THOR : LE MONDE DES TÉNÈBRES (Alan Taylor)

[quote=« n.nemo »]
Après tout, j’ai vu personne ici crier au macho lorsque Jim se pâme devant la belle Nathalie Portman.[/quote]

Natalie sans H.

Ah, mais sur ce sujet, je suis d’accord avec lui mais je ne trouve pas ça très constructif de l’appliquer ici. Pour le coup, c’est ça que je trouve stérile…et ce n’est pas juste parce que je n’ai pas le même avis que lui sur Thor 2.

Et pour le reste, on joue pitêtre sur les mots mais pour moi, « ne pas avoir la côte » ne signifie pas nécessairement qu’« ils n’aiment rien sauf… ». Tu parles des individus, je parle d’un point de vue global (tout en signalant qu’il y a bien sûr des exceptions), c’est deux façons de voir et c’est mon ressenti de l’époque…mais bon, ce n’est pas que pour ça que j’en suis venu à m’ennuyer à la lecture d’un mag dont j’étais fan dans les années 80 et 90. :wink:

Pour ma part il y a eu de ça (changement pour équipe dont j’appréciais de moins en moins les avis et le ton) et mélangé à des attentes personnels qui ont beaucoup changé en quelques années.

(j’ai quasiment arrêter d’acheter beaucoup de journaux sur la même période)

[quote=« Tori »]

Je ne suis pas spécialiste du personnage de comics, mais le dieu Loki, c’est un trickster… c’est difficile de trouver un équivalent en français de ce terme : un filou, un coquin, une fripouille… Wikipédia traduit le terme par fripon.

Tori.[/quote]

Pour ceux qui s’intéressent au Trickster, j’ai complété mon billet sur Diablo des** X-Men** ; une suite qui s’intéresse justement à ce personnage : l’article est disponible sur le blog.

J’ai vu le film hier : il est globalement du même niveau que le 1, voire même en dessous car il n’y a plus de surprise, et un manque d’épique.
Globalement, Thor était l’élément le plus faible de la première phase de Marvel Studios : un film un peu hybride, entre comédie et drame shakespearien, un peu rapide, avec un scénario troublé entre ces deux extrêmes. Thor : The Dark World alterne toujours comédie et drame shakespearien, avec un meilleur équilibre mais un fort manque d’intérêt et d’épique.
Parce qu’il ne pousse pas assez loin son scénario (pourquoi Malekith fait ça ? d’où vient l’Ether ? pourquoi et comment Malekith est-il vaincu ?), parce qu’il met en avant la copine du héros sans que l’actrice se sente concernée (consternante Natalie Portman), parce qu’il n’y a aucun moment épique, ce film traîne beaucoup de défauts qui nuisent carrément à l’ensemble.

Après, c’est agréable de retourner en Asgard, Loki est excellent et très travaillé, tous les liens entre les films sont globalement sympas, mais… Thor : The Dark World fait bien pâle figure face aux autres productions Marvel.
De plus, j’ai bien du mal à me passionner pour les aventures d’un dieu/alien un peu fade, monolythique et qui, finalement, ne fait que tournoyer son marteau ; après l’avoir vu avec tous ses petits copains, j’ai plus envie de le voir avec le groupe face à de telles menaces que tout seul. Je crains d’ailleurs que ce phénomène se reproduise avec tous les films « moyens » de Marvel : autant l’excellent et très personnel Iron Man 3 m’a énormément plu, car il proposait autre chose que ce qui a déjà été fait dans ces productions, autant un produit classique et anonyme m’ennuie après le sommet atteint par Avengers…

Il est clair que Marvel aime bien utiliser (et pour l’instant je ne dis pas encore abuser) des MacGuffin, ces éléments de l’histoire qui poussent les héros et les vilains sans qu’on en sache trop sur la nature même de l’objet en question…c’est l’essence même du MacGuffin (ce sont les péripéties qui importent). La scène finale suggère juste que le Tesseract et l’Aether sont la source du pouvoir de deux gemmes de l’Infini…ou pierres de l’Infini comme elles sont appelées ici, je crois. Pour moi, c’est comme dans une BD, je dis « à suivre »… :wink:

Pour Malekith, il manque les motivations oui, on l’a déjà souligné plus haut, elles ont été coupées au montage. C’est bien dommage parce que j’adore l’acteur et j’aurais aimé voir ces scènes, mais ça arrive tout le temps dans les grosses prods…

