THE IMMORTAL HULK #1-50 (Al Ewing / Joe Bennett)

THE IMMORTAL HULK #14

Written by: Al Ewing.

Art by: Kyle Hotz.

Covers by: Alex Ross, Chris Stevens.

Description: Betty Ross is going through a lot. She’s having a family crisis. Her employers won’t pick up the phone. And at her door is the husband she thought was dead. But Bruce Banner hasn’t come alone. He’s brought the Immortal Hulk.

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: Feb. 6.

Source : www.comicscontinuum.com

Boum… quand notre cœur fait boum… tout avec lui dit boum… quand notre cœur fait boum-boum…

boom

J’avais un peu peur de me lancer ici. Parce que Al Ewing a livré treize épisodes sublimes et superbes, parce qu’il a fini sa première grosse saga, parce qu’il devait donc enchaîner, parce que Kyle Hotz (que j’aime bien) prend la suite de Joe Bennett (que j’adore, et qui a un style différent)… bref, j’avais un peu peur que la magie s’évapore.
Heureusement, non.
A nouveau, Al Ewing démontre sa grande maîtrise, tant du scénario que des personnages ; de ces personnages, qui deviennent les siens. D’abord avec un jeu finalement très malin sur un enterrement imprévu, où je me suis fait berner sur l’identité de la personne concernée (j’ignorais sa disparition, d’ailleurs). Ensuite par une maîtrise complète de Betty Ross, qui n’a jamais semblé aussi bien écrite qu’ici depuis des années. Enfin par une analyse fine de la psychologie des personnages (de Betty, de Bruce même, qui n’est pas forcément un mec « bien », d’ailleurs), puis un dynamisme constant malgré un épisode assez « posé ».
L’événement phare du numéro n’est même pas un cliffhanger, le rebondissement choisi étant même plutôt bon et fort cohérent, pour les personnages et la franchise. Ca fonctionne vraiment bien, Ewing gère parfaitement tout ça, et la transition dans cette nouvelle saga est idéale.
Quelle réussite. Kyle Hotz est très bon, j’ai toujours bien aimé son style, mais son « extrémisme » dans certaines proportions est cohérent avec certains propos.
Encore un grand moment !

Dr. Leonard Samson is a gamma mutate and part-time super hero who recently came back from the dead. He’s been wanting to discuss that with an old patient of his… But he’s not here to see Bruce Banner. Take a seat on the couch, IMMORTAL HULK. It’s going to be quite a session.

Written by Al Ewing
Art by Joe Bennett
Cover by Alex Ross
Page Count 22 Pages
Release Date March 20 2019

Source : www.cbr.com

Toujours aussi bien. Toujours aussi beau. Toujours aussi pertinent. Toujours aussi surprenant.
Bon. Voilà. Dois-je vraiment encore vanter les mérites de ce titre ? Je ne l’espère pas, mais il est quand même fort agréable de parler de ses lectures préférées.
Ici, on a d’abord un focus sur la résurrection de Doc Samson, un léger combat, mais aussi une révélation sur « quel » Hulk est véritablement celui qui apparaît depuis le début. Avant des explications sur son projet, et surtout un cliffhanger prévisible mais qui touche, et fonctionne.
Al Ewing démontre encore son talent, son intelligence, mais aussi ici sa connaissance de la continuité. La très bonne gestion de l’historique de Doc Samson le prouve, mais également l’idée derrière l’Immortal Hulk, une version déjà entrevue dans le run de Jenkins ; qui n’est pas jeune. Le tout paraît simple, d’une très grande cohérence, et tous les rebondissements sont fluides et intelligents.
Un numéro plus calme, malgré la fureur du début, mais riche en idées et révélations ; on en apprend plus, on avance même alors que les deux personnages parlent beaucoup. Joe Bennett revient, c’est un plaisir immense de le retrouver tant il assure, et tant il est pleinement associé à la série et à sa réussite.
Quel magnifique duo il forme avec Al Ewing ; vivement la suite.

J’ai adoré le premier tome V.F. Content de voir que la qualité est toujours au rendez-vous après cet excellent début…

J’ai pas vraiment compris d’ailleurs. J’ai pas cherché non plus. Il parle d’une manifestation du père comme on a pu le voir un peu plus tôt dans cette série ou c’est simplement une nouvelle manifestation qu’on a peut être déjà vue ?

Pour moi, Immortal Hulk est le Devil Hulk qu’on voyait chez Jenkins, la Bête enfermée, le pire du pire. Devil Hulk se considère comme un « père », mais c’est plus une figure paternelle extrême, la virilité, le machisme, la puissance, etc.

IMMORTAL HULK #16

(W) Al Ewing (A) Joe Bennett (CA) Alex Ross

• Once upon a time, Rick Jones was the Hulk’s best friend. Now Rick Jones is dead…and gone.
• To learn why, Bruce Banner will have to face roaming gamma experiments, an assassin out for his blood…
• …and the one thing that can cage the IMMORTAL HULK.
Rated T+

In Shops: Apr 03, 2019

SRP: $3.99

Source : www.cbr.com

Oulala, quel final. Al Ewing livre une nouvelle fois un numéro brillant, dense et puissant, mais qui se finit sur un cliffhanger « classique » dans l’idée, mais terriblement bien vu et porteur.
Après avoir analysé les conséquences des événements précédents, Al Ewing livre quelques réponses, en préparant la suite. Rick Jones ne s’est pas relevé de la Mort, mais ça pourrait venir ; Betty n’est pas vraiment redevenue Red She-Hulk ; et Hulk n’est clairement pas une version « habituelle », il est bien plus malin, en plus d’être sadique. L’ensemble fonctionne très bien, la narration via la biographie de Rick est parfaite, l’enquête de la journaliste reprend admirablement.
C’est parfait ; c’est vraiment parfait, car Ewing joue autant sur l’ambiance de conspiration propre à la franchise depuis la série TV et le run de Bruce Jones, que sur tout le reste du background de Hulk. Ce titre est un tour de force, parfaitement exécuté, et surtout idéalement dessiné par un Joe Bennett encore en pleine osmose et en réussite totale dans ses planches.
C’est beau. C’est sombre. C’est puissant. C’est brillant.
C’est Immortal Hulk.

J’aurais p’tet du le lire avant de le transmettre…

Le transmettre ?

Ça doit vouloir dire un truc dans sa rue. Mais pas en France.

Jim

P’têt.
Bon, beaucoup considèrent aussi que ma région n’est pas la France, non plus. Mais je ne comprends quand même pas. :smiley:

Non ça veut dire que je l’ai reçu (en VF) et que je l’ai transmis à quelqu’un de suite.

Soit transmettre : Faire passer un objet à quelqu’un, lui faire une passe. Ex : Ailier qui transmet le ballon à l’avant-centre.

:thinking:

Fake !
Un ailier ne passe pas à l’avant-centre, il tente de marquer lui-même ! (et échoue régulièrement)

Et c’est donc la preuve que sa définition de « transmettre » est mensongère aussi. Il a failli nous avoir.

Il a essayé de nous transmettre un mensonge ?

Zut j’ai failli réussir :smirk: