Quand il part dans l espace ?
Le swampthing de Moore dans l oeuvre de Moore est le seul run véritablement « à suivre » dans sa structure, Moore qui considerait que l absence de fin etait un defaut du genre.
Mais même en le pensant, cela ne l empecha pas avec swampthing d en demontrer tout le potentiel.
1ère mort = dès le premier numéro (débouchant sur la leçon d’anatomie)
2ème mort = juste avant l’entrée en scène de John Constantine
3ème mort = l’odyssée spatiale en effet
Bien vu
Conformément à la « prophétie ».
Fun Fact : Immortal Thor could reach its 50th/final issue (LGY : #811) during the same month (august 2027) that’s also the period when Al Ewing turns 50 (born august 12, 1977).
Ça veut dire que Al Ewing va mourir ?
Ce dur rappel à la réalité et au temps qui passe.
Monde de merde.
Il a pas le droit, en tout cas pas avant d’avoir produit un run sur les FF (même s’ils sont entre de bonnes mains actuellement avec North).
Oh oui
(W) Al Ewing (A) Jan Bazaldua (CA) Alex Ross
THE EXECUTIONER RETURNS! AND THANOS AWAITS…
• The Odinson stood at a gate in a dark wood. In front of the gate stood Skurge the Executioner, bloodaxe in hand, waiting for the final battle between them.
• And if Thor won the combat, then behind that same gate stood Utgardhall, and the final death that awaited him - the death he fought for.
• This is the story of the IMMORTAL THOR…and the door into darkness.
RATED T+
In Shops: Mar 05, 2025
SRP: $4.99
Intense. Al Ewing est très fort dans de beaux et puissants portraits de Thor et Skurge, en faisant avancer diablement sa saga. Skurge a eu des visions et cauchemars au Valhalla, après plusieurs allers retours chez les vivants après son sacrifice en « prenant » la Mort de Thor. Il comprend que Thor va bientôt revivre un moment de Mort épique, et donc le priver pleinement de cette réussite. Il consulte Odin au Valhalla, qui le renvoie et Skurge confronte Thor devant la grille menant à Utgardhall avec une nouvelle Bloodaxe, prêt à périr par Thor ou la hache. « Thanos » est derrière la grille, mais c’est l’incarnation de la Mort aux yeux de l’inconscient de Thor, qui le tente et le provoque. Finalement, Thor épouse ses peurs, parle directement à Skurge et lui donne même Mjolnir en le considérant digne. Il demande à Skurge de le suivre à Urgardhall, pour une quête épique. Skurge accepte, la réalité change et la case se rapetisse pour les enfermer… car ils sont déjà à destination et dans les mains de Utgard-Loki !
C’est fort et puissant et bien. Al Ewing s’empare du personnage de Skurge pour livrer une super confrontation avec Thor. L’exécuteur reprend une grande aura dans sa démarche nihiliste (car Odin lui annonce une disparition définitive s’il meurt encore), et l’échange fonctionne complètement. La discussion intense avec « Thanos » est aussi forte, avec un formidable jeu d’écriture BD sur la fin. Jan Bazaldua fait au mieux et s’en sort correctement aux dessins, et fait même de sérieux efforts et progrès.
Puissant et intense.
(W) Al Ewing (A) Jan Bazaldua (CA) Alex Ross
LOST IN UTGARD!• Thor had made his way to Utgard - and there waited the Utgard-Loki, who the Odinson had never yet defeated.
• And with the Elder Trickster stood his pantheon…beginning with NRGL, Lord of Murder-in-Darkness. He who was his own place of power.
• This is the story of the IMMORTAL THOR…and the Unforgiving City.RATED T+
In Shops: Apr 02, 2025
SRP: $4.99
Quoi, je suis plus vieux que lui ???
Breevoort va bienôt gérer le pan cosmique.
D’où le retour de Lilandra.
Maiheu
Intense. Al Ewing plonge Thor et Skurge en plein Utgard, avec Utgard-Loki qui manipule tout et tous en parlant au lecteur du symbole de la pièce et évoque NRGL, Seigneur du Meurtre dans l’ombre. Thor et Skurge se retrouvent, se perdent dans le labyrinthe de la ville et retrouvent Hermod, que l’on croyait perdu dans le Néant. Celui-ci évoque la présence ici de Heimdall, repousse les remarques de Skurge et tous foncent en repoussant des troupes de pierres. Jusqu’à arriver devant NRGL, sous le regard moqueur de Utgard-Loki…
C’est intense, oui. Al Ewing joue sur plusieurs tableaux, évoque des éléments métaphysiques mais équilibre son récit avec de la bagarre bien menée et un Thor perdu mais volontaire et réaliste sur lui-même. C’est fluide et prenant, avec un Jan Bazaldua correct et impliqué, ce qui compense un style moyen.
Un scénario puissant et une grosse envie de lire la suite.
Il a lire avec une pièce, pour orienter l’histoire avec pile ou face.
À la manière (ludique) de la mini série You Are Deadpool du même Ewing ?
Une.
Ah merci, j’hésitais !