[quote=« Ben Wawe »]

Je crains d’ailleurs que ce phénomène se reproduise avec tous les films « moyens » de Marvel : autant l’excellent et très personnel Iron Man 3 m’a énormément plu, car il proposait autre chose que ce qui a déjà été fait dans ces productions, autant un produit classique et anonyme m’ennuie après le sommet atteint par Avengers…[/quote]

Pas trop d’accord avec toi pour une fois.
Je parle de « Iron Man 3 », qui m’est tombé des yeux (j’ai vraiment détesté cette approche, le scénar’ fait un peu « cynisme au carré », malgré la bonne idée de cast concernant le cabotin Ben Kingsley, et rien de notablement intéressant au niveau de la mise en scène), et d’« Avengers » qui ne me semble pas être le sommet de quoi que ce soit (écriture ou mise en scène), à part le très impressionnant plan-séquence « collectif » de la bataille finale.
Les films Marvel subissent le revers de la médaille de l’idée alléchante de l’univers cinématographique partagé : à force d’éléments de production communs, ils en deviennent interchangeables, et donc fades.

Je crois qu’on y est déjà, dans l’abus. On pourrait objecter que l’abus de mcguffin est déjà présent dans les comics, pour moi ce n’est pas comparable.
L’usage du mcguffin n’est pas condamnable en soi, ça n’empêche pas les Hitchcock d’être des chefs-d’oeuvre.
Mais dans le cas précis qui nous occupe, l’univers ciné Marvel, son utilisation systématique va dans le sens des « production designs » interchangeables, ça sent la recette…

Ah, tu n’as pas aimé Iron Man 3 ? Personnellement, j’ai adoré, surtout parce que ce n’était pas une aventure d’Iron Man mais de Tony Stark. C’était une histoire sur l’évolution d’un homme, qui part de très bas, à une époque où il déteste le monde et se déteste dans le monde, en se cachant derrière un nihilisme violent et une auto-destruction évidente, avec un zeste d’humour noir et un gros besoin d’attention et de gloire (Iron Man 1), et qui finit sur un héros qui agit pour les autres, et ne demande nulle gloire (Iron Man 3).

Fondamentalement, Iron Man 3 raconte l’histoire d’un homme qui fait enfin face à ses responsabilités, au monde dans lequel il vit, aux gens qui l’entourent et à ses sentiments. Le point le plus fort dans ce film, et qui le définit totalement, c’est quand le petit garçon dit à Stark (de tête) « ah tu es Iron Man », et que Tony répond « non, je suis le type qui a construit Iron Man ».
Et c’est ça : Iron Man 3 raconte l’histoire du mécano, du type qui s’est toujours caché des autres et du monde parce qu’il a tout simplement peur de décevoir, d’échouer et de réussir, car il a été élevé par un type qui ne lui a jamais dit qu’il l’aimait et l’estimait (un des seuls bons moments de Iron Man 2 est quand Howard parle enfin à son fils, à vingt ans d’écart, pour lui dire ce qu’il pense vraiment). Et Iron Man 3 le fait passer au vrai statut de héros, le type qui ne se bat pas pour se défendre (comme Iron Man 1 et 2), mais qui se bat pour sauver le monde (Avengers) et le représentant de son pays (le Président) ; et qui ne demande ni gloire (la conférence de presse du 1), ni récompense (la médaille du 2), qui s’en retourne chercher son outil préféré pour continuer à construire.

C’est ça que j’ai adoré dans Iron Man 3, la fin de l’évolution d’un homme qui s’ouvre enfin aux autres et comprend ce qui est important. Et, à mon sens, c’est un sommet d’évolution super-héroïque, loin de tout cynisme habituel ; OK, le Mandarin est détruit par rapport à la BD, mais ce que cette adaptation en sous-main est beaucoup plus intéressante sur le monde, ses rouages et ce que combat Stark désormais (fondamentalement, si le Mandarin est un Ben Laden bis, le fait qu’il soit construit par un Américain cherchant le profit est osé et finalement très vrai sur la géopolitique mondiale).

