Quand le Joker et Lex Luthor décident d’échanger le terrain de leurs méfaits, Metropolis et Gotham City subissent des vagues de crime sans précédents. Superman et Batman vont s’allier pour la première fois et mettre de côté leurs différends pourtant profonds. (Superman – Batman : The World’s Finest)
Public: Ado-adulte – à partir de 12 ans
Genre: Aventure
Collection: DC Deluxe
Date de sortie: 5 juillet 2013
Pagination: 176 pages
ISBN: 9782365773010
Format: 185 x 282mm
Prix: 17.5 €[/quote]
Pour ceux qui veulent en savoir un peu plus sur Steve Rude, dessinateur plutôt rare dans notre Hexagone (et partout ailleurs, d’ailleurs), je leur propose un portrait en creux de l’artiste au travers d’une de ses co-créations : Nexus.
Pour en revenir à ta critique, je suis très loin d’être d’accord avec ce que tu écris là : " …] tout droit sortir de l’âge de bronze : bien loin de la complexité des versions actuelles, …]".
La « complexité » des super-héros est justement un trait dominant, mais pas exclusif ni systématique de l’Âge de bronze.
En outre le style de **Rude **rappelle me semble-t-il, plutôt l’Âge d’argent que son successeur historique. Non !?
Avant de répondre, merci de lire et réagir à nos critiques, ça fait toujours plaisir, encore plus quand ça mène vers une discussion intéressante
[quote=« artemus dada »]Pour en revenir à ta critique, je suis très loin d’être d’accord avec ce que tu écris là : " …] tout droit sortir de l’âge de bronze : bien loin de la complexité des versions actuelles, …]".
La « complexité » des super-héros est justement un trait dominant, mais pas exclusif ni systématique de l’Âge de bronze.[/quote]
A vrai dire, j’ai très longuement hésité au choix de l’age entre effectivement l’age d’argent et l’age de bronze. J’ai fini par choisir le bronze car il y a tout de même une certaine présence de violence à travers l’épisode de l’orphelinat des vilains m’on fait choisir cette période.
Cela dit, je suis tout à fait d’accord avec toi, je ne dis pas qu’ils sont pas complexes mais qu’ils le sont moins. Je trouve qu’aborder un héros de nos jours est bien plus complexe que durant les ages précédents. Avant l’essence même du personnage suffisait amplement, maintenant je n’en suis pas sûr.
Même chose devant l’hésitation, mais sa finesse et ce sens du détail m’a poussé vers le choix du bronze. A vrai dire ma réaction était celle-ci :
Cela dit, je suis tout à fait d’accord avec toi, je ne dis pas qu’ils sont pas complexes mais qu’ils le sont moins. Je trouve qu’aborder un héros de nos jours est bien plus complexe que durant les ages précédents. Avant l’essence même du personnage suffisait amplement, maintenant je n’en suis pas sûr.
…][/quote]
Je ne comprends pas, tu parles de la complexité des personnages en tant que caractérisation ou des difficultés que peut éprouver un lecteur à comprendre le personnage qu’il lit aujourd’hui ?
Ensuite sur les périodes, j’ai du mal à croire que l’on puisse les déterminer par rapport à une encyclopédie plutôt qu’à son expérience de lecteur.
[quote=« artemus dada »]
Je ne comprends pas, tu parles de la complexité des personnages en tant que caractérisation ou des difficultés que peut éprouver un lecteur à comprendre le personnage qu’il lit aujourd’hui ?[/quote]
Un article de la Wikipedia française ?
Hahahahaha.
Et qui cite Gérard Courtial ?
HAHAHAHAHAHAHAHAHA
HAHAHAHAHAHAHAHAHA
HAHAHAHAHAHAHAHAHA
HAHAHAHAHAHAHAHAHA
HAHAHAHAHAHAHAHAHA
HAHAHAHAHAHAHAHAHA
HAHAHAHAHAHAHAHAHA
HAHAHAHAHAHAHAHAHA
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HAHAHAHAHAHAHAHAHA
HAHAHAHAHAHAHAHAHA
[quote=« artemus dada »]
Je ne comprends pas, tu parles de la complexité des personnages en tant que caractérisation ou des difficultés que peut éprouver un lecteur à comprendre le personnage qu’il lit aujourd’hui ?[/quote]
1ère[/quote]
Réponse pour le moins laconique, mais réponse avec laquelle je ne suis pas d’accord.
Peux-tu étayer ta réponse ?
Un gars qui a écrit un bouquin sur les super-héros, chez Bedesup, il y a presque trente ans. Si le bouquin comprend quelques idées intéressantes, il y a des appréciations réellement subjectives, pour ne pas dire contestables, des a priori marmoréens, et surtout un délire sur les statistiques et sur la géographie, qui rend l’ensemble assez peu… disons… crédible.
Le gros (le seul ?) mérite du bouquin est d’arriver des décennies avant les autres.
Ça s’intitule À la rencontre des Super-Héros et je ne le conseille qu’à titre d’amusante curiosité.
Courtial est, me semble-t-il, un artiste plasticien. Et c’est son approche essentielle, m’a-t-il semblé. Si bien qu’il s’intéresse à la forme plus qu’au fond, et assez peu à l’histoire du genre. Il est très sélectif, pour ne pas dire partial (je dirais pour ma part incomplet), et s’il a quelques fulgurances, elles sont noyées dans des avis à l’emporte-pièce, des imprécisions et des fixettes.