THE FLASH #1-88 (Joshua Williamson / collectif)

The two greatest detectives in the DC Universe take on the one cold case that will tear them apart!

As chief architect of the Sanctuary program that cost so much for so many, especially Wally West, Batman will be held accountable…by the Flash!

A cold case from the Justice League’s past has mysteriously re-opened, and Batman and the Flash–the only two heroes who stand a chance of cracking the case–are at each other’s throats! Our heroes must combat a demon from the past while burying their own inner demons in the process…and neither the World’s Greatest Detective nor the Fastest Man Alive will ever be the same again! But who is really pulling the strings here? And how does Gotham Girl fit into all this? Friendships will be tested and blood will be spilled in this titanic crossover event…

The Flash #65
Written by: Joshua Williamson
Art by: Rafa Sandoval
Inks by Jordi Tarragona
Colors by Tomeu Morey
Letters by Steve Wands
Cover by: Chris Burnham
Variant cover by: Michael Golden
Release Date : February 27, 2019

Source : www.adventuresinpoortaste.com

Bon ben c’était naze. La situation de Gotham Girl n’a pas changé entre le début et la fin de cette saga, tout cela semble bien vain et long. Les accusations d’Iris et de Barry envers Bruce me semblent sonner bien faux, il est « facile » de tout mettre sur son dos alors que Sanctuary ne vient pas que de lui, que le défaut ne vient pas de lui, et enfin que Flash War montrait bien que Wally allait mal.
Certes, cela donne une confrontation pertinente entre Batman et Flash, mais tout cela semble vain et long. La séparation entre Iris et Barry aura des répercussions, mais le reste… le reste est à oublier, tant Joshua Williamson se sera perdu sur une saga bien faible, où il a failli gâcher Gotham Girl. Rafa Sandoval livre de jolies planches, bien dynamiques, mais cela ne sauve pas l’ensemble ; idem pour le final, « teaser » de l’année des Vilains à venir.
Bref, à oublier, vite.

Franchement, il déçoit. Je lis actuellement son Flash en VF et impossible de m’installer en tant que lecteur. C’est décousu, ça saute de partout…

Pas fan du scénariste pour le moment.

perso, je suis Tom king, je tire la gueule.

J’ai bien aimé le T4 de Flash Rebirth, que j’ai chroniqué en tombant dessus ( Flash Rebirth Tome 4 : Barry Allen sortira-t-il indemne de sa descente aux enfers ? [avis] - Top Comics ).

THE FLASH #66

  • written by JOSHUA WILLIAMSON
  • art by SCOTT KOLINS
  • cover by RAFA SANDOVAL and JORDI TARRAGONA
  • variant cover by TIM SALE
  • James Jesse, the original Trickster and new crime lord of Central City, is taking over—and his plans for the city are his most diabolical ever. But how was he able to claim his throne, and where has he been for all these years? Learn all the answers in this issue that details each dastardly trick he’s pulled to get to the top!
  • ON SALE 03.13.19
  • $3.99 US | 32 PAGES
  • FC | RATED T
  • This issue will ship with two covers.

Source : www.cbr.com

Kollins, il est presque plus ancré à Flash que l’est Bagley à Spider-Man !

plus non, mais pas loin en dessous.

The flash #67

Published: March 27th, 2019
Writer: Joshua Williamson
Art: Scott Kolins
Cover: Jordi Tarragona, Rafa Sandoval
Variant Cover: Ryan Sook
The Flash is running himself ragged trying to learn about the new forces, but all it’s done is tear his life apart. Now that he’s back from his Force Quest and home in Central City, he finds that the city was just fine without him, better even! His home is crime-free, and it doesn’t need the Flash anymore! But where has Commander Cold gone? Barry races to find him and hopefully figure out what’s happened while he was away!

Source : www.screenrant.com

Un premier aperçu du #70, le premier chapitre de Flash Year One avec Howard Porter aux dessins :

Flash-70-Page-1-1

Flash-70-Page-2

Flash-70-Page-3

Source : www.cbr.com

Le dessin de Porter est bourré de faiblesses, mais il y a toujours une attention évidente à la narration, et dans des séquences comme celle que l’on voit ici, on voit qu’il cherche à creuser les possibilités du métier. C’est très agréable de constater un tel souci.

Jim

The Flash #69

Riot in Central City! Trickster has pulled out all the stops in his assault on Flash’s hometown, and the Scarlet Speedster is powerless to crack Trickster’s code! Our hero is faced with an impossible choice: save the people of Central City—or let the villain who caused it all escape to wreak havoc another day!