Après, Avengers est-il un sommet ? Oui, car c’est la réunion de plusieurs franchises, en offrant globalement une exposition égale à tous (sauf Thor, un cran en dessous dans le film, certainement parce que le personnage n’a qu’une dimension et qu’on ne sait pas forcément quoi faire de lui au cinéma… ça se voit dans ses deux films), en créant un rassemblement de personnages « comme dans les BD »…
Avengers, c’est un esprit BD au cinéma, et ça fonctionne à fond. Les engueulades, la réunion, les combats, l’union sacrée, le sacrifice, les bons mots, etc. Ca fonctionne, à fond, avec en point d’orgue ce plan-séquence magnifique. Mais tout le reste est fort aussi, et c’est « kiffant » de voir les héros ensemble.

Et donc, maintenant, après les avoir vu bossés ensemble, ben ça m’intéresse carrément moins de les voir individuellement dans des films anonymes et classiques pour Marvel Studios : autant le personnel Iron Man 3 m’a plu car il est personnel et s’attache à faire évoluer son personnage, autant Captain America 2 peut faire de même (au moins sur l’ambition), autant Thor 2 ne cherche pas à faire ça (à la fin, Thor n’est qu’un guerrier errant de plus, il ne veut plus être roi et veut juste sa nana et taper les méchants…) et ne propose rien de neuf à ce qui a été fait jusque-là. Bof, quoi.

Il y a une recette oui, je ne vais pas dire le contraire, mais elle va dans le sens de l’histoire globale développée de film en film. C’est un univers Marvel alternatif, une sorte de « Terre-Hollywood », auquel j’accroche bien parce que j’y retrouve le fun qu’une partie des comics actuels a perdu. Je partage bien la vision de Jim sur les héros Marvel ciné.
Je reconnais bien évidemment les défauts (sauf que pour moi l’humour n’en est pas un), mais je ne les trouve pas rédhibitoires. Je trouve les films Marvel divertissants, pas fades…loin du côté un peu pompeux des films de la Distinguée Concurrence (et les Vengeurs s’occupent des civils au moins pendant la bataille finale^^)…

[quote=« Ben Wawe »]Ah, tu n’as pas aimé Iron Man 3 ? Personnellement, j’ai adoré, surtout parce que ce n’était pas une aventure d’Iron Man mais de Tony Stark. C’était une histoire sur l’évolution d’un homme, qui part de très bas, à une époque où il déteste le monde et se déteste dans le monde, en se cachant derrière un nihilisme violent et une auto-destruction évidente, avec un zeste d’humour noir et un gros besoin d’attention et de gloire (Iron Man 1), et qui finit sur un héros qui agit pour les autres, et ne demande nulle gloire (Iron Man 3).

Fondamentalement, Iron Man 3 raconte l’histoire d’un homme qui fait enfin face à ses responsabilités, au monde dans lequel il vit, aux gens qui l’entourent et à ses sentiments. Le point le plus fort dans ce film, et qui le définit totalement, c’est quand le petit garçon dit à Stark (de tête) « ah tu es Iron Man », et que Tony répond « non, je suis le type qui a construit Iron Man ».
Et c’est ça : Iron Man 3 raconte l’histoire du mécano, du type qui s’est toujours caché des autres et du monde parce qu’il a tout simplement peur de décevoir, d’échouer et de réussir, car il a été élevé par un type qui ne lui a jamais dit qu’il l’aimait et l’estimait (un des seuls bons moments de Iron Man 2 est quand Howard parle enfin à son fils, à vingt ans d’écart, pour lui dire ce qu’il pense vraiment). Et Iron Man 3 le fait passer au vrai statut de héros, le type qui ne se bat pas pour se défendre (comme Iron Man 1 et 2), mais qui se bat pour sauver le monde (Avengers) et le représentant de son pays (le Président) ; et qui ne demande ni gloire (la conférence de presse du 1), ni récompense (la médaille du 2), qui s’en retourne chercher son outil préféré pour continuer à construire.

C’est ça que j’ai adoré dans Iron Man 3, la fin de l’évolution d’un homme qui s’ouvre enfin aux autres et comprend ce qui est important. Et, à mon sens, c’est un sommet d’évolution super-héroïque, loin de tout cynisme habituel ; OK, le Mandarin est détruit par rapport à la BD, mais ce que cette adaptation en sous-main est beaucoup plus intéressante sur le monde, ses rouages et ce que combat Stark désormais (fondamentalement, si le Mandarin est un Ben Laden bis, le fait qu’il soit construit par un Américain cherchant le profit est osé et finalement très vrai sur la géopolitique mondiale).

