THE BLACK KNIGHT #1-5 (Terry Kavanagh / Sergio Ariño) + ONE-SHOT

Dans le tome un de « the golden age of Marvel Comics »,il y a un épisode de cet ancêtre.

Plus récement,j’ai découvert cet épisode en vf dans « deux trônes pour Red Sonya ».

C’est sans doute dans cet album que je l’ai lu pour la première fois.

Jim

THE BLACK KNIGHT #2

Written by: Terry Kavanagh.

Art by: Sergio Arino.

Covers by: Igor Vitorino, Jason Metcalf, Josh Burns, Ryan Pasibe.

Description: Peyton Parks learns the real reason that the man she’s defending turned on his criminal cohorts, and just how dangerous his enemies are. And the Black Knight discovers that the law is not on her side either, forcing her to make a decision that will change everything.

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: Dec. 5.

Source : www.comicscontinuum.com

Ho, merci Doc !

THE BLACK KNIGHT #3

Written by: Terry Kavanagh.

Art by: Sergio Arino.

Covers by: Geebo Vigonte, Ian Richardson, Keith Garvey, Riveiro.

Description: The Black Knight seems to succeed in rescuing Nikolai from the forces arrayed against him, but at what cost to Peyton Parks’ soul? Nikolai’s secret is revealed, and the true purpose behind Nadia’s attacks begins to come to light. The Knight and Nadia’s mutual enemies circle their wagons.

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: Jan. 2.

Source : www.comicscontinuum.com

Autre ancien de Marvel, Howard Mackie écrit aussi chez Zenescope en ce moment.

GRIMM TALES OF TERROR VOL. 4 #13

Written by Howard Mackie, art by TBD, covers by Eric J, Daniel Leister, Richard Ortiz.

« Black Dalia. » The Black Dahlia is one of the most famous unsolved crimes of the twentieth century. Some experts think she was murdered by a serial killer. Others think it was a crime of passion. As a modern day investigator digs deeper into the case she uncovers the sinister truth behind the case…and comes to wish she had headed the cryptic warnings to leave it alone.

32 pages, $3.99, in stores on March 13.

JASMINE: CROWN OF KINGS

Written by Howard Mackie, art by Deivis Goetten, cover by Ceci de la Cruz.

When a fiery explosion erupts in the ancient city of Petra, Jasmine races against the terrorist group The Forty Thieves to prevent the shattered pieces of the Crown of Kings, an object that haunts her past from being reunited and unleashing an unearthly power on the world and all that she holds dear. Collects Jasmine: Crown of Kings #1-5.

$19.99, in stores on March 13.

Et parmi les signatures de l’éditeur, il y a aussi Chuck Dixon.

VAN HELSING: SWORD OF HEAVEN #5

Written by Chuck Dixon, art by Julius Abrera, covers by Netho Diaz, Mike Lilly, Michael DiPascale, Jason Metcalf.

A prisoner of a mystic master of the dead, Liesel has no interest in escaping. Instead, she stalks the lair of a cursed prince to find the precious Sword of Heaven. This is the greatest challenge of the legendary vampire hunter’s life as she faces a threat that may take her mind long before it takes her life. Evil forces swirl about our heroine in this penultimate chapter of her greatest adventure!

32 pages, $3.99, in stores on March 6.

Mackie a fait la version de Ghost Rider des années 1990, et franchement, elle est pas mal. Il a signé de belles sagas, que l’atroce souvenir de sa prestation sur Spider-Man ne devrait pas occulter.
Et j’ai déjà dit tout le bien que je pensais de la production de Chuck Dixon.

Jim

Faut que je lise le #2, merci !

Terry Kavanagh continue sa mini-série sur cette Black Knight, dans un grand classicisme mais avec une forme d’efficacité.
Entendons-nous bien : l’auteur, déjà pas brillant dans les années 90 où il était aux commandes de séries Marvel, n’est pas beaucoup meilleur maintenant, même s’il semble s’être libéré des tics d’écriture passées. Bon, ça se laisse lire, c’est plutôt efficace, même si je ne suis pas forcément passionné par le fond de l’intrigue, à base de bisbille dans la mafia russe et d’une procédure judiciaire s’inspirant beaucoup de Law & Order.
L’héroïne de Kavanagh est ultra basique, mais efficace dans sa démarche. La lecture de l’ensemble rappelle des comics du passé, à l’ancienne, sans grande ambition mais avec efficacité. Ca tape, ça raconte un peu, ça tape, ça pose un peu, et ça finit sur un cliffhanger entendu, mais qui fonctionne dans sa globalité. Franchement, je préfère ce truc-là à la récente série/mini-série de Frank Tieri sur le Black Knight de Mavel, où le scénariste s’est perdu et a finalement plus parlé des Uncanny Avengers que de son héros.
Par cette mini-série très basique, mais qui assume son ambition limitée et s’acharne à raconter simplement une histoire simple, Terry Kavanagh tape plus juste. Sergio Arino livre des planches limitées également, où on sent qu’il n’est pas forcément très doué quand l’action est là, mais… l’ensemble se tient, c’est efficace et parfois joli.
Une « Ultimatisation » fort correcte du Black Knight ! Dommage que Marvel n’accueille pas cette histoire, qui aurait eu sa place chez eux.

