Long métrage américain
Genre : biopic/comédie musicale
Année de production : 2017
SYNOPSIS
L’évocation de la vie du showman P.T. Barnum, de la création du cirque qui l’a rendu célèbre à son penchant pour la mystification du public, en passant par son engouement pour la chanteuse Jenny Lind.
Le staff (hormis les acteurs et actrices ) ne m’inspirent pas. Les images et les passages chantés non plus ( malgré le parolier de La La Land, comme quoi ). Merde, parce que le sujet peut être passionnant. Mais si c’est pour voir un Moulin rouge du très pauvre…J’irai me faire un avis par contre, on n’est jamais à l’abri d’un bon film et puis ça me poussera peut-être à me pencher sur le sujet à travers livres et recherches.
Le projet The Greatest Showman ne me tentait pas sur le papier. Des adaptations (très) édulcorées de la vie d’une personnalité, le cinéma en regorge, mais faire une ode à la tolérance à partir de la vie de P.T. Barnum, il fallait oser. Mais finalement, je me suis laissé emporter dès les premières notes de musique. C’est l’idée (peut-être faussée) que je me fais d’un spectacle de Broadway…exubérant, coloré, un peu kitsch, dégoulinant de bons sentiments. Je comprends que les critiques aient été aussi partagées, mais l’énergie et l’enthousiasme des comédiens m’ont ravi, Hugh Jackman en tête, lui qui est vraiment « The Greatest Showman ». Un spectacle aussi vivifiant que bourré de défauts…