Après, Avengers est-il un sommet ? Oui, car c’est la réunion de plusieurs franchises, en offrant globalement une exposition égale à tous (sauf Thor, un cran en dessous dans le film, certainement parce que le personnage n’a qu’une dimension et qu’on ne sait pas forcément quoi faire de lui au cinéma… ça se voit dans ses deux films), en créant un rassemblement de personnages « comme dans les BD »…
Avengers, c’est un esprit BD au cinéma, et ça fonctionne à fond. Les engueulades, la réunion, les combats, l’union sacrée, le sacrifice, les bons mots, etc. Ca fonctionne, à fond, avec en point d’orgue ce plan-séquence magnifique. Mais tout le reste est fort aussi, et c’est « kiffant » de voir les héros ensemble.

Et donc, maintenant, après les avoir vu bossés ensemble, ben ça m’intéresse carrément moins de les voir individuellement dans des films anonymes et classiques pour Marvel Studios : autant le personnel Iron Man 3 m’a plu car il est personnel et s’attache à faire évoluer son personnage, autant Captain America 2 peut faire de même (au moins sur l’ambition), autant Thor 2 ne cherche pas à faire ça (à la fin, Thor n’est qu’un guerrier errant de plus, il ne veut plus être roi et veut juste sa nana et taper les méchants…) et ne propose rien de neuf à ce qui a été fait jusque-là. Bof, quoi.[/quote]

Pas du même avis que toi sur Thor , mais tes points de vue sur IM3 et Avengers sont assez proches des miens. :wink:

[quote=« Le Doc »]Il y a une recette oui, je ne vais pas dire le contraire, mais elle va dans le sens de l’histoire globale développée de film en film. C’est un univers Marvel alternatif, une sorte de « Terre-Hollywood », auquel j’accroche bien parce que j’y retrouve le fun qu’une partie des comics actuels a perdu. Je partage bien la vision de Jim sur les héros Marvel ciné.
Je reconnais bien évidemment les défauts (sauf que pour moi l’humour n’en est pas un), mais je ne les trouve pas rédhibitoires. Je trouve les films Marvel divertissants, pas fades…loin du côté un peu pompeux des films de la Distinguée Concurrence (et les Vengeurs s’occupent des civils au moins pendant la bataille finale^^)…[/quote]

J’aime bien aussi le Marvel Cinematic Universe (je crois qu’on dit ça comme ça) : une sorte de « Ultimate » plus « respectueux » (dans le sens : ça change moins les fondamentaux pour faire genre), plus vivant et un peu « nouveau » (dans le sens où je découvre/redécouvre tout dès le début).

Après, ce qui me gêne foncièrement dans Thor 2, c’est bien ce manque d’explication. Je conçois entièrement le rôle du McGuffin, et dans le fond ça ne me gêne pas - quand on me donne au moins une ligne de dialogue pour justifier ce truc.
L’Ether semble être une force primaire de l’Univers, et une Gemme de l’Infini mais ça n’est pas clairement dit - en fait, ça n’est pas clair du tout. Comme la fin, le final où Malekith est vaincu, j’ai toujours pas compris comment, et ça me gêne.

Ca « bloque », car on m’a pas donné toutes les infos, au moins pour comprendre. C’est con, et c’est quelque chose qui est pourtant important dans un film où tu dois déjà accepter l’improbable (le suspension of disbelief, qui implique de poser quelques règles à l’imaginaire pour qu’on y croit).

[quote=« Ben Wawe »]Ah, tu n’as pas aimé Iron Man 3 ? Personnellement, j’ai adoré, surtout parce que ce n’était pas une aventure d’Iron Man mais de Tony Stark. C’était une histoire sur l’évolution d’un homme, qui part de très bas, à une époque où il déteste le monde et se déteste dans le monde, en se cachant derrière un nihilisme violent et une auto-destruction évidente, avec un zeste d’humour noir et un gros besoin d’attention et de gloire (Iron Man 1), et qui finit sur un héros qui agit pour les autres, et ne demande nulle gloire (Iron Man 3).

