DC annonce une nouvelle série Suicide Squad qui sera scénarisée par Nicole Maines et dessinée par Eddy Barrows. Début de la publication en mars 2024.
Belle promotion pour Nicole Maines.
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Un bien beau dessinateur!
Suicide Squad: Dream Team #1
With a super-powered hero who can see the future on her side, is Waller’s Suicide Squad finally unstoppable? Join Harley Quinn, Bizarro, Clock King, Black Alice, and Deadeye for the fight for DC’s future…and the next big step toward the cataclysmic event of 2024!
Creative Team
Writer: Nicole Maines
Artist: Eddy Barrows
Inker: Eber Ferreira
Colorist: Valentina Taddeo
Letterer: Adriano Lucas
Cover Artists: Eddy Barrows, Eber Ferreira, Adriano Lucas
Variant Cover Artists: Riccardo Federici; Sweeney Boo; Eddy Barrows; Gleb Melnikov
Group Editor: Ben Abernathy
Editor: Jessica Berbey
Assistant Editor: James Reid
Cover Price/Page Count: $4.99/32 pages
The fight for DC’s future…and the next big step toward the cataclysmic event of 2024 in Suicide Squad: Dream Team #1 on shelves and digital platforms on March 12, 2024, from DC Comics
Pas mal, pas mal. Nicole Maines, actrice du personnage dans la série TV Supergirl, continue son écriture de Dreamer, en poursuivant ici les premiers éléments vus dans Lazarus Planet. Ici, Dreamer est liée à Amanda Waller, qui la « tient » en menaçant une communauté de réfugiés extraterrestres. Amanda envoie Dreamer, Harley Quinn, Deadeye (son neveu), Clock King, Black Alice et Bizarro à Gamorra, où la chute du Président Bendix créé une instabilité qu’elle veut gérer. Waller les fait passer par le Dream Land, où l’avancée est difficile, pour arriver à Gamorra. Bizarro s’emporte après une engueulade de Black Alice à Dreamer, qui échange avec Harley et « voit » le futur où le pire va arriver… à cause de Waller !
Pas mal, oui. Nicole Maines tâtonne parfois, quand même, notamment sur la fin, avec ce rêve du futur un peu maladroit, mais l’ensemble tient la route. Elle gère bien ses personnages, même si Waller s’emporte un peu trop, et Deadeye est étrange de dire « tante Amanda ». J’aime l’idée de revenir sur Gamorra après Superman: Son of Kal-El, et Eddy Barrows propose de très belles et très dynamiques planches.
Pas parfait, mais un début encourageant.
Et en effet, j’ai lu que c’était une mini en 4 parties. 
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Ca ne m’étonne pas. C’est même une bonne chose : je doute que Dreamer reste plus qu’une mission.
Written by: Nicole Maines.
Art by: Eddy Barrows, Eber Ferreira.
Covers by: Eddy Barrows, Eber Ferreira, Sweeney Boo, Jerry Gaylord.
Description: Dreamer has made her break from the rest of the Squad, and Amanda Waller is pissed. Who will side with the dream-walking precog, and who will kiss the ring of the DC Universe’s premier control freak? The answers will surprise you (except I think we all pretty much know Bizarro will do something « opposite, » though, right?) as the Dream Team shatters!
Pages: 32.
Price: $3.99 (Variant, $4.99).
Available: April 9.
Bof, bof. Nicole Maines avait livré un lancement correct dans le #1, mais se perd dans ce #2 maladroit et lourd. Sa narration n’est pas bonne, avec une partie du Suicide Squad qui fait tomber le bouclier de Gamorra, et Dreamer & Harley qui veulent les gêner. Ça tourne mal, Bizarro s’en prend à Dreamer qui s’enfuie. Amanda Waller arrive, gronde son neveu Deadeye et envoie Bizarro tuer apparemment la Présidente de Gamorra, la mère du petit-ami de Jon. Plus tard, Amanda a « balancé » le camp de réfugiés extraterrestres de Dreamer, qui vient la visiter en rêve, lui fait revenir un moment difficile, la confronte et file, après que Waller évoque sa peur des débordements des surhumains. Et Amanda se réveille, prêtre à continuer…
Bof, bof, oui. Le début est maladroit, avec des personnages mal placés, des rebondissements mal amenés, et une Dreamer ensuite lourde dans sa confrontation avec Waller, classique mais efficace. Dommage, d’autant que Eddy Barrows est moins bon que d’habitude, avec même un visage bien naze de Dreamer.
