effectivement pas expliquées). Ma petite théorie perso est qu’ils renverraient aux idées noires (pour rester franquinien…) qui envahissent et gangrènent tout, aussi bien parmi les personnages (brouille entre Spirou et Fantasio, entre Noé et Fauvette…) que dans le monde de façon plus générale (culte du fric, etc. : on voit notamment que les champignons s’en prennent aux œuvres d’art) ; ils disparaissent quand la tonalité de l’album devient plus uniment « lumineuse », grâce à Spirou, là encore sur un plan « global » (le message de Borneo est délivré aux humains) et plus intime (les personnages sont réconciliés, la joie de vivre est retrouvée).