Sympathique ; pas pleinement maîtrisé, mais sympathique. Greg Weisman en dit plus et fait avancer sa saga, avec un flashback où Arcada & Mentallo « vendent » leur projet de zone de fantasmes et de réalité altérée à un criminel dans l’ombre. L’on apprend que plusieurs personnes ont bien disparu et semblent « remplacées », et la police enquête. Dans leurs faux mondes, Peter et Miles se rendent compte que c’est factice (l’un car tout est trop beau pour être vrai, l’autre car son clone l’interpelle). Ils veulent s’en libérer, se croisent et sont amenés à penser l’autre comme un ennemi. Ca se bagarre, mais Arcade & Mentallo stressent, alors que leur employeur s’emporte… et c’est Hammerhead !
C’est sympathique. Greg Weisman livre un récit classique, pas pleinement maîtrisé sur la narration, mais sympathique, oui. Le scénariste patauge un peu pour équilibrer ses scènes, notamment avec l’enquête en parallèle, mais j’aime bien ce qu’il fait avec les vies rêvées de Peter et Miles. Leur affrontement est basique mais efficace, et la révélation surprend mais est appréciable. Humberto Ramos livre de belles planches, dynamiques ; sans forcer, il a fait mieux, mais c’est bien.
Sympathique. Pas aussi énorme qu’une série sur le duo le mériterait, mais sympathique.
PETER PARKER vs. MILES MORALES!
No holds barred, each trying to take the other OUT! What could have pitted them against each other so viciously? Who has the skills to pull that off? What effect wiLL the collateral damage have?!
Rated T
Sympathique, même si le rythme est lent. Greg Weisman organise une bagarre entre Peter et Miles, chacun pensant que l’autre est un robot. Ils arrivent dans un immeuble où Turk vit sa meilleure vie, et ils comprennent leur erreur. Ils se réconcilient, alors que Arcade et Mentallo paniquent. Leur patron Hammerhead refuse de perdre son investissement et y va, en isolant les Spider-Men pour les confronter avec des robots. Tandis que des doutes naissent sur le frère du professeur Warren, qui pénètre chez les super-vilains et cache des choses.
C’est bien, oui, mais lent. Greg Weisman a une intrigue sympathique, correcte, mais qui n’est pas emballante. C’est agréable, bien qu’un peu décevante pour le premier story-arc de la série reliant les Spider-Men. Je passe un bon moment, sans plus, même si Humberto Ramos assure aux dessins.
The noose tied by Arcade, Mentallo and their mysterious benefactor tightens on our two Spider-Men! Things already looked bleak, and when you meet the newest Spider-Villain who makes their debut this issue? Well, we may have to turn our title from Spider-Men to Spider-Man
Creative Team
Writer: Greg Weisman
Artist: Humberto Ramos
Inker: Victor Olazaba
Colorist: Edgar Delgado
Letterer: VC’s Joe Caramagna
PLUS: PART 7 OF DEADPOOL/WOLVERINE: WEAPON X-TRACTION!
Creative Team
Writer: Ryan North
Artist: Javier Garrón
Colorists: Edgar Delgado
Letterer: Joe Sabino
Designer: Carlos Lao
Executive Editor: Tom Brevoort
Assistant Editor: Martin Biro
Associate Editor: Annalise Bissa
Letterer: VC’s Joe Caramagna
Designer: Carlos Lao
Cover Artist: Humberto Ramos & Edgar Delgado
Variant Cover Artists: Declan Shalvey; Elizabeth Torque; Nic Klein; Jerome Opeña
Editor: Nick Lowe
Assistant Editor: Kaeden McGahey
Format: Limited Series
Cover Price/Page Count: $4.99/40 pages
Meet the newest Spider-Villain in The Spectacular Spider-Men #6 on shelves & digital platforms on Wednesday, August 7, 2024, from Marvel Comics
Sympathique mais un peu long, quand même. Greg Weisman continue sa saga, qui se poursuit avec ici une grosse bagarre entre les Spider-Men et les robots du monde artificiel créé par Arcade et Mentallo, et dirigés physiquement par Hammerhead. Grosse bagarre, donc, avec des jeux de mots pourris sur le nom de ces robots, et la gêne de Peter d’affronter une autre Black Cat (c’est un peu lourd). En parallèle, l’enquête de police se poursuit, l’autre professeur Warren échange avec l’I.A., on apprend qu’il est en réalité Miles, dans le corps cloné de son frère et cette I.A. obtient de lui ce qu’il faut pour se forger un corps physique. Afin d’affronter les Spider-Men, et d’échapper à sa mise à mort si ses créateurs doivent fuir.
C’est sympathique, oui, mais lent. La bagarre est sympathique, surtout graphiquement, mais je suis peu convaincu par les échanges Peter/Miles. L’humour est faible, Peter me paraît régulièrement « neuneu », et c’est lourd. Le suspense sur le professeur Warren fonctionne, le final annonce une autre grosse bagarre… bon, ça se lit, mais sans m’emballer. Heureusement que Humberto Ramos propose des planches fluides et solides, notamment sur la bagarre.
C’est sympathique, bien dessiné, mais lent et un peu maladroit.
THE SPECTACULAR SPIDER-MEN #7 GREG WEISMAN (W) • HUMBERTO RAMOS (A/C) VARIANT COVER BY TBA
• The battle of the Spider-Men comes to an end, but now Peter and Miles are face-to-face with the makers of the Arcadium and the people who hired them.
