Bon, difficile de faire aussi bien que le précédent, formidable exercice de style.
Jeremy Adams ne s’y essaye pas, et livre un épisode classique mais efficace. On suit autant Wally, perdu dags Gemworld avec plusieurs mystiques, acharnés à lutter contre Eclipso ; que ses enfants. Et notamment Jai, qui n’a plus ses pouvoirs et qui jalouse Irey, qui en a encore. Jai écrit beaucoup dans un journal, alors qu’Irey s’acoquine avec Maxine Baker, fille de Buddy, qui la pousse aux bêtises. Et si Wally trouve la raison de la fixation d’Eclipso sur Gemworld, car il veut utiliser lesdites gemmes comme antennes pour ses pouvoirs, Irey et Maxine sortent après le couvre-feu et vont s’attirer des ennuis.
Et ça se lit bien, oui. C’est moins fort, moins épatant que le précédent, mais l’ensemble fonctionne. Je continue de tiquer sur l’humour trop neuneu de Wally, mais bon je m’y fais… doucement. J’apprécie que Jeremy Adams s’occupe des personnages secondaires, de la famille, et la lecture est dynamique, vraiment agréable.
Fernando Pasarin livre des planches certes figées, ce qui est dommage pour un Speedster, mais détaillées et j’apprécie grandement son style.
La série continue de me plaire !