Written by: Joshua Williamson
Art by: Scott Kolins, Luis Guerrero
Cover by: Dan Mora
Variant cover by: Mitch Gerads

U.S. Price:
3.99
On Sale Date:
Apr 24 2019

Source : www.13thdimension.com

The Flash #70

STORY BY

Joshua Williamson

ART BY

Howard Porter

COVER BY

Howard Porter

PUBLISHER

DC Comics

« The Flash Year One » starts here! Barry Allen feels helpless in his life in Central City. As a forensic scientist, he’s always catching criminals after they’ve committed their crimes. All that changes one fateful night when Barry is struck by a bolt of lightning and doused in chemicals. When he wakes from a coma, he realizes he can run at incredible speeds. Can Barry master these powers and be the hero his city needs…or will the powers burn through him?

Source : www.cbr.com

J’aime bien ce que fait Joshua Williamson sur Flash. Je ne lis pas la série dès qu’un numéro sort, je picore un peu en VF quand je tombe sur un tome, ou en VO quand quelque chose m’intéresse ; comme Flash War, avant le #50. Ou ce Flash Year One, où le scénariste se lance dans le défi de raconter les origines du personnage… ce qui n’est pas une mauvaise chose, car si on a vu et revu celles de Batman, Superman ou Wonder Woman, je n’ai pas souvenir d’avoir réellement lu les premiers pas du Bolide.
Et si Williamson ne m’a pas convaincu sur Justice League Odyssey, il parvient encore à me convaincre sur Flash - et sur ce début d’origines, très bien réalisé.
Depuis longtemps, Barry incarne l’optimisme, le positif dans l’univers DC ; ce qui rend les rencontres avec Batman pertinentes, entre les « deux meilleurs détectives », si opposés. Mais là, Williamson montre un Barry avant l’éclair et… maussade. Sombre. Négatif, pessimiste même. Cela surprend, mais ça a du sens : après un premier passage sur Barry gamin, avec un sens de l’héroïsme aux alentours de ses dix ans et déjà une passion pour les comics, on fait un bond après… quand il est technicien de labo’, qui traîne la mort de sa mère et la « culpabilité » de son père comme des boulets dont il n’arrive pas à se débarrasser. Ca a du sens de décrire un Barry en plein mal-être à cette période, qui fuit les proches, même Iris, qui s’intéresse à lui. Le passage de l’éclair est bien traité, les tentatives d’entraînement sont funs - et c’est là où Williamson est malin, car on voit que Barry commence à s’amuser, en courant et découvrant ses pouvoirs ; il change. Son optimisme commence doucement à revenir, et c’est pertinent d’associer les pouvoirs à ce positivisme inhérent au personnage.
Bien évidemment, on a déjà un voyage temporel, qui va sûrement pousser Barry à devenir un héros ; mais c’est bien, car inhérent à la franchise. Le cliffhanger est bon, comme la caractérisation, les clins d’oeil, les premières apparitions. Tout ça a du sens, tout ça est cohérent mais aussi dynamique, malin ; pertinent. D’autant plus en sollicitant Howard Porter, tellement lié à Flash, et au style toujours aussi dynamique et cohérent avec le Bolide. Ce n’est pas forcément « beau », mais c’est bien fait et complètement adapté à Flash.
Un début d’origines plein de malice, de bonnes idées et de réussites, donc ; bravo Williamson, j’espère qu’il aura encore des idées pour la suite, car il livre ici de très bonnes choses !

J’ai pris l’exemplaire du 70 également. Comme toi, je fais le raccord avec la VF en cours.

70 épisodes qu’il écrit Flash, il doit pas être loin du record sur le titre, non?

Bref, sans trop me lâcher, à la première lecture, j’ai aimé pour maintes raisons. Howard Porter déja. Très en forme, les planches à 10/16 cases fonctionnent très bien. C’est fluide et agréable.

Mon petit coup coeur, c’est les premières scènes avec la Mère de Barry, lectrice de commics et notamment des aventures de Jay Garrick. J’imagine le lien émotionnel lorsque Jay reviendra (avec la longueur de Doomsday Clock, on ne sait jamais quand cela arrivera) et que Wally rencontrera la Héros de sa mère.

Enfin, dès qu’il s’agit de voyage temporel, je suis toute ouïe. Forcément, le cliffhanger m’a plu…

je prendrais la suite!

Mark Waid et Geoff Johns doivent encore être devant, au niveau de l’ancienneté.