Fondamentalement, Iron Man 3 raconte l’histoire d’un homme qui fait enfin face à ses responsabilités, au monde dans lequel il vit, aux gens qui l’entourent et à ses sentiments. Le point le plus fort dans ce film, et qui le définit totalement, c’est quand le petit garçon dit à Stark (de tête) « ah tu es Iron Man », et que Tony répond « non, je suis le type qui a construit Iron Man ».
Et c’est ça : Iron Man 3 raconte l’histoire du mécano, du type qui s’est toujours caché des autres et du monde parce qu’il a tout simplement peur de décevoir, d’échouer et de réussir, car il a été élevé par un type qui ne lui a jamais dit qu’il l’aimait et l’estimait (un des seuls bons moments de Iron Man 2 est quand Howard parle enfin à son fils, à vingt ans d’écart, pour lui dire ce qu’il pense vraiment). Et Iron Man 3 le fait passer au vrai statut de héros, le type qui ne se bat pas pour se défendre (comme Iron Man 1 et 2), mais qui se bat pour sauver le monde (Avengers) et le représentant de son pays (le Président) ; et qui ne demande ni gloire (la conférence de presse du 1), ni récompense (la médaille du 2), qui s’en retourne chercher son outil préféré pour continuer à construire.

C’est ça que j’ai adoré dans Iron Man 3, la fin de l’évolution d’un homme qui s’ouvre enfin aux autres et comprend ce qui est important. Et, à mon sens, c’est un sommet d’évolution super-héroïque, loin de tout cynisme habituel ; [/quote]

hum, c’est parfaitement résumé le pourquoi du comment ce film moraline pure anrnold et willie m’a ennuyé au possible. ^^

Et perso à la fin quand il détruit sa collection d’armure, je lis ça comme une moquerie adressé à tous les collectionneurs de comics, genre si t’etais grand tu arreterais de collectionner des super heros, et tu ferais comme tony car un vrai heros, c’est pas un super heros, c’est un mec sans armure qu’à pas de collection.

Insulte ! insulte! ^^

Ah, je l’ai plus vu comme celui qui va jusqu’à tous les sacrifices pour faire ce qu’il veut faire : détruire ce qui a été sa vie depuis plusieurs mois (années ? le Temps Marvel au cinéma m’est inconnu), ce qui a été sa vraie fixation, afin de sauver des vies et de devenir meilleur.
OK, on peut le voir comme l’enfant obligé de balancer ses jouets, mais aussi comme le type qui accepte de sacrifier sa passion pour ce en quoi il croit. C’est un peu plus positif !

que de la gueulle d’abord de la part de tony, car on a bien vu que ce socle sur lequel il est à la fin du film est l’entrée de son labo souterrain où y a encore plus d’armure.

Salaud de riche qui dilapide son argent mais en cache la plus grande partie ^^

En gros 2 ans et demi entre Iron Man et Thor 2.
6 mois entre les deux premiers Iron Man; Iron Man 2, Hulk et Thor se passent à peu près au même moment; Avengers, c’est un an après et IM 3 et Thor 2, c’est quelques mois après Avengers.

Merci !

Dans Captain America?

C’est intéressant ce point de vue sur le côté féminin du film, et ça explique aussi pourquoi les nanas vont voir ce film en groupe (non, je ne crois pas que c’était des geekettes fans de Thor, mais plutôt de l’acteur)

Merci, ça m’a permis de lire ton article sur Diablo, que j’avais raté.
Diablo/Nightcrawler est un personnage qui me fascine depuis longtemps… et le trickster également, mais je n’avais jamais fait le rapprochement entre les deux.

Tori.

[quote=« Tori »]
Merci, ça m’a permis de lire ton article sur Diablo, que j’avais raté.[/quote]

Merci de ton intérêt. :wink: :slight_smile:

[quote]Diablo/Nightcrawler est un personnage qui me fascine depuis longtemps… et le trickster également, mais je n’avais jamais fait le rapprochement entre les deux.

Tori.[/quote]

Moi aussi j’aime beaucoup ce personnage, et surtout au début des Nouveaux X-Men il semble promis à un bel avenir.
Ensuite, en ce qui me concerne ça se gâte sérieusement.
J’avais cependant bien aimé l’idée d’en faire une sorte de « détective de l’étrange », mais le résultat ne m’a pas du tout plu.

Encore merci de ton commentaire.

Une information importante.