• If you think there weren’t any twists left, meet KNAIVE, a truly terrifying new addition to the Spiders’ rogues’ gallery!
32 PGS./Rated T …$3.99
Oh, c’est sympathique. Greg Weisman m’avait diverti sans m’emballer jusque-là, mais son final de saga est plutôt bon et agréable. Outre la grosse bagarre attendue, il gère bien l’I.A. devenue K.N.A.I.V.E. après avoir pris conscience et échappé à Mentallo et Arcade. Elle évacue Hammerhead, qui a financé sa construction, et assiste aux combats face au Chacal, qui se révèle et bénéficie en plus de clones créés par l’I.A. pour lui. Les Spider-Men les stoppent, l’I.A. a un bug et s’en prend plein la tronche, alors que Shift a beaucoup aidé. Tout semble bien finir, mais… les survivants de ces mondes idylliques vont devoir vivre avec les conséquences de tout ceci, maintenant.
C’est bien, oui. Greg Weisman livre un bon final, assez entraînant et drôle, alors que son humour était lourd jusque-là. Ses gênes passées, comme un Peter abusivement neuneu, ne sont pas abordées ici, et l’ensemble est prenant et réjouissant. Ca donne un peu le sourire, c’est cool, les vannes sont bonnes, et Humberto Ramos assure dans le dynamisme et les bonds de tout le monde.
Juste cool et entraînant, et c’est déjà beaucoup !
Surprenant et plutôt bon. Greg Weisman m’interpelle sur l’orientation de sa série, qu’on attend « énorme » vu l’union des Spider-Men, et qui est finalement assez intime et même réussie. Ici, on voit la suite du premier story-arc, avec l’enterrement du frère de Miles Warren que ce dernier a remplacé, et notamment un groupe de paroles formé de façon improvisée par ceux et celles sortis de l’Arcadium, cette réalité virtuelle où chacun vivait sa meilleure vie avec des robots. Peter les amène à la psy de Silk, qu’il sollicite en ce sens, et tous commencent à aller mieux en évacuant leurs troubles nés de la comparaison entre leurs « vies rêvées » et leur réalité (notamment Peter qui vivait avec Gwen plutôt que MJ, ou Miles qui sortait avec une amie différente de sa petite-amie actuelle). L’une des victimes se sentait invisible aux yeux du monde mais va mieux avec le groupe, sauf qu’une sortie en groupe l’amène à croiser celle qui était sa compagne dans l’illusion et elle ne la connaît pas. La victime semble s’évaporer et devenir une fumée, ce qui interpelle tout le monde.
C’est bien, oui, car assez fin. Greg Weisman n’embraye pas sur une grosse aventure mais montre des conséquences légitimes, et des approches assez pertinentes des personnages. Bon, ça ne révolutionne rien, mais c’est bien de se poser là-dessus, et le casting secondaire se solidifie habilement. Peter est moins neuneu que dans les épisodes d’avant, tandis qu’Emilio Laiso & Andres Genolet livrent des planches correctes, sans briller.
(W) Greg Weisman (A) Genolet, Andres (A/CA) Emilio Laiso
The fallout from the epic first arc means a new beginning for Peter, Miles and the cast at the Coffee Bean. All their lives have changed, but some have changed more. Something else is brewing in the background that will certainly cause certain Spiders certain Problems in the certain Future.
Sympathique. Greg Weisman continue doucement sa série liant les deux Spider-Men, sans que ses intrigues soient d’une grande ampleur. Il est en effet surprenant que la réunion de deux personnages stars de Marvel dispose uniquement de sagas proches de l’humain, mais c’est agréable et bien animé. Ici, Peter & Miles sont encore au groupe de paroles de victimes de l’Arcadium, la machine créée par Mentallo & Arcade pour former un monde rêvé et où plusieurs personnes ont été piégées. L’une de ces personnes, Juliette, vit mal que sa compagne dans l’Arcadium ne sache même pas qui elle est dans la vraie vie, et elle s’est transformée… en air. Puis en eau, devant les autres, puis en boue quand elle se reconstitue, et même en flammes. Peter & Miles vont appeler leurs « amis » Spider-Men, et reviennent en costumes puis amènent Juliette chez Viv Vision, qui appelle aussi Ms. Marvel et ses proches de NYX pour confirmer que Juliette n’est ni Inhumaine, ni robot, ni Mutante. Juliette convient d’être amie avec son crush de l’Arcadium, s’entraîne ensuite avec Hydro-Man (!) appelé par les Spider-Men, mais une fusion temporaire rend Hydro-Man dépressif. Peter appelle les Fantastiques, Johnny ramène un costume en molécules instables, Juliette s’enflamme avec lui et un nom de code semble révélé pour elle…
C’est sympathique, oui. Greg Weisman livre un épisode agréable, avec à mon sens une bonne utilisation de la continuité et des proches de chaque super-héros. D’abord ceux de Miles, les anciens Champions, puis ceux de Peter, avec un super-vilain en qui il croit pour une rédemption, et les Fantastiques. C’est fluide, prenant sur le mystère de Juliette, et je suis curieux de la suite. Graphiquement, Andres Genolet & Emilio Laiso livrent des planches correctes, efficaces mais le premier a déjà plus brillé avec She-Hulk.