Quentin Coldwater est un adolescent brillant qui a l’impression d’être prisonnier dans un monde ennuyeux. Il regrette alors cette période de son enfance durant laquelle les « Chroniques de Fillory » l’entraînaient dans un univers magique. Sa vie est chamboulée lorsqu’il découvre que la magie existe vraiment et qu’il est admis à la faculté de Brakebills, une école extrêmement élitiste et secrète qui forme des magiciens. Cinq années d’apprentissage difficiles et parsemées d’épreuves commencent pour le jeune homme…
L’adaptation du roman Les Magiciens de Lev Grossman (en France chez L’Atalante).
[quote]CREATEURS
John McNamara et Sera Gamble
DISTRIBUTION
Jason Ralph, Stella Maeve, Hale Appleman, Arjun Gupta…
INFOS
Série américaine
Genre : fantastique
Diffusion : début 2016 sur SyFy
Format : 12 x 42 mn[/quote]
Le héros à une coupe à la con, vraiment c’est horrible, ça lui fait une tête de con. On est sur du Harry Potter pour ado/adulescent. Pour une série TV c’est pas mal en tout cas plus vite que le potier. Je vais enchaîner avec le #2 ce soir.
La saison 1 est sympathique malgré de grosses longueur, mais j’apprécie le fait que tout commence comme du Harry Potter pour finir en truc glauque et sordide, j’ai commencé la saison 2, mais j’arrive pas à suivre je ferais donc en un bloc c’est comme ça que j’y arrive.
Oui, The Magicians a un rythme particulier. Mais j’apprécie, ça participe à l’ambiance de cette version dépravée de Harry Potter et du Monde de Narnia. Il y a des passages légers, un humour décalé…et d’un seul coup, on peut en effet retomber dans des choses beaucoup plus glauques. La série réussit bien cet équilibre. Je viens de commencer la saison 2 sur SyFy et je suis intrigué par la quête (ou plutôt les quêtes puisque Julia poursuit toujours son propre chemin dangereux) entreprise par les personnages…
L’épisode 3 m’a bien surpris, je ne m’attendais pas à ce que cet affrontement arrive si tôt dans la saison et surtout à ce qu’il se termine de cette façon. Le suivant passe constamment de moments complètement farfelus (la forêt qui fait planer, l’expérience sexuelle étrange d’Elliott…) à des ambiances beaucoup plus sombres (les retrouvailles avec Kady). Et ça se termine sur une scène d’une grande tristesse. Une palette d’émotions très large pour un bon début de saison…
Non par contre j’aimerais bien que tu te bouges les fesses et recommence à faire des chros voir même dans l’idéal a ce que l’on se voit, se skype pour que je te montre comment le nouveau site fonctionne
L’épisode 5 est une exploration de la perte, de la douleur et du vide. Penny se sent incomplet parce qu’il n’a pas encore retrouvé la maîtrise totale de sa magie, Quentin est hanté (et pas que par sa profonde tristesse et ses souvenirs) et la situation de Julia ne fait que se compliquer encore plus.
Et dans cet épisode et le suivant, les intrigues de cour de Fillory sont de plus en plus savoureuses (La Vallée des Penhis ? J’adore cette dimension…). The Magicians navigue toujours entre humour, drame et horreur; moments calmes et poétiques, délirants et sordides…
Fini la saison 2…une deuxième année qui n’a absolument pas ménagé ses personnages, dont les relations n’ont pas arrêté d’évoluer au gré des nombreuses péripéties, et qui se termine sur une situation inattendue, représentée par une trouvaille visuelle aussi simple qu’ingénieuse. Parmi mes moments préférés, il y a eu notamment la déclaration de guerre entre Fillory et le royaume de Loria, qui commence en comédie musicale (c’est presque un passage obligé, beaucoup de séries en ont, et là c’est sacrément bien fait) avant de se terminer en un croustillant duel.
Et des scènes étonnantes comme celle-là, The Magicians n’en manque pas. J’en serai donc pour la 3ème saison…
