STAR WARS : ANDOR (Saison 1)

Si j’avais mangé du KFC j’aurais remangé mon vomi, heureusement ce ne fut pas le cas

C’est à ce genre de réplique qu’on se rend compte que KFC est le mal incarné …

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A ne pas confondre avec KabFC

Et Kab n’est pas que du vomi, les gars. C’est aussi un petit coeur, Mon Kabou.

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En Kabisme, ça s’écrit Koeur

Et Cul? Kul?

Andor est une série qui sera complète en deux saisons. La première se déroulera cinq ans avant Rogue One et le final de la seconde amènera directement aux événements du film.

Bon plan.

effectivement

La bande annonce donne envie

12 épisodes pour la 1ère
24 pour la seconde

(très étonnant et intéressant)

Même 12 épisodes, c’est surprenant.
Alors 24…

Je me demande s’il vont diffuser la saison 2 en deux temps.

C’est vrai que le format interpelle pour Disney+.

En fait, j’aimerais bien que la série « dépasse » et son titre, et son concept, pour être « la » série sur la Rébellion.
Montrer plus que le perso’ Andor, mais toute l’ampleur, le fonctionnement, les dessous, l’historique, la chronologie, les black-ops de la Rébellion.
Je trouve que ça, ça serait super.

A mettre en parallèle avec ceci : REVUE DE PRESSE - CINÉ / SÉRIES - #73 par Lord-of-babylon

et se demander si on est pas arrivé à la fin d’un cycle et d’une mutation qui verrait le modèle économique des plates-formes de SVOD se rapprocher de celle des network classique en terme de nombre d’épisode et de fréquence de diffusion

(avec également une nécessité de transparence quand aux chiffres d’audiences et la rentabilité réelle des oeuvres)

Pourtant, sauf erreur, on est dans une dynamique globalement inverse, non ?
Depuis l’avènement d’AMC et de Showtime, il y a de plus en plus de séries avec des saisons à 10/13 épisodes.
AppleTV calibre ses saisons de la même manière.

The Rookie tourne à un peu plus de 20, This is Us à 18 en moyenne, les flicailleries de Dick Wolf sont interminables, aussi… Mais je n’ai pas le sentiment que les séries à 6ou 8 épisodes soient réservées à Netflix ou à Disney+.
Mais j’ai vu un tas de série de la BBC calée sur le même nombre d’épisodes (Doctor Foster, The responder, etc.).

Cela dit, 6 épisodes, ça fait court.

Et une question. L’expansion de Disney+ continue ? Parce si c’est le cas, c’est une donnée qui peut motiver les investisseurs.
Sans parler de la capacité des plateformes à viser des marchés locaux. Genre, je fais une série espagnole pour les hispaniques, en la rendant accessible à tous. Il n’y a que les plateformes qui bossent massivement comme ça. Enfin… surtout Netflix. Mais je crois que Disney+ s’y met.

D’après ce que j’ai lu, c’est 12 épisodes par saison, 24 au total.

Oui j’ai mal compris le texte :

Additionally, Andor is expanding its initial first season 12-episode run to 24 episodes with an unsurprising second season.

Non. Le modèle de diffusion des plates-formes est un modèle minoritaire quantitativement parlant. La majorité des séries produite dans le monde (et aux USA) c’est 12/22 épisodes diffusée avec une fréquence hebdomadaire.

Oui ce n’est pas réservé mais c’est minoritaire. J’ajoute que la grande différence également c’est la mise à disposition d’un bloc d’une saison que pratique encore pour le moment Netflix (mais ca risque pas de durer à mon sens)

Pour une mini-série (qui est en fait le modèle de Netflix et Disney+) ca va, pour une série c’est très court. Généralement une saison avec si peu d’épisode ca arrive quand on lance une série en milieu d’année pour la tester.

Les projections montrent qu’elles dépasseraient Netflix vers 2025 mais la question fondamentale dans l’article n’est pas tant l’expansion que la rentabilité. Si les séries coutent trop cher et rapportent peu, cela ne sert à pas grand chose. Quand on parle de 40 millions de dollars par épisodes pour la saison 4 de Strangers Things, peut-on réellement amortir cela ?

Alors non. De tout temps les séries sont proposés et vendus sur le marché international. La vente des droits à l’étranger fait souvent partie du financement. La différence se trouve dans la diffusion simultanée (ce qui peut poser des questions quand à la réalité de la nature « locale » de l’oeuvre) et dans la rémunération vis à vis des créateurs

Ah oui cest pas pareil