Après une anecdote amusante qui s’est conclue sur Marvel refusant l’accès aux bureaux à Kaare Andrews pour raison de sécurité, l’artiste a réalisé sans amertume qu’il n’était qu’un simple visiteur et que rien ne lui appartenait à la Maison des Idées (malgré ses 16 ans à travailler pour la boite).
C’est ainsi qu’est né The One % qui raconte l’histoire de Renato Jones, le mystérieux « Justicier de luxe » qui se cache parmi les riches pour leur faire « payer » l’addition. Comme pour Iron Fist: The Living Weapon, le titre sera écrit, illustré, encré et colorisé par l’artiste.
Aucune date de sortie n’a été annoncée pour le moment.
[quote]« I was just in New York, after I finished ‹ Iron Fist: The Living Weapon › #12, and my editor took me out to dinner, » Andrews said, revealing that he thought the dinner was to celebrate him writing, drawing, inking and coloring all twelve issues of the martial arts superhero’s series. Following dinner, his editor informed him that « Marvel is happy to pay for your dinner, but if you want a drink, you’ll have to pay for it yourself. » When he later asked if he could drop in at the Marvel offices while he was in town, Andrews said he was told that Marvel doesn’t « let visitors up any more » for « you know, security reasons. » Andrews’ responded to that with, « But I’ve been working for Marvel for 16 years! »
« I love the people at Marvel, » Andrews continued. « I would put my life on the line for them, and I love those characters. But as I had that dinner, I had a clear view of the landscape. I don’t get benefits from Marvel, I don’t get overtime, I don’t get vacations. I don’t work for Marvel Comics – I’m a visitor, and I’ve been visiting for 16 years. I work for myself. » [/quote]
J’avais pas lu l’anecdote, c’est plutôt bizarre comme situation.
Enfin, je serais surement sur le coup quand sortira ***Renato Jones … ***; j’aime bien Kaare, il fait de belles choses, il pense et utilise les possibilités de la BD à fond (ou du moins il essaie).
Ouais j’aime bien ce qu’il fait.
Il n’y a pas à dire, quand l’artiste Kaare Andrews vend un projet, il n’y va pas de main morte. C’est en tout cas ce que souligne la campagne publicitaire diffusée aujourd’hui pour promouvoir sa nouvelle série Renato Jones : The One%.
Je l’ai trouve un peu gros sabots sur son « Iron Fist », le père Andrews (même si j’ai bien aimé dans le genre petit plaisir coupable). Alors sur un sujet un peu plus subtil à traiter…
en partie oui et sur certains autres il l est…
Avec le 1er tome je pensais comme toi mais dans le deuxieme, il l etait beaucoup plus (y compris l histoire du mecha qui renvoie quand même a une mini des 90’s)…
Story by
Kaare Andrews
Art by
Kaare Andrews
Cover by
Kaare Andrews
Publisher
Image Comics
Cover Price:
$3.99
Release Date
May 4th, 2016
Special double-sized first issue! The One% own more than half the world’s wealth. They’ve crashed economies, bought governments, and have amassed more power than any other group in history. And they still don’t have enough. With this kind of power how can anyone make them pay? WHO will make them pay? Enter Renato Jones, a mysterious vigilante, out to even the score. And when he enters the fray THE SUPER-RICH ARE SUPER F***ED. From acclaimed creator KAARE KYLE ANDREWS (Iron Fist: The Living Weapon, Spider-Man: Reign) comes a supercharged capitalist action thriller for a post-Great Recession world.
[/quote]
Description: At the height of slavery, only 1% of America actually owned slaves… sound familiar? As Class War explodes across the city, Renato Jones finds himself with more at stake than he ever counted on.
Pour promouvoir la sortie du premier recueil de Renato Jones: The One %, l’artiste et créateur Kaare Andrews a décidé de diffuser l’intégralité du second numéro sur son compte twitter (le numéro en question a été publié à l’origine en juin 2016 chez Image Comics).
Pour rappel, Renato Jones: The One % suit la mission vengeresse d’un mystérieux « Justicier de luxe » qui se cache parmi les riches pour leur faire « payer » l’addition.
Ou comme le dit plus justement Warren Ellis : « … Une sorte de Punisher hallucinatoire et pop-enragé [inspiré par le mouvement] Occupy. »