STORM #1-2 (Murewa Ayodele / Lucas Werneck)

Ce qui est très moderne :slight_smile:

Ororo is !

Darkseid like this.

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Tenez, très cher :

et pour le plaisir :

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(W) Murewa Ayodele (A) Lucas Werneck (CA) Mateus Manhanini

STORM is dying.

An unknown form of radiation poisoning from the OKLAHOMA INCIDENT has turned her cells into ticking time bombs. As her final hours count down, will she find a cure for her illness at NIGHT NURSE’s new super-hero hospital, or will it require enchantments from DOCTOR VOODOO to save her life?

Rated T+

In Shops: Nov 20, 2024

SRP: $3.99

Très bon. Murewa Ayodele est en train de réussir ce que je ne pensais pas possible : me rendre fan d’Ororo, et me faire comprendre pourquoi elle est tant appréciée et révérée. Le scénariste donne énormément de corps à Ororo, sans la déifier mais sans l’humaniser à outrance, il parvient à un équilibre de prestance et d’humanité assez saisissant et agréable. Ici, donc, l’on voit les conséquences du #1, et l’intervention d’Ororo en Oklahoma pour stopper une super-tornade et une fuite radioactive : elle se meurt. Elle tousse et saigne en sauvant un navire de pirates, et les matelots la rejettent car elle a révélé que la super-tornade avait été provoquée par un Mutant, ce qui augmente le rejet global. Elle perd ses cheveux. Elle va mal. Elle file à une clinique cachée de l’infirmière de nuit et d’un médecin, qui cependant refuse de soigner les X-Men - pas par racisme, mais car les X-Men sont les seuls à ne pas participer au financement ou à l’entretien de la clinique. Ororo comprend, revient sur son emportement initial, donne un joyau familial et apprend que le médecin est Mutant mais qu’elle n’a plus que quelques heures à vivre. Elle doit chercher un spécialiste de Magie Noire et, vu la situation actuelle du Sorcier Suprême, elle file en Afrique où elle est perturbée mais rencontre enfin son interlocuteur : Dr Voodoo !
C’est très bien, oui. En soi, il ne se passe pas grand-chose ici, mais Murewa Ayodele livre un scénario qui me plaît énormément sur ce qu’il fait et dit de Tornade. Je rentre plus dans l’appréciation du personnage, j’aime cet équilibre dont je parlais entre prestance divine et humanité sous contrôle mais réelle. Par bien des aspects, elle me fait penser à Beyonce par son aura, sa certitude d’être « au-dessus » mais sans trop en jouer. J’aime beaucoup, et les dessins de Lucas Werneck sont fort beaux et réussis, très poétiques et intenses.

Je suis très fan, moins sur le fond de l’intrigue que sur l’approche d’une Tornade que cette série commence à me faire aimer.