Ils ont cassé l’horloge … du coup ça ne sort plus …
Déjà que l’on oublie très vite ce qu’il se passe d’un numéro à l’autre, le rythme de sorties est encore plus nocif à cette lecture que pour bien d’autres séries…

The-Flash-71-Cover

The Flash #71

(W) Joshua Williamson (A/CA) Howard Porter, HI-FI
« The Flash Year One » continues! Barry Allen struggles to control his powers as he experiments with his newfound abilities. When one of his tests lands him in a mess, he’ll come face to face with his first villains!
In Shops: May 22, 2019
SRP: $3.99

The-Flash-71-Page-1

Source : www.multiversitycomics.com

Suite de Flash Year One, sur les mêmes bases que la première partie… un récit malin, agréable et référencé, bien illustré. Que demander de plus ?
Barry a couru trop vite, et est dans le futur ; où il rencontre un vieux Flash, dans une Central City dominée par Turtle. Des échanges suivent, Old Flash s’amuse de la situation mais est surpris par le pessimisme de Barry, qui rentre chez lui. Mais semble soudain animé par de nouvelles intentions… avant une bouffée d’héroïsme bienvenue, mais aussi une prise de conscience envers Iris.
Du très classique, donc, mais très efficace. La rencontre entre les deux Barry est une bonne idée, car Joshua Williamson (qui a déjà fait intervenir Old Flash quelques fois, et j’aime bien ; autant le caractère, doux et positif en mode vieux sage, que le design, plutôt cool) réussit un bon dialogue entre eux. Les fans sauront comprendre les clins d’oeil, mais ça fera surtout évoluer Barry par l’exemple… et permet de le confronter à lui-même, à la meilleure version de lui-même. Malin. Tout comme le retour, et la bouffée d’héroïsme assez logique… mais agréable et bien pensée, car Barry n’y est pas pro-actif, on sent qu’il est « poussé » à agir. Mais c’est une avancée, et la route vers Flash est encore longue.
En parallèle, Howard Porter continue à livrer ses planches habituelles - dont je suis fan, même dans son « nouveau » style, loin de celui d’il y a vingt ans. Il est associé à jamais à Flash, mais il demeure surtout très efficace et dynamique. Ses planches sont nerveuses, tranchées, et ça fonctionne très bien avec le Speedster… et avec cette saga, car il croque un très bon Barry débutant, mais aussi un Old Flash tout sourire et puissant.
Une très agréable lecture, et une bonne gestion des origines. Vivement la suite !

The Flash #72

(W) Joshua Williamson (A/CA) Howard Porter, HI-FI
« The Flash Year One » continues! Things are not looking pretty for the Flash, who just got his scarlet butt handed to him by the Turtle. If Barry Allen thought being a hero was going to be easy, he’d better think again after this beating–but will it be enough to detour his destiny?
RATED T
In Shops: June 12

Source : www.dccomics.com

Suite de Flash Year One, avec Barry qui découvre les avantages de la super-vitesse… mais aussi les inconvénients d’un comportement héroïque. Et Joshua Williamson maîtrise toujours aussi bien.
En effet, Barry va au-delà de ses doutes et de son manque de confiance et de positivisme pour lutter contre Turtle, qu’il a vu être un abominable tyran dans le futur ; il l’arrête, et prend goût à l’idée d’être un héros, d’aider les gens. Il parvient enfin à concilier toutes ses occupations avec le temps alloué dans une journée, et le sombre technicien de laboratoire parvient à gérer son travail, mais aussi à nouer des amitiés et lancer une relation sentimentale avec Iris grâce à ses pouvoirs. Barry arrive enfin à sourire, à avoir un avis positif sur le futur, mais… l’enquête d’Iris la met en danger, la fait rencontrer le futur Captain Cold, et un de ses associés tire sur elle ! Barry la sauve, arrête tout le monde mais rentre chez lui… blessé par balles.
Un numéro simple mais efficace. Joshua Williamson a montré dans le premier numéro de la saga un Barry sombre et négatif, il a montré ensuite le « choc » du changement dans le voyage temporel avec la rencontre avec Old Barry, et maintenant explore les débuts grisants du héros. Et c’est autant agréable de retrouver ce Barry positif et sympathique, que de découvrir comment il en est arrivé là. L’auteur maîtrise définitivement son personnage, et son récit fonctionne très bien, étant autant dynamique que fluide.
En parallèle, Howard Porter déroule une prestation ultra-maîtrisée sur le personnage ; on sait ce qu’on aura avec lui, et j’en suis ravi. Une bonne petite saga, qui permet de bien expliquer des débuts assez flous, et qui caractérise parfaitement ce héros positif malgré les drames subis. Allez, la suite !