Terry Kavanagh déroule sa saga, avec sérieux et efficacité.
Pas d’originalité, dans ce numéro, comme dans l’ensemble de la série : l’auteur alterne les phases d’action avec les phases de dialogue, pour l’héroïne Peyton dont l’identité secrète est menacée (autant par la sempiternelle journaliste curieuse que par quelques proches, qui se doutent de quelque chose) et pour ses ennemis, qui s’organisent. C’est efficace, ça se lit très bien, et l’ensemble a un goût de comics « à l’ancienne », qui n’est pas désagréable.
Ho, évidemment, il faut être honnête : je me contrefiche du fond de l’intrigue, terriblement banal, avec des mafieux complètement anonymes, et de vagues surhumains ainsi qu’une sorte de vieux secret, type malédiction. C’est absolument banal comme approche, mais ça ne me gêne pas - je ne viens pas chercher ici de l’originalité, en fait.
Je me surprends moi-même à apprécier cette mini-série car j’y retrouve une version Ultimate officieuse du personnage Black Knight de Marvel, que j’apprécie tant. L’héroïne Peyton a beaucoup d’aspects de Dane, ce côté « je ne sais pas ce qu’il m’arrive mais je fonce, on verra après, il y a urgence à bien faire et je suis la seule à pouvoir le faire ». Le choix d’en faire une avocate n’est pas bête, et l’ensemble se tient… hormis ce fichu costume, qui n’a franchement aucun sens.
Sergio Arino livre aussi un travail solide, efficace. Les combats manquent parfois de dynamisme, mais son rendu est vraiment très agréable, car très propre. Un parfum « à l’ancienne » se dégage aussi de son trait, et ça s’adapte très bien au script.
Voici une bonne saga, sans aucune originalité, mais avec ce qu’il faut d’atouts « old school » pour plaire !

THE BLACK KNIGHT #3

Written by: Terry Kavanagh.

Art by: Sergio Arino.

Covers by: Riveiro, Eman Casallos, Josh Burns, Robert Atkins.

Description: Finally, the Black Knight vs. Sirin-- and Sirin has tricks she hasn’t even revealed yet – to save an entire Russian mob family! And the truth about Nadia’s is bigger, and more horrific, than anyone imagined!

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: Jan. 30.

Source : www.comicscontinuum.com

Je trouve les pages intérieures plus intéressantes que les couvertures.

Les couvertures font « putaclic », pour attirer les acheteurs de Zenescope…

Oui, exactement. L’intérieur en devient une bonne surprise.

Exactement. :slight_smile:

Alors, c’est pas la première fois ces temps-ci que je vois utiliser le mot dans le (mauvais) contexte, mais « putaclic » ça réfère à quelque chose qui suppose d’inviter à « cliquer »… donc typiquement un titre d’article en ligne, de vidéo… Pour une couverture de comics, « putassier » marche très bien. Ou tout simplement « racoleur » si on veut rester poli.

Désolé, de temps en temps l’ex-prof en moi relève la tête. ^^

Et tu n’as pas tort. :slight_smile: Merci.

Avant-dernier épisode de la mini-série, et Terry Kavanagh accélère pour préparer le final. Les choses bougent beaucoup : les proches de Peyton découvrent son identité (même s’ils le savaient déjà, au fond) ; les Russes visés se font tous tuer ; Nik fait une erreur en voulant combattre ; et Sirin, la tueuse de l’étrange femme liée à une sorte de démon, fait des ravages.
Encore une fois, rien d’original ici : que ça soit dans la révélation de l’identité, les liens avec les proches (et notamment le mentor/père de substitution), l’ennemie surnaturelle, la Némésis qui tue l’éventuel intérêt amoureux… non, c’est déjà-vu, prévisible ; mais ce n’est pas désagréable. Kavanagh connaît son sujet, et reproduit fidèlement une formule toute prête - mais qui a fait ses preuves.
C’est agréable à lire. Ca s’oublie un peu vite, mais c’est agréable, « propre » et sérieux ; malgré l’absence complète d’originalité, et même de « vrai » talent dans le scénario (où tout est « juste » correct, en fait, ça ne brille jamais). Sergio Arino livre encore des planches solides, c’est pas forcément joli, ça manque un peu de dynamisme, mais ça fait le job, c’est correct également.
The Black Knight poursuit sur la même formule, avec le même résultat ; j’adhère, même si je sais aussi ce que j’y cherche… et ce que j’y trouve, en fait. A savoir un comics « à l’ancienne », où il est agréable de retrouver des choses déjà-vues et prévisibles dans ce domaine.

THE BLACK KNIGHT #5

Written by: Terry Kavanagh.

Art by: Sergio Arino.

Covers by: Ivan Nunes, Harvey Tolibao, Hedwin Zaldivar, Mike Mahle.

Description: Finally, the Black Knight vs. Sirin-- and Sirin has tricks she hasn’t even revealed yet – to save an entire Russian mob family! And the truth about Nadia’s is bigger, and more horrific, than anyone imagined!

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: March 13.

Source : www.comicscontinuum.com

Tellement putassier que ça fait sourire.