Je zieute le cinoche russe de manière très irrégulière, mais plus attentive qu’avant. Et je me dis qu’il y a une approche formelle et thématique du cinéma de genre qui est vraiment intéressante.
Et là, la fine compréhension du ralenti matrixien, l’illustration musicale de la BA tout en décalage, purée, ça envoie déjà du bois.