THE GREEN LANTERN - SEASON TWO #1-12 (Grant Morrison / Liam Sharp)

Hal Jordan’s future as a Green Lantern is threatened when the Young Guardians’ plans to restructure the Corps move into high gear. What’s a guy to do but take a vacation? But when Jordan arrives on the swords-and-sorcery world of Athmoora for some R&R, he comes face to face with the biggest threat the universe has ever known-and a coalition of foes determined to bring his career and his story to its apocalyptic end! You cannot miss the game-changing two-part finale of Morrison and Sharp’s epic run…

Written by: Grant Morrison
Art by: Liam Sharp

U.S. Price:
3.99
On Sale Date:
Feb 9 2021

Liam Sharp aura quand même toujours rendu des épisodes impressionnantes. Je n’adhère pas forcément à tout son style sur la deuxième saison, mais le trait est travaillé, les ambiances sont bonnes, même si la narration est souvent complexe. L’action se « perd » souvent dans des décors impressionnants, mais ça reste épatant comme sur ce #11.
Oh, et le scénario ? J’ai survolé. Ca ne m’intéresse pas, je trouve ça essentiellement naze, et le cliffhanger évoque un super-vilain que je trouve pathétique.
Vivement la fin.

It’s Hal Jordan vs. Hector Hammond, and our Emerald Knight will need to summon all of his willpower to face down the psionic madman. Check out Grant Morrison and Liam Sharp’s grand finale more than two years in the making! This tale touches on every plot thread from the entire run, and it’s fully charged with fantasy, sci-fi, and Green Lantern lore. Say it with us now, “In Brightest Day, In Blackest Night…”

The Green Lantern Season Two (2020-2021) #12

Written by Grant Morrison
Pencils Liam Sharp
Inks Liam Sharp
Colored by Liam Sharp
Cover by Liam Sharp
Release Date: March 9, 2021

Et ainsi se conclue le run de Grant Morrison et Liam Sharp, dans un numéro qui rassemble tous les ennemis de Hal réunis par Hector Hammond pour une mêlée générale.
C’est confus, inutilement complexe, souvent lourd, mais je ne peux m’empêcher d’être impressionné par la dernière image, sublime de puissance et de poésie spatiale par Liam Sharp. Ce dernier a été impérial tout du long, même si son style s’est peu à peu dévié vers des productions comme 2000 A.D. ou d’autres, et je n’aime pas vraiment.

Je reste très déçu de cette deuxième saison, inutilement verbeuse et compliquée.
Longtemps, Grant Morrison s’en est « pris » à Alan Moore, comme concurrent et pour le « dépasser ». Je remarque ici que l’Ecossais rejoint l’Anglais sur un point : à force de vouloir entrer trop de narration stylisée, trop de références obscures, il me perd et coupe tout mon intérêt.
Dommage.

N etait ce pas l idée dès le départ ?

Pas dans la première saison, en tout cas.