Super Sons est l’un des rares titres annoncés pendant la conférence de presse sur Rebirth dont on a pas eu plus de précision.
Notons que Super-Sons est un titre récurrent chez DC comics. Il fait référence aux fils des couples Batman/Kathy Kane et Superman/Loïs Lane venus d’un monde alternatif. Ils furent créés par le scénariste Bob Haney et le dessinateur Dick Dillin dans World’s Finest Comics #215 en Janvier 1973.
D’après le rédacteur en chef Dan Didio, il s’agit de son titre favoris.
Super Sons est un mensuel dont le premier numéro sort en septembre.
Dustin Nguyen est très pris par son travail sur la série indépendante Descender et ses récits à destination des petites têtes blondes (DC Comics : Secret Hero Society).
D’après le site Newsarama, et c’est une information à prendre avec des pincettes parce que rien ne vient l’étayer, la série Super Sons a été confiée à Chris Burns, Dennis Culver (Edison Rex) et Jorge Jimenez (artiste de Earth 2 : Society qui signe d’ailleurs la couverture présentée plus haut).
Le seul problème c’est que personne ne sait qui est Chris Burns !?!
S’il est fort peu probable qu’il s’agisse de Charles Burns, cette coquille pourrait en fait cacher Chris Burnham, artiste reconnu pour son travail avec Grant Morrison (Batman Incorporated, Nameless) et qui a récemment fait ses preuves en tant que scénariste sur la mini-série Secret Wars : E for Extinction avec un certain Dennis Culver.
Tout ce que j aime chez Tomasi… c est ultra cliché mais ca fonctionne super bien; ce st ultra fun et moi qui n aime pas les comics d ados en général… j aime quand Tomasi s en occupe. Le dessin est bon
Sentiments plus ambivalents pour moi pour ce titre pour le moment.
J’ai préféré ce numéro au diptyque annonciateur dans le cadre de la série Superman, mais, par rapport au dernier numéro en date de cette même série sur Jon seul, on est pour moi bien en-dessous. Et ça ne tient pas qu’à mon désintérêt général, déjà mentionné ailleurs, pour Damian post-résurrection - d’ailleurs je l’ai même trouvé un peu moins irritant ici. Mais globalement, je dirais que j’ai plus eu l’impression de ne clairement pas être le public visé.
Le déguisement de Damian, la leçon de morale surlignée pendant la partie de carte… On est clairement dans un titre qui vise un public jeune, et ça n’a rien de scandaleux, bien au contraire ! maiiiiis… il y a des œuvres « jeunesse » dans lesquelles en tant qu’adulte, je trouve quand même de quoi nourrir mon intérêt, et d’autres où je me sens plus « à côté de la cible ». Et je crains un peu que ce soit le cas avec cette série.
Bon, Jimenez fait du super boulot, je suis curieux de savoir ce que cache le prologue avec « Reggie », il y a des idées sympas, ça reste de la production de qualité mais ce n’est pas un coup de cœur pour moi. À suivre pour voir comment les choses vont évoluer (ou pas)…