Je crois que c’est en haut de la page générale qui présente toutes les sous-catégories. J’ai eu une grosse période de boulot au printemps, où je n’avais pas le temps de suivre, et le chiffre augmentait de jour en jour. Mais je ne crois pas avoir dépassé les 300 sujets non lus.
Tu peux le voir autrement, aussi :
Quand tu vas tout en bas d’un sujet, ça t’en propose cinq autres et, en-dessous, tu as une ligne qui dit " Il reste XX sujets non lus et YY nouveaux sujets, ou vous pouvez aussi consulter les autres sujets dans [la catégorie en cours]".
Mais peut-être nemo parlait-il du nombre de messages sur la discussion de Regulator (edit : Ah, ben non : elle n’a que 43 messages) ?
Je ne me souviens pas de ce que ça me mettait la dernière fois que j’en avais énormément… En revanche, je suis à peu près certain que le compteur de notification (au niveau de l’avatar en haut à droite de l’affichage) plafonne à 99.
Soyouz va bientôt découvrir qu il a plus de message de retard que moi et que comme pour ses bd en retard, il intervient sur des dicussions d il y a plusieurs années en fait.
Introducing Dr. Nightmare! Bad dreams come to life and lead to chaos on the streets of Central City on the same night the Fastest Man Alive attends a daddy/daughter dance. Side-by-side with his super-powered daughter, Wally must not slow down, or they risk falling victim to the man named Dr. Nightmare.
Mignon.
Jeremy Adams livre ici un épisode unique, une rareté ô combien appréciable dans l’ensemble des story-arcs calibrés pour faire des TPB.
Ici, on a Wally qui doit emmener sa fille Irey à un bal père/fille, et qui déjà se crispe légèrement en voyant Irey grandir « si vite ». Cependant, alors qu’ils arrivent à l’école, tout le monde est endormi… car le « Dr Nightmare » a envoyé un gaz endormant dans la ville, pour pouvoir attaquer les locaux de Holt Industries. « Dr Nightmare » a en effet été viré car il voulait tester sa machine sur les humains, une machine qui transforme les rêves en réalité. Il utilise ainsi des cauchemars de ceux qu’il croise pour agir, alors que Wally et Irey ne dorment pas grâce à leurs métabolismes ; mais ils ont perdu leurs pouvoirs.
Irey se révèle courageuse et déterminée, elle ose même mettre le casque de la machine pour créer des soutiens à Wally contre Dr Nightmare. Le super-vilain est vaincu, les pouvoirs reviennent, le père et la fille vont danser à Paris et partagent un beau moment, alors que l’élément spatial vu précédemment s’écrase et est un mystérieux glaive.
C’est mignon, oui. Cet épisode peut clairement crisper ceux qui verront en Irey une gamine bien trop « grande » pour son âge (un peu indéterminé, d’ailleurs), trop courageuse, trop impliquée. Et Wally est un peu trop secondaire, passif.
Mais il y a ici une fougue, une fraîcheur, une douceur, une innocence même qui sont très agréables à parcourir. Le duo père/fille est touchant, le Dr Nightmare est rigolo, et l’ensemble est très mignon. J’ai été pris, je reconnais les failles mais le sentiment général l’emporte.
Christian Duce propose des planches efficaces, un peu figées mais qui font le job. Je n’en demande pas plus.
Je reste content de cette série, sûrement pas « formidable » mais qui a à coeur de bien traiter ses personnages, avec un Jeremy Adams qui aime clairement les West. Quel plaisir.
Hunt for the glaive! When a mysterious glaive crash-lands in the middle of Central City, the Flash must race against time to stop its ill effects, all while keeping an army of super-villains from obtaining this unknown and sinister cosmic prize.
Cette reprise continue à me plaire, beaucoup !
Jeremy Adams propose encore un épisode dense, où il se passe beaucoup de choses. Le fameux et mystérieux glaive cosmique est planté dans Keystone City, et même Superman n’arrive pas à le déloger. Clark et Mr Terrific sont secs avec Wally, mais aussi Linda et ses collègues au boulot sont rudes et s’engueulent. Toute la ville, en fait, s’emporte et montre sa colère, alors que plusieurs super-vilains veulent s’emparer du glaive.
Wally les repousse, mais Starbreaker, le vampire cosmique, arrive mais se fait posséder par le glaive, a priori une prison. Le prisonnier est libéré, responsable de cette colère générale car il appelait une entité pouvant le contenir. Il s’enfuit avec le corps de son hôte involontaire, Wally discute avec une Linda gênée mais est happé par Dr Fate, qui a besoin de lui pour sauver le monde.
C’est assez cool, en fait. Jeremy Adams s’évertue à proposer des récits assez rapides, denses, avec beaucoup d’événements, et c’est agréable. J’aime bien les petits subplots, le passage de plusieurs personnages. Le job de Wally chez Mr Terrific est intéressant, et l’ensemble est fluide et dynamique.
Je suis juste un peu gêné par ce Wally « clown », qui me rappelle beaucoup la version de Justice League TAS puis JLU. C’est sympa’, hein, et rigolo, mais ça n’est pas « mon Wally », car je le trouve trop déconnant et délirant dans son approche. M’enfin, ça reste quand même solide, et mieux vaut ça que Heroes in Crisis.
Fernando Pasarin n’a pas un trait dynamique, mais ses planches sont efficaces, et j’aime beaucoup son style. Je suis content de le retrouver ici.
Doctor Fate arrives to whisk the Flash away to the IN-BETWEEN, a two-dimensional causeway filled with demonic forces. Now it’s up to YOU, the reader, to help the Scarlet Speedster make his way through the dangerous dimension toward his final destination and the beginning of a brand-new adventure!