Petite déception, il faut l’avouer.
CAN DREAMER ESCAPE WALLER’S CLUTCHES?
No one just gets out from under the thumb of Amanda Waller, and it’s looking like Dreamer is no exception! But a surprise pair of allies decide to risk it all and play hero, helping Dreamer escape Waller’s clutches… now they just have to escape the plane they’re stuck in and prevent a bloody assault on Gamorra. Should be easy, right?
Writer: Nicole Maines
Artist: Eddy Barrows, Jose Luis, Julio Ferreira, Adriano Di Benedetto
Colors: Adriano Lucas
Letters: Becca Carey
Release Date: May 14, 2024
Maladroit mais avec du sens. Nicole Maines enchaîne sa mini-série, avec Dreamer qui tente de protéger la colole secrète de réfugiés extraterrestres de son peuple « balancée » au monde par Amanda Waller, en vengeance de son départ du Suicide Squad. Les autres membres viennent la chercher, ça se bagarre sous la vision lointaine d’une Amanda crevée à force de ne pas dormir pour échapper à Dreamer. Les membres du Squad hésitent vu les dégâts causés aux innocents, Dreamer évoque la quête de Pouvoir Absolu de Waller (clin d’œil sur le futur événement), puis tombe au champ d’honneur et Amanda va la récupérer.
C’est maladroit, clairement. Nicole Maines a du mal à gérer son récit, se perdant dans des discours longs de chaque côté, rendant les réactions de tous très dramatiques et théâtrales. Ce n’est pas grave en soi, mais c’est abusif ici, d’autant qu’elle maîtrise moyennement l’écriture de bagarre. Cependant, elle est pertinente dans les craintes et alertes de Dreamer, et écrit un prélude cohérent à Absolute Power. Eddy Barrows et José Luis livrent des planches solides et souvent épatantes pour tout ceci.
Beaucoup de maladresses mais un propos cohérent.
DC Comics has released a 4-Page Preview and Covers of Suicide Squad: Dream Team #4 comic, that will be on sale on June 11, 2024 as a print and digital issue.
Issue 4 of 4. MINI-series.
COUNTDOWN TO ABSOLUTE POWER!
The Official Synopsis of Suicide Squad: Dream Team #3 comic:
PART FOUR
As the Dream Team’s story reaches its climax, Dreamer and her Suicide Squad take their one and only shot at preventing the future she’s predicted, in which Amanda Waller turns Gamorra into her own personal alien super-prison. Will Dreamer be able to save the day and abide by her superhero code, or will she have to embrace the Wall’s greater good philosophy and resolve to change the future by any means necessary?
Un bon final, pour un prélude correct à Absolute Power. Nicole Maines achève efficacement sa saga, avec Dreamer appréhendée par la Suicide Squad, amenée sur Gamorra pour être donnée à Amanda Waller, même si les membres du groupe veulent que Dreamer l’attaque. Sauf que… celle-ci sent l’entourloupe, se libère de l’avion, les évacue même, et fait s’écraser ledit avion sur la nouvelle prison de Waller, qui elle le sait va poser des soucis. Bizarro se retourne contre les autres et la sauve, mais il est abattu de loin par Deadshot. Dreamer va confronter Waller et l’envoie par la fenêtre, mais… c’est une prémonition, et elle ne le fait pas, parce que Amanda a emprisonné ses parents et, si elle meurt, leurs têtes explosent. Dreamer se soumet ainsi, le coeur lourd.
C’est bien fait, oui. Nicole Maines se reprend et livre un récit plutôt correct, bien mené dans l’action, et bien aidé par un Eddy Barrows très, très en forme. Le final est attendu, efficace, difficile mais bien mené, oui, et finalement réussi. Un bon essai, et une bonne gestion de Dreamer.
Une mini-série correcte, et un bon prélude à Absolute Power, même s’il n’est pas indispensable.